La filiale de l’Agence française de développement prévoit le déploiement de 500 experts techniques internationaux d’ici 2027, avec une attention particulière pour le continent. Dans un contexte de troubles dans les pays du Sahel, le directeur général d’Expertise France détaille les priorités de son institution.
Alors que 82 % de la population libanaise a basculé dans la pauvreté, la migration économique vers l’Afrique prend de l’ampleur. Des Libanais issus de la classe moyenne viennent chercher de nouvelles opportunités dans les capitales du continent.
Tourisme, hydrogène vert, croissance économique. La normalisation des relations entre le Maroc et l’Algérie marquerait le début d’une nouvelle ère pour les deux pays et toute la région.
Les « fils de » originaires du Liban prennent petit à petit les commandes des groupes familiaux établis en Afrique, redéfinissant le paysage des affaires du continent, avec une approche qui se démarque parfois de celle de leurs aînés.
« Business is business ». Une philosophie de vie qu’appliquent ceux qui ont fui un pays en proie aux crises pour un continent qui regorge d’opportunités. Alors que le Liban traverse l’une des périodes les plus tumultueuses de son histoire, sa diaspora établie en Afrique est résolument tournée vers l’avenir.
L’économiste était auparavant responsable du Sénégal, du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau, de la Mauritanie et la Gambie au sein de la filiale de la Banque mondiale dévolue au secteur privé. Rencontre.
Grâce au mécanisme novateur dette-nature, Libreville devrait voir ses créances s’alléger de 450 millions de dollars. En contrepartie, le pays s’engage à protéger une partie de son écosystème marin. Explications.
La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) vient de souscrire à une police d’assurance-crédit. Une étape déterminante pour muscler sa capacité de financement au profit des États membres. Explications.
Rencontre avec la directrice financière de la Banque africaine de développement, l’une des stratèges qui murmure à l’oreille du président d’Akinwumi Adesina.
Nommé à la tête de l’institution de financement international, le 1er juin, cet homme au profil atypique et aux qualités recherchées était soutenu par les États-Unis. Il succède à David Malpass.
Dans un contexte international tendu, et grâce aux ressources propres à l’Afrique, la Zone de libre-échange continentale africaine promet de transformer le commerce intra-africain. Trente mois après son lancement officiel, quel premier constat peut-on dresser, et avec quelles pistes d’amélioration ?
Quelques accords de financement, des « consensus » mais pas de décision concrète en vue de refonder la finance mondiale au service du climat. Un bilan aux notes douces-amères pour un sommet qui se voulait révolutionnaire.
Comment répondre aux difficultés de financement que rencontrent les pays du Sud dans un contexte de lutte contre réchauffement climatique ? La question, épineuse, est au cœur des discussions qui se tiendront à Paris les 22 et 23 juin.
Pour la société de conseil McKinsey, les économies du continent doivent mettre l’accent sur la productivité, en particulier dans le secteur des services, afin de relancer leurs croissances.
Avec une augmentation de 31 % de sa production du minerai en 2022, le pays est sur le point de dépasser le Pérou, deuxième derrière le Chili. Mais cette ascension doit s’accompagner d’une gestion transparente et responsable.
La banque panafricaine dispose d’une multitude d’outils financiers « innovants » et « avant-gardistes », selon les mots du ministre d’État britannique chargé du Développement et de l’Afrique. De quoi s’agit-il concrètement ?
Malgré la grande résilience des économies africaines, celles-ci demeurent exposées à des risques : croissance mondiale faible, resserrement des conditions financières, impact climatique… Mais le potentiel reste énorme, estime la Banque africaine de développement dans son dernier rapport.
De Washington à Charm el-Cheikh, la question de la réforme du système d’allocation des Droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI est identique. Pour Jeune Afrique, Hanan Morsy, secrétaire exécutive adjointe et économiste en chef de la CEA, revient sur les propositions formulées au cours des assemblées annuelles de la BAD.
La 58ème session annuelle du conseil des gouverneurs de la Banque et la 49ème session du conseil des gouverneurs du Fonds africain de développement sont lancées. Plus de quatre milles personnes ont fait le déplacement en Égypte.
Pas épargnée par la succession de crises mondiales qui ont émergé depuis le Covid, la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) n’a pas dit son dernier mot. Le vice-président de la Banque mondiale pour la région revient sur les enjeux, les perspectives et les avantages comparatifs de ce territoire en pleine mutation.
Le rôle du groupe de la Banque Islamique de Développement (BID) est de plus en plus significatif en Afrique, où se trouvent un tiers des musulmans dans le monde.
Le Fonds social de la RDC a été dissous par ordonnance présidentielle. Justifiée par une volonté de « canaliser l’action institutionnelle en vue d’une meilleure efficience », la décision a surpris la Banque mondiale, qui s’est empressée de réagir.
La Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) peut-elle vraiment faire de l’Afrique une puissance économique mondiale ? Avec les bonnes réformes, le Fonds monétaire international estime que c’est possible. D’ailleurs, le continent devrait tirer profit du contexte économique mondial actuel pour « enclencher la machine ».
Dans une conjoncture mondiale marquée par les conséquences de la pandémie de Covid-19 et de la guerre en Ukraine, les trois pays voisins du Maghreb ont adopté des stratégies diverses, débouchant sur des taux de croissance presque comparables. Explications.
Malgré les aléas climatiques et conjoncturels, le pays poursuit la restructuration du secteur agricole. Et même si les défis restent nombreux, le paysage a déjà changé.
La guerre en Ukraine et la montée des tensions entre Washington et Pékin font craindre un retour à une situation de guerre froide, marquée par la scission du monde en deux blocs. Une configuration périlleuse pour le continent.
Les exportations soudanaises d’or ont atteint près de 2,5 milliards de dollars en 2022. Une somme qui équivaut à 42 tonnes vendues et à près de 45 % des exportations nationales. La guerre qui secoue le pays depuis la mi-avril complique la donne.