![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/10/25/1994-08-21t120000z_515423546_pbeahunhmct_rtrmadp_3_rwanda-660x440.jpg)
![Des soldats français de l’opération Turquoise, en 1994 sur l’aéroport de Bukavu au Zaïre (actuelle RDC), juste avant leur départ pour la France. © Reuters (Archives)](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/10/25/1994-08-21t120000z_515423546_pbeahunhmct_rtrmadp_3_rwanda.jpg)
Dossier
Génocide au Rwanda : Bisesero, le massacre qui embarrasse l’armée française
Alors que la justice française entend clore par un non-lieu son instruction sur Bisesero, l’un des épisodes les plus controversés de l’opération Turquoise au Rwanda en 1994, les parties civiles dénoncent le « naufrage judiciaire » que représenterait un enterrement de cette affaire dans laquelle des militaires français sont soupçonnés de complicité de génocide.