Élu dans la soirée du 27 septembre, le Gabonais arrive à la tête d’une institution qui a connu de fortes évolutions. Son principal challenge : regagner la confiance des équipes.
Sous la houlette de l’Association des transporteurs aériens francophones (Ataf), les dirigeants des principales compagnies aériennes francophones opérant sur le continent ont débattu de partenariats « gagnant-gagnant » le 14 octobre, à Toulouse. Revue de détails.
Le 21 juillet, une obligation de continuité de service public a été adoptée par les ministres des Transports des pays membres de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).
Après l’annulation de vols d’Air France, de la Royal Air Maroc ou encore d’Air Sénégal, la défiance semble plus forte que jamais entre les dirigeants de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar et les syndicalistes. Un nouveau round de négociations est prévu le 17 octobre.
Interdiction de la grève, réquisitions de contrôleurs aériens… Au moment où les syndicats et instances dirigeantes de l’Asecna se rejettent la responsabilité de l’échec des négociations, les 17 pays concernés s’efforcent d’éviter la paralysie de leurs ciels respectifs.
La mobilisation promettait d’être historique. Les syndicats des contrôleurs aériens de l’Asecna ont finalement accepté, à la demande du président sénégalais, de suspendre la grève qui devait démarrer le 25 août. Pour l’instant…
Menace de grève des contrôleurs aériens, adhésion du Rwanda, place de la France, chute des revenus, gestion comptable… Jeune Afrique passe en revue les dossiers chauds de l’Agence pour la sécurité de la navigation en Afrique et à Madagascar (Asecna) avec son directeur général, Mohamed Moussa.
Equatorial Congo Airlines (ECair), qui avait déposé le bilan en 2016 en raison de son surendettement, a signé un mémorandum d’entente avec la société sud-africaine Allegiance Capital afin de relancer ses activités. Qui est ce partenaire ? D’où viendront les capitaux ? L’appui de l’État congolais suffira-t-il ?
Un avion militaire français a fait la liaison Abidjan-Gao, le 11 janvier, suscitant la colère des autorités maliennes, qui avaient annoncé la fermeture de leurs frontières. Une affaire qui a aussi pour enjeu l’approvisionnement de la force Barkhane.
Investir dans les nouvelles technologies et revoir la place de la France, tels sont les moyens de moderniser la gestion du ciel africain avec, à la clé, davantage de recettes pour les États, juge Emmanuel Dupuy, le président de l’Institut prospective et sécurité en Europe.
C’est au premier tour mais au terme d’un long huis-clos que les dix-huit membres de l’Agence panafricaine de sécurité aérienne ont choisi de renouveler leur confiance au dirigeant. Les détails avec Jeune Afrique.
Après une décennie de gestion ouest-africaine, la région compte sur la prochaine élection du directeur général pour reprendre la main sur l’agence. Mais n’a pu se mettre d’accord sur une candidature unique.
Selon nos informations, les autorités tchadiennes ont retiré la candidature de Mahamat Aware Neissa pour l’élection au poste de directeur général de l’Asecna, qui doit se tenir le 14 septembre.
Malgré la poursuite de l’assainissement des comptes et des investissements stratégiques, le futur de l’Asecna demeure incertain à moins d’un mois de l’élection de son directeur général.
Mohamed Moussa, le directeur général de l’agence panafricaine de navigation aérienne, l’Asecna, envisage des mesures d’économies draconiennes dès le 1er juillet pour faire face à la chute du trafic.
Le 20 avril, à Bissau, l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna), dirigée par le Nigérien Mohamed Moussa, a désigné le nouveau président de son conseil d’administration.
L’Agence panafricaine de sécurité de la navigation aérienne préconise de suspendre ses services auprès de la compagnie nationale camerounaise, qui accumule les arriérés. Pour faire pression sur cette dernière, ses agents menacent de provoquer des retards de 30 minutes.
Suite aux révélations de Jeune Afrique, les dirigeants de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar reconnaissent des problèmes comptables sur la période 2012-2014. Ils ont voulu rassurer sur la solidité financière de l’institution. De nouvelles informations obtenues par JA font état de relations à couteaux tirés entre le DG actuel et son prédécesseur.
À la suite des révélations de JA sur la gestion budgétaire catastrophique de l’Asecna et l’évaporation de dizaines de milliards de francs CFA, les dirigeants du conseil d’administration de l’agence se réuniront les 18 et 19 juillet et donneront des explications.
Après que Jeune Afrique a dévoilé, documents à l’appui, l’évaporation de dizaines de milliards de francs CFA des caisses de l’Asecna, le directeur général de l’agence, Mohamed Moussa, reconnaît que celle-ci a « traversé des moments difficiles », dans un courrier adressé à ses agents.
Les rapports d’audit que JA s’est procurés attestent de la gestion budgétaire catastrophique de l’agence chargée de la sécurité aérienne dans dix-sept pays africains. Depuis six ans, des sommes considérables ont disparu, vraisemblablement détournées. Enquête.
À la tête de l’Asecna, ils sont les garants de son bon fonctionnement. Directeurs généraux, et membres du Conseil d’administration pouvaient-ils ignorer l’ampleur des détournements présumés ?
Dans son édition du 23 juin, Jeune Afrique révèle, sur la base de documents exclusifs, l’évaporation de plusieurs dizaines de milliards de francs CFA des comptes de l’agence panafricaine de sécurité aérienne.
Les travaux préliminaires du nouvel aéroport international de Glo-Djigbé sont presque achevés. En projet depuis les années 1970, il doit remplacer l’aéroport Cardinal-Bernardin-Gantin.
Un ex-ministre nigérien et actuel conseil principal du Premier ministre Brigi Rafini pour les partenariats public-privé, Mohamed Moussa, a été désigné nouveau directeur général de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna), en remplacement du Malien Amadou Ousmane Guittèye. Il quitte ses fonctions de conseiller au sein du gouvernement du Niger.