Pour obtenir de meilleures conditions de travail et des hausses de salaires, les ouvriers chinois de la région de Guangzhou n’hésitent plus à se rebeller. Le prolétariat n’est décidément plus ce qu’il était !
Pour obtenir de meilleures conditions de travail et des hausses de salaires, les ouvriers chinois de la région de Guangzhou n’hésitent plus à se rebeller. Le prolétariat n’est décidément plus ce qu’il était !
En Chine, où n’existent ni protection sociale ni accouchement sous X, des structures d’accueil pour enfants abandonnés – et souvent handicapés – sont mises en place.
De Taïwan à Hong Kong et de Bangkok à Jakarta, la République populaire de Chine étend les tentacules de son économie surpuissante. Beaucoup lui reprochent d’avoir l’affection un brin envahissante.
Un permis de séjour de cinq ans en échange d’un chèque de 500 000 euros minimum. Tel est le deal proposé par les autorités portugaises aux investisseurs venus de Pékin ou de Shanghai.
Le président de la Chine, Xi Jinping, tombe la cravate, fait la une des magazines et s’efforce d’apparaître comme un dirigeant proche des gens. Un changement de style sans précédent à la tête de la République populaire.
En Chine, 80 % des homosexuels se marient avec une femme pour échapper à la pression sociale. Leurs épouses – elles sont environ 24 millions – vivent un véritable calvaire. Mais elles commencent à s’organiser.
Chaque année en Chine, plusieurs dizaines de milliers d’enfants – surtout des garçons – sont enlevés pour être revendus. Dans le meilleur des cas, ils deviendront mendiants ou agriculteurs.
Le 23 janvier s’est ouvert l’année du Dragon. L’occasion pour 250 millions de salariés de prendre la route des vacances. Souvent pour la seule fois de l’année.
C’est une quasi-certitude : Xi Jinping sera le prochain président chinois, et Li Keqiang, le prochain Premier ministre. Mais qui intégrera le bureau politique du Parti communiste ? C’est l’enjeu principal du 18e congrès.
Recrutées comme femmes de chambre, dix-neuf jeunes Chinoises ont été séquestrées, battues et contraintes de se prostituer dans un hôtel de Luanda, en Angola. La police locale a mis fin à leur calvaire.
En Chine, de très nombreux jeunes ont pris l’habitude de filmer leurs ébats amoureux, puis de diffuser les vidéos sur internet. Soixante mille sites ont déjà été fermés et deux mille personnes arrêtées. Un vaste mouvement de répression nommé opération Poison jaune. Ça ne s’invente pas…
Inspiré de l’américain Twitter, le site de microblogging Weibo compte aujourd’hui 200 millions d’utilisateurs. Sa spécialité ? La dénonciation de scandales. Le gouvernement chinois apprécie modérément.
Liang Wengen, l’homme le plus riche du pays, a été nommé le 29 septembre membre suppléant du Comité central du Parti communiste. Comme un symbole des temps nouveaux.
Un récent sondage révèle que 80 % des jeunes filles chinoises envisagent de subir une opération de chirurgie esthétique pour… trouver un emploi. Sois belle et travaille !
Créé il y a treize ans – tiens, comme Google ! –, le moteur de recherche chinois écrase la concurrence sur le marché local. Et rêve désormais de s’imposer à l’étranger.
Le gouvernement chinois ayant fait de la lutte contre la corruption une priorité nationale, une dizaine d’hommes d’affaires et de responsables du Parti communiste ont déjà été condamnés à mort et exécutés. Ils ne seront sûrement pas les derniers.
Le tragique accident du TGV le 23 juillet dans la province du Zhejiang conduit à s’interroger sur la fiabilité du réseau ferré à grande vitesse, qui fait pourtant la fierté du régime.
Après 30 ans de croissance, la Chine, profondément clivée entre riches et pauvres, connaît aujourd’hui de violents mouvements sociaux dans tous le pays. Un terreau qui a favorisé l’émergence d’une nostalgie maoïste fondée sur un rejet du capitalisme. Désormais encouragée par le régime qui célèbre en grande pompe le 90e anniversaire du Parti communiste chinois, le 1er juillet, cette « Maostalgie » nationale pourrait bien annoncer les prémices d’un raidissement du régime visant à étouffer toute dissidence.
Après deux semaines de loi martiale, la « capitale » de la province autonome de Mongolie-Intérieure, Hohhot, a retrouvé un semblant de calme. Mais les raisons du récent coup de colère demeurent.
La fin de l’année universitaire approche, et les futurs diplômés savent qu’ils auront le plus grand mal à trouver un travail. Alors que les usines manquent de bras.