Près de 43 milliards d’euros. C’est le coût de la première phase de construction de la nouvelle métropole administrative qui doit voir le jour d’ici à cinq ans pour que la capitale égyptienne respire un peu.
Dynamisé par d’importantes introductions et augmentations de capital, l’Egyptian Exchange s’est imposé l’an dernier comme la Place la plus performante des marchés émergents.
En Égypte, la francophonie s’inscrit dans un contexte plurilingue où l’anglais est la langue de communication des entreprises internationales et du monde politique, mais où le français n’est pas pour autant délaissé.
Premier importateur mondial de blé, l’Égypte veut faire de sa dépendance un atout, en jouant de sa position entre les grandes zones de production (Europe, Russie) et de consommation (Asie, Afrique) afin de devenir un pôle d’envergure internationale pour le stockage et le transport des céréales.
Ferme éolienne, parc solaire, centrales thermiques… Pour répondre au plan d’urgence qui doit relancer la production nationale d’électricité, le groupe privé Elsewedy est sur tous les fronts.
Après trois ans d’instabilité, l’État a engagé des réformes qui ont surpris par leur radicalité. Efficaces à défaut d’être populaires, elles ont relancé la croissance et l’emploi. Et fait revenir les investisseurs.