Cette ancienne fonctionnaire des Nations unies a été choisie par le Premier ministre Ousmane Sonko et le président, nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye pour devenir ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères.
La vente aux enchères de plusieurs livres appartenant à l’ancien président sénégalais, prévue mardi 16 avril, en Normandie, a été suspendue sur demande de l’État sénégalais. Ce dernier négocie pour se porter acquéreur des lots.
Très minoritaire dans le pays, moins influente que les confréries musulmanes, l’Église catholique a su s’ancrer dans la société et se poser en gardienne de la démocratie.
Le parti libéral a beau avoir rejoint le camp de Bassirou Diomaye Faye à la veille de l’élection sénégalaise, il n’a hérité d’aucun poste au sein du gouvernement. Retour sur un ralliement qui aurait bien pu ne jamais advenir et dont personne ne sait sur quoi il va déboucher.
Le nouveau Premier ministre a présenté dans la soirée du 5 avril les membres de son équipe. Parmi eux, des cadres du Pastef, des alliés et des personnalités peu connues du grand public. Et aucun membre du PDS de Karim Wade.
Candidat à la présidentielle de mars, l’ancien chef de gouvernement de Macky Sall avait été transféré à Paris en pleine campagne électorale en raison d’une grave maladie, selon son entourage.
A-t-il été insuffisamment soutenu par le président sortant, Macky Sall ? Karim Wade aura-t-il été le fossoyeur de son destin présidentiel ? Selon les résultats provisoires annoncés le 27 mars, l’ancien Premier ministre a été défait dans les urnes dès le premier tour face à Bassirou Diomaye Faye. Retour sur une séquence inédite.
L’ancien Premier ministre a appelé le candidat de l’opposition qui, selon des résultats encore non officiels, a remporté la présidentielle du 24 mars dès le premier tour.
Mgr Benjamin Ndiaye, l’archevêque de Dakar, s’était prononcé contre le report de la présidentielle. Il se réjouit que l’élection se tienne enfin ce dimanche, après de multiples rebondissements.
Plus de sept millions d’électeurs sont attendus aux urnes pour choisir leur futur président. Les bureaux de vote ont ouvert à 8 heures dimanche 24 mars et aucun incident majeur n’est pour l’instant à signaler.
Il était donné hors-jeu de la course électorale. En dépit des attaques de ses détracteurs, l’ex-Premier ministre porte les couleurs de la majorité lors de la présidentielle, ce dimanche 24 mars. Retour sur la campagne mouvementée du candidat de Macky Sall.
Ni l’un ni l’autre ne briguent la magistrature suprême, mais l’élection présidentielle du 24 mars pourrait être l’occasion, pour le chef de l’État et son principal opposant, de solder leur rivalité politique dans les urnes via leurs candidats respectifs, Amadou Ba et Bassirou Diomaye Faye.
Le parti de Macky Sall a renouvelé officiellement sa confiance à son candidat. Mais depuis le début de la campagne, l’ancien Premier ministre apparaît fragilisé au sein même de BBY. Coulisses.
Malgré la reprise du processus électoral, Magatte Sy, l’un des cadres du Parti démocratique sénégalais (PDS), continue de croire que l’élection ne se déroulera pas sans Karim Wade, dont la candidature a pourtant été invalidée.
Le Conseil constitutionnel et son président, qui était pourtant réputé proche du chef de l’État, viennent de jouer leur crédibilité dans une séquence politique inédite.
Le chef de l’État sénégalais a reçu ce lundi 4 mars les conclusions du dialogue national. Mais le parti Rewmi de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck exprime déjà son désaccord.
Le texte, qui porte sur les faits liés aux manifestations politiques et survenus dans le pays entre 2021 et 2024, a été adopté, le 28 février, en Conseil des ministres. Mais il n’est pas du goût de tout le monde.
Malgré la décision du Conseil constitutionnel qui enjoint le gouvernement d’organiser les élections présidentielles dans les meilleurs délais, le Parti démocratique sénégalais (PDS) et ses alliés s’activent pour faire reprendre l’ensemble du processus électoral.
Le chef de l’État sénégalais a appelé à l’ouverture, le 26 février, de « concertations nationales » pour déterminer la date et les modalités de l’élection présidentielle. Problème : la quasi-totalité des candidats refusent d’y participer.
Alors que l’annulation du scrutin préoccupe la communauté internationale, quatre parlementaires de la majorité présidentielle ont séjourné dans la capitale française, du 13 au 17 février. Objectif : expliquer aux médias et, surtout, à leurs homologues français les ressorts de la crise politique.
Location de véhicules, réservations d’hôtel, confection de t-shirts… L’annulation du scrutin a des conséquences inattendues pour les candidats à la succession de Macky Sall, qui avaient alloué d’importants moyens à la campagne.
Le Conseil constitutionnel a annulé, jeudi, le report de l’élection présidentielle décidée par le chef de l’État. Projecteur sur les sept femmes et hommes qui le composent.
Plusieurs cadres du pouvoir sénégalais ont rompu avec leur camp après l’annonce, par le chef de l’État, du report du scrutin. Certains de ses proches avaient pourtant tenté de le dissuader.
Selon le porte-parole du gouvernement sénégalais, le chef de l’État n’a pas eu d’autre choix que d’annuler le scrutin présidentiel prévu le 25 février pour qu’il soit « crédible et inclusif ».
Tandis que le khalife général des mourides a affirmé qu’il ne se mêlait pas de politique, plusieurs organisations religieuses ont exprimé leur désapprobation après l’annonce du report de l’élection qui devait se tenir le 25 février.
Samedi 3 février, le chef de l’État annonçait le report de l’élection prévue le 25 février. Coulisses d’une décision qui pourrait le mener à étendre son mandat pour une durée indéterminée.
Traditionnellement acquis à l’opposition, l’électorat de la capitale devrait se répartir entre Khalifa Sall et le Pastef d’Ousmane Sonko. Mais la coalition au pouvoir, dont le candidat à la présidentielle – Amadou Ba – est un natif de Dakar, n’a pas dit son dernier mot.
Alors que l’éventualité d’un report du scrutin est de plus en plus souvent évoquée, le chef de l’État sénégalais a réaffirmé le 26 janvier aux leaders de Benno Bokk Yakaar (BBY) qu’il se tiendra bel et bien à la date prévue.
À un mois du scrutin du 25 février, les poids lourds de la majorité s’activent dans leurs bastions pour mener le Premier ministre Amadou Ba à la victoire. L’enjeu est de taille puisqu’ils jouent leur survie politique dans cette élection.
L’ancien chef de gouvernement d’Abdoulaye Wade, qui brigue la magistrature suprême pour la quatrième fois, a entamé des négociations avec plusieurs anciens ministres afin d’obtenir leur soutien.