![Les rapports entre le président français Emmanuel Macron et les chefs d’État marocain, algérien et tunisien se sont nettement dégradés. © MONTAGE JA; Ludovic Marin/AFP; Fadel Senna/AFP; Serguey Pyatakov/EPA/EFE/MAXPPP; Nicolas Fauqué](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=300,height=200,fit=cover,gravity=0.4274x0.2946/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/02/jad20231102-mmo-serie-intro-francais-maghreb.jpg)
![Les rapports entre le président français Emmanuel Macron et les chefs d’État marocain, algérien et tunisien se sont nettement dégradés. © MONTAGE JA; Ludovic Marin/AFP; Fadel Senna/AFP; Serguey Pyatakov/EPA/EFE/MAXPPP; Nicolas Fauqué](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1500,height=750,fit=cover,gravity=0.4274x0.2946/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/02/jad20231102-mmo-serie-intro-francais-maghreb.jpg)
Dossier
[Série] Au Maghreb, le grand recul de la France et du français
Le président français Emmanuel Macron promettait en 2017 de « tout changer » dans les relations entre Paris et les trois pays du Maghreb central. Mais à présent, le lien semble plus distendu que jamais, alors que l’usage et de l’apprentissage de la langue française connaissent une désaffection croissante.