Le nouveau président américain sera les 10 et 11 juillet à Accra. L’occasion de présenter sa politique africaine, que l’on attend au moins aussi ambitieuse que celle de son prédécesseur.
Longtemps absente d’Afrique, l’Italie a engagé la reconquête – économique, bien sûr. Tandis qu’à Rome se met en place une politique d’immigration très critiquée. Mais dont le chef de la diplomatie conteste fermement le caractère xénophobe.
La Société multinationale de bitumes (SMB) multiplie par quatre ses fonds propres et compte augmenter sa production de 60 % pour desservir les marchés de la sous-région.
La politique extérieure chinoise est élaborée par la commission des affaires étrangères du Comité central du Parti communiste, présidé par Hu Jintao. Cet organe est dirigé par l’ex-chef de la diplomatie, Li Zhaoxing, 69 ans, qui a été en poste dans les ambassades du Kenya et du Lesotho dans les années 1970 et 1980.
Malgré le ralentissement économique mondial, le continent africain demeure l’une des priorités chinoises. Rencontres au sommet, voyages d’affaires, bourses d’étudiants… L’empire du Milieu mène une stratégie des plus efficaces. À la clé, l’envolée des échanges commerciaux.
Une quarantaine d’entrepreneurs et d’officiels ivoiriens se sont envolés, mi-mai, pour Shanghai et Pékin. Le but ? Attirer au pays les grandes entreprises publiques chinoises. Mais sans froisser la France.
Mis en orbite par le congrès d’avril 2004, les quadras du Parti de la justice et du développement entendent aujourd’hui accroître leur influence au sein des instances dirigeantes du mouvement islamiste.
Devenu un acteur majeur de l’assurance en Afrique francophone, le groupe ivoirien modernise ses structures et se diversifie dans la banque et l’immobilier.
Le directeur général du Fonds monétaire international estime que le ralentissement de l’économie mondiale et l’inflation auront des répercussions sur le continent. Et rejette la critique d’ultralibéralisme adressée à l’institution.