Selon Ibrahim Assane Mayaki, la Zone de libre-échange continentale africaine (Zleca) aura des retombées positives sur le développement des échanges agricoles continentaux.
Sans nier les difficultés auxquelles les femmes font face en Afrique, il incombe à tous de battre en brèche une approche misérabiliste de ce sujet, estime le patron du Nepad.
Dans son essai L’Afrique à l’heure des choix, le secrétaire executif du Nepad dresse la révolution digitale en rempart contre les freins de l’économie informelle.
Alors que s’achève le 29e sommet de l’Union africaine, qui a rassemblé pendant quelques jours tous les États de l’Afrique, je voudrais rappeler pourquoi il est essentiel de préserver et d’amplifier les liens qui nous unissent. Il y va tout simplement de la place de notre continent dans une mondialisation en pleine redéfinition. Depuis trop longtemps, ses populations et ses richesses ont été dispersées de par le monde sans qu’elle en tire un bénéfice durable. Il est impératif pour l’Afrique de s’émanciper enfin.
Quinze ans après l’Accord de Marrakech (2001), c’est à nouveau dans la « ville ocre » que l’Afrique a la possibilité de plaider pour une action climatique ambitieuse.