Servie à toutes les sauces et aseptisée, la figure de l’ancien président sud africain, décédé il y a tout juste dix ans, le 5 décembre 2013, risque de perdre sa profondeur politique et sa complexité.
Ancienne militante anti-apartheid, proche de Nelson Mandela, Mamphela Ramphele est l’une des voix les plus critiques à l’égard de ceux qui dévoient l’héritage de l’ancien président sud-africain, mort il y a dix ans, le 5 décembre 2013.
Johannesburg accueillait le 20e forum relatif à l’accord de libre-échange américain avec les pays d’Afrique subsaharienne à moins de deux ans de son expiration et alors que tous veulent le voir prolongé.
Les traditions culinaires sud-africaines se racontent dans des livres de recettes qui se transmettent entre générations et communautés depuis plus d’un siècle.
Comment des organisations terroristes peuvent-elles financer leurs activités à partir de l’Afrique du Sud sans être inquiétées ? Pourquoi le pays semble-t-il lui même épargné par les attaques jihadistes ? Éléments de réponse avec Ryan Cummings, consultant en sécurité, basé au Cap.
Ancien chef de parti et Premier ministre zoulou jusqu’à sa mort, le 9 septembre, Mangosuthu Buthelezi est enterré ce samedi avec les honneurs de la nation malgré un passé controversé.
Le parti des Combattants pour la liberté économique, qui célèbre ses dix ans ce samedi 29 juillet, secoue la scène politique sud-africaine depuis 2013 – au risque d’effrayer.
Surnommé « le violeur de Facebook » et condamné à la réclusion à perpétuité, cet escroc a mis en scène son propre décès pour s’échapper de prison. Ses crimes autant que le scandale de son évasion tiennent l’Afrique du Sud en haleine.
Le président sortant brigue un second mandat lors des élections générales du 23 août au Zimbabwe, après avoir été mis en cause pour trafic d’or. Nelson Chamisa, son adversaire, promet de s’attaquer à la corruption.
À l’approche des scrutins d’avril 2024, six partis d’opposition promettent de se parler en vue de former une coalition pour évincer le Congrès national africain.
Le Congrès national africain, au pouvoir en Afrique du Sud, a organisé un dialogue sur le conflit russo-ukrainien. Mais la rencontre a viré au procès de l’influence occidentale dans le monde.
Cyril Ramaphosa et l’opposition se rejettent la responsabilité d’une épidémie de choléra qui a déjà fait 32 morts. Une mauvaise gestion des infrastructures est évoquée.
Pretoria, qui assure la présidence tournante du groupe Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud (Brics), veut faire avancer les intérêts du continent.
Les ministres des Affaires étrangères du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud sont réunis au Cap pour préparer le prochain sommet des chefs d’État et relancer les ambitions du groupe.
L’ambassadeur américain en Afrique du Sud a dénoncé le non-respect du non-alignement sud-africain devant des médias locaux. Cyril Ramaphosa a annoncé l’ouverture d’une enquête.
Espérant contrebalancer le récit de la Russie sur l’invasion de l’Ukraine, une petite délégation de la société civile ukrainienne passe la semaine en Afrique du Sud.
Le 2 avril, l’Alliance démocratique, le premier parti d’opposition, a reconduit son chef pour mener campagne en vue des élections générales de 2024. Et s’est déjà choisi un adversaire et une stratégie.
Visé par un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale, le président russe assistera-t-il au sommet des Brics fin août ? Et comment réagira l’Afrique du Sud qui, selon le statut de Rome, aurait pour obligation de l’arrêter ?
À près d’un an des élections générales en Afrique du Sud, le président a effectué un timide remaniement ministériel pour satisfaire ses alliés et tenter de rassurer les électeurs.
Après une année 2022 catastrophique marquée par plus de 200 jours de délestages, les coupures de courant se poursuivent et fragilisent le chef de l’État. Au point qu’il a dû annuler son voyage à Davos.
La visite du ministre russe des Affaires étrangères en Afrique du Sud lance une année riche en coopérations entre Pretoria et Moscou, au grand dam de ceux qui souhaitent isoler la Russie depuis son invasion de l’Ukraine.
Miné par des accusations de corruption, Jacob Zuma, l’ancien président sud-africain, se tourne vers son clan pour défendre ses intérêts. Et plusieurs de ses membres n’ont pas leur langue dans la poche…
Élu président de la Zambie en août 2021, l’ancien opposant devenu chef de l’État est salué à l’étranger pour sa gouvernance. Ses opposants s’inquiètent de sa proximité avec l’Occident aux dépens de la Chine.
Englué dans un scandale, on l’imaginait démissionner il y a quelques semaines. Le président s’octroie finalement un second mandat, et part en position favorable pour les élections générales de 2024.