Dans « Je remercie la nuit », son nouveau roman, l’écrivaine franco-ivoirienne raconte l’histoire d’une amitié entre deux jeunes femmes au moment de la crise postélectorale de 2011. Interview.
À la tête de plus de 20 boutiques en France et au Japon, le Français Jean-Paul Hévin se fournit en cacao à Nkolossang, près de Yaoundé, où il entend développer une filière durable de qualité.
Avec leur documentaire « Une Française à Kaboul », Charlotte Erlih et Marie-Pierre Camus retracent l’histoire de l’Afghanistan entre 1928 et 1980. Une période d’ouverture et de repli obscurantiste.
Avec un album consacré au Prix de photographie environnementale 2024 de la Fondation Prince Albert II de Monaco, les éditions Skira dévoilent la beauté de notre monde. Et les menaces qui pèsent sur son avenir.
Le dessinateur américano-maltais, figure de la BD documentaire, revient dans un court album sur la riposte d’Israël après les attentats du 7 octobre 2023 et le lien indéfectible unissant l’État hébreu et les États-Unis. Il livre dans le même geste une réflexion sombre sur la démocratie, l’humanité et la notion d’« auto-défense génocidaire ».
Avec sa novella « La Lecture », l’écrivain sud-africain Ivan Vladislavić s’interroge sur notre capacité à faire preuve d’empathie à l’égard des victimes de groupes armés tels que la LRA en Ouganda. Et, aussi, sur la puissance de la littérature.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Cette semaine, les sapeurs congolais (pour Société des ambianceurs et des personnes élégantes), immortalisés par celui que l’on surnomme aujourd’hui « Photouin ».
Le photographe franco-camerounais Samuel Nja Kwa publie un recueil d’images et de témoignages sur l’œuvre et la vie du saxophoniste décédé il y a 4 ans.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, la libération de Madiba vue par le photographe sud-africain.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Cette semaine, l’inventeur de l’afrobeat en tenue légère dans sa chambre d’hôtel.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, l’école de police d’Hammanskraal, en plein apartheid, vue par le photographe iranien.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, Sous les flashs des photographes, le coureur éthiopien Abebe Bikila bat le record du marathon.
Avec « Éthiopie, la vallée des stèles », le Musée Fenaille, de Rodez (sud de la France), propose une exposition sur le mégalithisme dans la région du Rift éthiopien, où des civilisations méconnues dressaient des pierres symboliques.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, la série mondialement connue du photographe français, réalisée pendant la guerre d’Algérie.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, ce père désespéré qui regarde le pied et la main de sa fille de cinq ans, tranchés par des gardes de l’Anglo-Belgian India Rubber Company.
De plus en plus de journalistes s’emparent du roman graphique pour développer de longs reportages dessinés. Une façon d’alerter sur des discriminations ou d’expliquer des sujets d’actualité.
Avec une série de portraits, Jeune Afrique braque ses projecteurs sur quatre sublimes chanteuses lyriques qui portent haut les couleurs de l’Afrique dans un domaine où on ne les attend pas forcément.
Avec sa nouvelle exposition, « Echoes of the Brother Countries », la HKW explore une zone d’ombre de l’ancienne RDA : la mémoire et l’histoire des populations immigrées venues des « pays frères ».
Dans un album rythmé comme un morceau de jazz, le dessinateur marocain Youssef Daoudi et le poète africain-américain Adrian Matejka racontent le premier « combat du siècle » entre deux poids lourds, Jack Arthur Johnson et James J. Jeffries.
Avec « Arabofuturs, science-fiction et nouveaux imaginaires », l’Institut du monde arabe (Paris) ouvre ses portes à des artistes d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient et au regard qu’ils portent sur l’avenir. Pas forcément rassurant.
Cette manifestation culturelle de renommée mondiale doit s’ouvrir le 16 mai, mais un report semble désormais inévitable. En cause notamment, un manque de financement.
L’écrivain et metteur en scène rwandais raconte dans « Hewa Rwanda. Lettres aux absents », un texte puissant qui s’appuie sur sa propre histoire, comment on vit avec le génocide, 30 ans après.
Alors qu’un beau livre vient d’être publié sur l’œuvre du sculpteur malien, décédé en 2022, une exposition lui est consacrée à partir du 4 avril à la galerie Christophe Person (Paris).
L’artiste africaine-américaine dévoilera, le 23 juin, la sculpture qui lui a été commandée par le CIO et par la Ville de Paris à l’occasion des prochains Jeux olympiques.