Si la droite française a son « réseau marocain », le président François Hollande ne manque pas non plus de relais et de canaux dans son entourage. En voici les principales personnalités.
L’ambassadeur de France à Bamako, Christian Rouyer, a été remplacé par Gilles Huberson, au profil plus « militaire » que son prédécesseur. Dans le même temps, Jean Félix-Paganon remplaçait à Dakar Nicolas Normand. Et le poste de représentant spécial de la France pour le Sahel échoyait quant à lui à Reveyrand de Menthon.
Le souverain chérifien a profité d’une tournée au Sénégal, en Côte d’Ivoire et au Gabon pour redynamiser la diplomatie africaine du royaume. De nombreux accords économiques ont aussi été signés.
Dans un entretien accordé à « Jeune Afrique » avant la présidentielle kényane, Fatou Bensouda, procureur de la Cour pénale internationale (CPI), estime que celui qui est devenu le nouveau chef de l’État du Kenya devra répondre de son inculpation pour crimes contre l’humanité par la CPI.
La précédente campagne cotonnière avait été désastreuse. Celle qui s’achève s’avère excellente. Question de bonne pluviométrie, de climat social apaisé… et d’OGM.
À mi-parcours du plan quinquennal, la croissance s’accélère. Preuve qu’en se concentrant enfin sur l’amélioration des conditions de vie, le pays marque des points sur tous les tableaux.
La procureure de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda, expose à Jeune Afrique les accusations qui pèsent sur Laurent Gbagbo, dont l’audience de confirmation des charges s’est achevée le 28 février. La décision d’une inculpation de l’ancien chef d’État pourrait intervenir dans les semaines qui viennent.
D’un côté, une accusation qui réclame l’ouverture d’un procès devant la CPI. De l’autre, une défense qui fait tout pour l’éviter à son client. En position d’arbitres, les juges de La Haye. Et au centre du ring, l’ancien président ivoirien, qui s’est préparé tel un athlète de haut niveau…
Alors que l’audience de confirmation des charges de Laurent Gbagbo se poursuit devant la CPI, les anciens dignitaires du régime se passionnent pour les débats. Parmi eux, d’anciens ministres en exil, des proches emprisonnés ou d’autres qui ont retrouvé la liberté. Découvrez, avec notre carte interactive, les membres d’une galaxie Gbagbo qui tente toujours d’exister.
Comment faire d’unités hétérogènes et insubordonnées un corps organisé au service de la République ? Orchestrée par le chef de l’État, la réforme de l’armée est cruciale. Et prendra du temps.
Le chef de l’État, Alassane Ouattara, mène au pas de charge la reconstruction d’un pays gravement marqué par une décennie de crise. Pour quels résultats ?
Pour réduire ses importations, Alger encourage la population à travailler la terre. Désenclavement, irrigation, subventions… Rien n’est oublié pour dynamiser le secteur agricole.
Au deuxième jour de l’audience de confirmation des charges pesant contre Laurent Gbagbo, à la CPI, mercredi 20 février, la défense et l’accusation ont débattu à fleurets démouchetés. L’enjeu : l’inculpation formelle de l’ancien président ivoirien et l’organisation de son procès.
L’audience de confirmation des charges pesant contre Laurent Gbagbo s’est ouverte à La Haye, mardi 19 février. Les débats vont durer une dizaine de jours.
Alors qu’elle enquête sur des crimes commis par les jihadistes dans le Nord-Mali, la Cour pénale internationale pourrait aussi s’intéresser aux événement survenus pendant et après le putsch du 22 mars 2012.
Quelles sont les conditions matérielles de vie de Laurent Gbagbo au sein du quartier pénitentiaire de la Cour pénale internationale, dans la prison de Scheveningen (Pays-Bas) ? Éléments de réponse en attendant le 19 février, date de l’examen des charges qui engageraient la responsabilité pénale de l’ex-président ivoirien pendant la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011.
Stratégie calée, tarifs négociés, financements trouvés et chantiers de court et de moyen termes engagés… La Côte d’Ivoire devrait produire plus d’électricité, à moindre coût, dès 2013.
Au Sheraton d’Addis-Abeba, chefs d’État, diplomates et courtisans se croisent, s’évitent ou bavardent. De la crise malienne à In Amenas en passant par la CAN, les sujets de conversation ne manquent pas.
Entre les deux rives de la Méditerranée, les échanges se renforcent. Automobile, santé, infrastructures… Les Français investissent. Main dans la main avec les entreprises locales.
Mali, RDC, Rwanda, Sahara occidental, Madagascar… Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, répond aux questions – et critiques – avec son habituelle mesure de diplomate aguerri.
Unanimes, les chefs d’État du continent ont salué, lors du sommet de l’UA (27 et 28 janvier), l’intervention militaire française au Mali. Mais celle-ci démontre aussi leur incapacité à régler leurs problèmes seuls. Et relance la question d’une force d’interposition africaine.
Lors du sommet de l’UA, le 28 janvier, les chefs d’État ouest-africains ont multiplié les initiatives pour favoriser les négociations entre les présidents sud-soudanais et soudanais, respectivement Salva Kiir et Omar el-Béchir.