Le site de Loulo-Gounkoto, dans le sud du Mali, est la plus grande mine d’or du pays. Un site aujourd’hui possédé à 80 % par le canadien Barrick Gold sur lequel les mercenaires de la nébuleuse russe Wagner ont désormais des vues. Décryptage en infographies.
La flambée de l’or noir a propulsé les bénéfices des pétroliers mais n’a pas empêché la marge nette des 500 de tomber à 11,5% contre 14,9% lors de l’édition précédente.
Riche en minerais critiques et stratégiquement située, l’Afrique dispose en théorie de tout pour jouer un rôle clé dans la transition énergétique en cours. Mais la réalité s’avère cependant plus complexe.
Africa Business+, en partenariat avec le cabinet conseil EY, vient de publier « 30 Mining Impact Champions », un classement inédit des miniers en fonction de leur impact économique local sur le continent.
Portée par la hausse de la production et la baisse des coûts de production, le premier producteur d’or d’Afrique a renforcé sa performance financière et confirmé ses prévisions de croissance.
Au Maroc, après plusieurs rebondissements, la patronne de l’hôtel préféré de Jacques Chirac vient encore de céder du terrain dans son combat judiciaire face à Bank of Africa – et prépare désormais la riposte.
Au Mali comme dans les autres pays où il est présent, le groupe Barrick suit de près les évolutions législatives et leur impact potentiel sur l’industrie extractive.
Les entreprises minières de RDC ne cessent de gagner des places dans notre classement régional des Champions africains. Elles sont désormais trois dans le Top 10, dont une à la première place, contre aucune il y a à peine cinq ans.
Après avoir lancé sa mine d’or en Guinée, le groupe marocain a racheté plusieurs projets aurifères en Afrique de l’Ouest, avec pour objectif de doubler sa production dans les prochaines années. Décryptage.
Prospection, logistique, transformation locale… Le patron du géant minier dévoile la stratégie de son entreprise, désireuse d’exploiter davantage le cuivre, notamment en Zambie et en RDC.
La société d’État dans le secteur aurifère fait régulièrement l’objet des critiques pour notamment son manque de transparence. Mais ses dirigeants veulent croire que le défi est possible à relever.
Principale source de devises du pays, l’or malien paraît, en partie, protégé de l’embargo terrestre de la Cedeao. Mais le pays, malgré des cours en hausse, fait face à l’épuisement des ressources. Comment les opérateurs miniers peuvent-ils y remédier ?
Quand la pandémie a frappé le continent, les groupes déjà rompus au dialogue social se sont plus rapidement adaptés que les sociétés qui y étaient moins habituées.
Rachetée par la junior australienne Mali Lithium au géant canadien Barrick, la mine d’or malienne, dont les réserves paraissaient épuisées, s’apprête à produire de nouveau.
L’achat d’une participation dans Barrick par Berkshire Hathaway envoie un faux signal aux investisseurs habitués à suivre l’homme d’affaires américain.
La compagnie minière canadienne a finalement renoncé d’acquérir les 10 % de participations dans la société publique congolaise Sokimo dans la mine d’or de Kibali. Une décision prise après une vive polémique autour de ce projet.
Avec une production d’environ 30 tonnes en 2019, soit quatre fois plus qu’il y a dix ans, la filière aurifère ivoirienne est en plein boom et attire de nouveaux opérateurs.
Après Barrick Gold qui a demandé à la junior canadienne AJN Resources d’abandonner son projet de rachat, plusieurs organisations non gouvernementales congolaises dont la Cogep s’insurgent contre le projet de conversion des droits de Sokimo en participation directe dans la mine aurifère de Kibali.
Sénégal, Côte d’Ivoire, Zambie… Depuis qu’il a pris les rênes du deuxième producteur d’or de la planète, le Sud-Africain Mark Bristow est sur tous les fronts.
Le premier producteur mondial d’or va céder à son compatriote canadien Teranga Gold 90 % des parts qu’il détenait dans le gisement minier de Massawa, découvert dix ans plus tôt par l’ancienne société de Mark Bristow, le dirigeant de Barrick Gold.
Après deux ans de litige fiscal, le géant canadien de l’or a trouvé un terrain d’entente avec les autorités pour relancer son exploitation des sous-sols tanzaniens. Une répartition égale des bénéfices est désormais annoncée.
Le groupe minier Barrick Gold, qui exploite la plus grande mine d’or de Côte d’Ivoire, à Tongon dans le Nord, prépare une cession d’une partie de ses actifs. La transaction devrait se concrétiser avant la fin de l’année.
Une offre plus élevée a permis à Barrick Gold de convaincre les actionnaires minoritaires d’Acacia Mining de lui céder 36% du capital qu’il convoitait. Retour sur l’épilogue d’un feuilleton qui a duré plus de deux mois.
Alors qu’Acacia Mining, miné par un redressement fiscal pharaonique, est dans l’impasse en Tanzanie depuis plus de deux ans, Mark Bristow, le patron de Barrick Gold, a tenté de reprendre en main les négociations avec Dar es-Salaam. Mais la partie s’est révélée plus compliquée que prévu.
La production industrielle d’or ivoirien a chuté de 3,57% en 2018, se situant à 24,5 tonnes, a annoncé le porte-parole du gouvernement. Le secteur minier dans son ensemble a enregistré l’année dernière un chiffre d’affaires de 582,3 milliards de francs CFA.
L’annonce le 11 mars de l’accord trouvé entre Barrick et Newmont Mining pour la création d’une coentreprise visant à exploiter en commun leurs gisements dans le « Gold country » du Nevada a sonné la fin de l’OPA hostile du premier sur le second, annoncée le 25 février dernier.