Depuis une dizaine d’années, les sociétés indépendantes sont à l’origine de la plupart des découvertes de pétrole en Afrique. Poussant parfois les multinationales bien installées à se remettre en question.
Spécialiste des gisements en eau très profonde, le groupe français compte tirer profit de la difficulté d’accès des réserves africaines. L’Angola et le Ghana figurent parmi ses terrains de prédilection.
L’un a quitté une multinatinoale pour créer sa société, l’autre a pris les rênes d’une entreprise publique. Mais pour les deux, un même objectif : devenir un distributeur régional incontournable.
Ouvert en 2010, l’Institut du pétrole et du gaz de Port-Gentil a vocation à former des techniciens et ingénieurs opérant à tous les niveaux de l’industrie pétrolière.
Helios Investment Partners, Phoenix Capital Management, Emerging Capital Partners… Depuis deux ans, les investisseurs témoignent d’un intérêt croissant pour la distribution de pétrole et de gaz.
Le patron de Maurel & Prom détaille sa stratégie en Afrique et dévoile ses ambitions pour l’avenir. L’occasion, aussi, de répondre aux rumeurs de vente du groupe français.
Les découvertes de gaz se multiplient au large du Mozambique et de la Tanzanie. Des groupes comme Shell et Petrobras sont prêts à exploiter cette manne, mais les États tergiversent sur la stratégie à adopter.
Bénéficiant d’hypothétiques ressources en pétrole et en gaz, le royaume tente d’attirer les sociétés d’exploration à coups de contrats avantageux. Espérant décrocher le gros lot, les juniors jouent le jeu.
Le géant chinois pousse ses pions en Afrique, qui représente 20 % des importations de pétrole de Pékin. Il vient ainsi de racheter les parts du français Total dans le gisement d’Usan, au large du Nigeria.