Les familles de Frederik Potgieter et Peter Huxham tentent d’obtenir le soutien du Parlement panafricain pour obtenir la libération de ces deux ingénieurs arrêtés le 9 février 2023.
Au pouvoir depuis 2018, le chef de l’État sud-africain a été réélu par les députés pour un second mandat, malgré la déroute électorale de son parti. Il sera investi mercredi.
Après avoir perdu la majorité absolue lors des élections générales du 29 mai, le Congrès national africain (ANC) cherche des partenaires pour pouvoir gouverner le pays. Le compte à rebours a commencé.
En à peine six mois d’existence, l’uMkhonto We Sizwe (MK) est devenu la troisième force politique d’Afrique du Sud, ainsi qu’en témoignent les résultats des élections du 29 mai.
Face à un ANC à bout de souffle, le parti de l’ancien président a fait une percée électorale en tenant un discours réactionnaire et anti-démocratique. Décryptage.
La cantatrice sud-africaine est en tournée en Europe, un an après avoir chanté à l’occasion du couronnement du roi Charles III, au Royaume-Uni. Très appréciée dans le milieu, elle a aussi su gagner l’affection du public.
Deuxième province en termes d’électeurs, le KwaZulu-Natal aura été au centre des attentions des partis qui se présentent aux élections générales du 29 mai. Reportage à Nongoma, dans le Zululand.
Les Sud-Africains sont appelés aux urnes le 29 mai pour un scrutin qui compte pour la composition de l’Assemblée nationale et des gouvernements provinciaux.
Le leader des Combattants pour la liberté économique (EFF) séduit autant qu’il effraie par sa radicalité. Il vise pourtant à rassembler au-delà de sa base électorale en vue des élections générales du 29 mai.
La province, défavorablement connue pour les meurtres de conseillers municipaux, connait une campagne électorale paisible avant le scrutin national du 29 mai.
Avant les élections du 29 mai, l’Alliance démocratique fait de la région du Cap-Occidental et de la ville du Cap, qu’elle dirige, l’exemple de ce que le pays pourrait devenir si elle était au pouvoir.
L’ancien président est la tête de liste d’un parti qui pourrait bien faire chuter l’ANC du chef de l’État sortant lors des élections générales du 29 mai. Mais, bien sûr, cela n’a rien de personnel…
Il y a trente ans se tenaient les premières élections libres d’Afrique du Sud. Un scrutin largement remporté par Nelson Mandela. L’un de ses concurrents de l’époque, Imtiaz Sooliman, aujourd’hui à la tête de l’ONG Gift of the Givers, se souvient du vent d’espoir qui soufflait alors.
Trois décennies après les premières élections démocratiques, la faillite des gouvernants alimente le désenchantement et la nostalgie d’un avant fantasmé.
La présidente du Parlement, Nosiviwe Mapisa-Nqakula, est rattrapée par des soupçons de corruption datant de l’époque où elle était ministre de la Défense. Elle a démissionné et s’est présentée à la police pour être mise en examen, à deux mois des élections générales.
L’ancien dirigeant sud-africain soupçonné d’être le cerveau derrière la chute de la multinationale sud-africaine de l’ameublement, s’est suicidé alors qu’il devait se rendre à la police ce 22 mars.
Les États-Unis ont remplacé leur régime de sanctions en place depuis 2003 par des mesures plus ciblées contre l’élite dirigeante. Premiers concernés : le président Emmerson Mnangagwa et son bras droit, Constantino Chiwenga.
Si l’ancien président sud-africain se lance dans une nouvelle bataille en défiant ses camarades de l’ANC avant les élections générales du 29 mai, c’est parce qu’il est obsédé par le pouvoir, selon le politologue Zakhele Ndlovu.
Le Congrès national africain (ANC) a présenté son programme à Durban, devant des militants enthousiastes. Les élections générales auront lieu le 29 mai.
Deuxième province du pays par le nombre d’électeurs, la région zouloue est un réservoir de voix historique pour l’ANC. Ses concurrents en font une cible de choix dans la perspective des élections générales de mai.
La question migratoire occupe une place importante dans le débat politique sud-africain. Et, à l’approche des élections générales, aucun parti n’hésite à l’instrumentaliser…
L’ancien président est suspendu par son parti, le Congrès national africain (ANC), pour avoir fait campagne pour un parti dissident dans la perspective des prochaines élections.
Le Congrès national africain a célébré le jugement rendu ce vendredi par la Cour internationale de justice dans l’affaire qui oppose l’Afrique du Sud à Israël sur des accusations de génocide à Gaza.
Le président sud-africain, qui espère être réélu à l’issue des élections générales de 2024, se montre très discret sur sa vie privée. Plus question de donner prise au moindre scandale, comme cela a pu être le cas dans le passé.
Les élections générales qui vont se tenir entre mai et août 2024 pourraient être particulièrement difficiles pour le Congrès national africain, le parti de Nelson Mandela qui est plus bas dans les sondages.