FICHE ÉCOLE

arton60028
Burkina Faso

Université de KOUDOUGOU

NOTRE ÉCOLE

Par décret n° 96-331/PRES/PM/MESSRS/MEBA du 27 septembre 1996 a été créée l’Ecole Normale Supérieure de Koudougou (ENSK) par transfert de l’Institut des Sciences de l’Education (INSE) et l’Ecole des Cadres d’Animation Pédagogiques (ECAP).

Par décret n° 2000-287/PRES/PM/MESSRS/MEBA/MEF du 22 juin 2000, l’ENSK est érigée en Etablissement d’enseignement supérieur, de formation professionnelle et de recherche dont les missions sont d’assurer la formation des personnels de l’éducation, la conception, la production et la diffusion des matériels didactiques et de promouvoir la recherche en éducation.

En application de la loi n° 32-2000/AN du 08 décembre 2000 portant création de la catégorie d’établissements Publics de l’Etat à caractère Scientifique, Culturel et Technique (EPSCT), l’ENSK a été érigée en 2004 en Etablissement public de l’Etat à caractère Scientifique, Culturel et Technique (EPSCT).

Par décret n° 2005-460/PRES/PM/MESSRS/MFB du 31 août 2005 est créée l’Université de Koudougou suite à la dissolution de l’Ecole Normale Supérieure de Koudougou. L’existence de l’Ecole Normale Supérieure de Koudougou a été sans conteste un atout favorable et une base essentielle dans l’édification et la structuration de la nouvelle Université. Le patrimoine humain, physique et expérimental de l’ENSK ont constitué des acquis importants et des matériaux d’angle qui ont été mis à profit et qui ont permis la mise en place diligente des structures de la nouvelle Université.

En outre, ce sont les compétences et les ressources de cette Ecole qui ont été mises à contribution pour réaliser l’étude de faisabilité et produire les textes fondamentaux sur la création de l’Université de Koudougou.

La création de l’Université de Koudougou s’inscrit dans la dynamique de redéfinition du rôle et des missions des structures universitaires dans le sens de la pleine participation de celle-ci au développement socio-économique du Burkina Faso. Elle procède également du souci des autorités de mieux contextualiser le système universitaire pour donner à l’enseignement supérieur « une nouvelle emphase de rentabilisation sociale des formations universitaires » et pour que les nouveaux diplômes soient capables de saisir les opportunités et/ou de les créer pour eux-mêmes » (Plan décennal de l’enseignement post-primaire au Burkina Faso, 1996-2005).