Sous la houlette de l’Association des transporteurs aériens francophones (Ataf), les dirigeants des principales compagnies aériennes francophones opérant sur le continent ont débattu de partenariats « gagnant-gagnant » le 14 octobre, à Toulouse. Revue de détails.
Si elle se consacre beaucoup au lancement du marché commun africain et à la question de la place des femmes dans l’industrie aéronautique, la directrice générale de RwandAir porte surtout une politique ambitieuse – et onéreuse – de développement de sa compagnie, avec la confiance et l’appui de Kigali.
Les tiraillements entre libéralisation et protectionnisme qui déchirent le secteur aérien africain depuis plus de vingt ans, le secrétaire général de l’Afraa les connaît bien. Il pose un regard sans illusion sur un marché à la fois fragile et indispensable au développement du continent.
Grands sponsors des retrouvailles des acteurs du secteur, les avionneurs ont rencontré à Dakar plus de fournisseurs de services aériens que de compagnies. Coulisses.
La mobilisation promettait d’être historique. Les syndicats des contrôleurs aériens de l’Asecna ont finalement accepté, à la demande du président sénégalais, de suspendre la grève qui devait démarrer le 25 août. Pour l’instant…
Malgré l’annus horribilis que le Covid-19 a infligée aux compagnies aériennes du monde entier, les transporteurs du continent ont déployé des efforts colossaux pour survivre. Zoom sur quelques-unes de ces stratégies d’adaptation.
Alors que les conséquences du Coronavirus s’annoncent catastrophiques pour le transport aérien, pour Abderrahmane Berthé (Afraa), les États doivent mettre en place très rapidement des mesures pour soutenir le secteur.
À l’aune des expériences de libéralisation du secteur ailleurs dans le monde, le directeur général de la très puissante association mondiale des compagnies aériennes invite les États africains à accélérer la mise en place du Ciel unique.
À l’issue de la 51e assemblée générale de l’Afraa, les patrons des compagnies africaines ont fait le point sur l’avancement du Marché unique du transport aérien continental, tout en déplorant des coûts trop élevés. Alors même que les cours du pétrole remontent.
Vingt-huit États ont signé à ce jour le traité sur le Marché unique du transport aérien africain (Mutaa), une composante essentielle de la Zone de libre-échange économique africaine (Zleca). Le secrétaire général de l’Association des compagnies aériennes africaines (Afraa), Abderrahmane Berthé, fait le point sur sa mise en œuvre.
Ce Malien, qui était jusqu’en juin directeur général d’Air Burkina, deviendra le 1er janvier 2018 le secrétaire général de l’Association des compagnies aériennes africaines (Afraa). Un de ses principaux chantiers sera de créer plus de connectivité entre les compagnies africaines.
Alors que le secteur aérien connaît une bonne croissance en Afrique, les compagnies du continent ont du mal à réaliser des profits. En cause, une taille encore modeste et d’importants frais, notamment en termes de taxes et d’approvisionnement en kérosène.