Recherche et développement, financement, régulation… Plusieurs pays du continent se mettent en ordre de marche pour prendre le train de l’intelligence artificielle. D’autres sont encore à la traîne.
Patronat, OCP, ministère de l’Industrie, Masen, Royal Air Maroc… À l’Africa CEO Forum, plusieurs représentants des secteurs public et privé ont vanté les opportunités d’investissements dans le royaume.
Le département du Commerce des États-Unis veut relever les droits de douane sur les engrais marocains de 2,12 % à 14,21 %. Cette mesure, si elle est confirmée, pourrait affecter directement le groupe marocain OCP, susceptible de faire appel, et pourrait augmenter les coûts pour les agriculteurs américains.
Le marocain OCP Group, leader mondial de l’engrais phosphaté, investit depuis plusieurs années dans les énergies d’avenir. Une initiative qui vise à réduire son empreinte carbone et ses importations d’ammoniac.
Hydrogène, ammoniac vert, technologie… Les deux mastodontes miniers veulent créer « une entreprise de pointe mondiale » afin de répondre aux besoins du Maroc, mais aussi à ceux des marchés internationaux.
Appelé à constituer un « tournant pour l’économie marocaine », le « pétrole vert » est désormais au cœur de la stratégie énergétique du royaume. Plusieurs géants du secteur sont d’ores et déjà dans les starting-blocks.
Le géant marocain dirigé par Mostafa Terrab présente des résultats 2023 en repli par rapport à 2022 et 2021, deux années fastes. Ce qui ne l’empêche pas de maintenir ses ambitions et ses investissements.
Premier producteur mondial d’engrais phosphatés, le groupe marocain dirigé par Mostafa Terrab ne cesse de s’étendre et de se diversifier. Il mène aujourd’hui de front plusieurs chantiers aussi ambitieux que stratégiques pour le royaume. Au risque de s’éparpiller ?
La flambée de l’or noir a propulsé les bénéfices des pétroliers mais n’a pas empêché la marge nette des 500 de tomber à 11,5% contre 14,9% lors de l’édition précédente.
Désireuse de renforcer la coopération entre le Maroc et l’Hexagone en matière de recherche et d’entrepreneuriat, l’UM6P vient d’inaugurer une antenne française à Paris.
Confrontés au stress hydrique, les pays du Maghreb rivalisent de projets pour continuer d’assurer l’approvisionnement en eau potable à leur population.
Des décisions de justice encourageantes et le relatif maintien de ses exportations témoignent de la capacité d’adaptation du géant marocain sur le marché américain face à son concurrent.
En bataille devant la Chambre de commerce internationale à Paris ou devant des institutions américaines, le géant marocain des engrais phosphatés ne lésine pas sur les moyens pour gagner ses contentieux. Revue de détails.
En visite aux Émirats arabes unis, le roi du Maroc est accompagné d’une délégation à forte composante économique, imprimant une couleur très « business » à ce déplacement royal.
Le départ du Cameroun et de Côte d’Ivoire du géant norvégien témoigne d’une volonté de se concentrer sur l’Afrique orientale et australe. Plus globalement, il interroge sur sa stratégie africaine.
Quand certains établissements et entreprises publics marocains enchaînent les années bénéficiaires, d’autres font grise mine, voire traînent l’image de « canards boiteux ».
Africa Business+, en partenariat avec le cabinet conseil EY, vient de publier « 30 Mining Impact Champions », un classement inédit des miniers en fonction de leur impact économique local sur le continent.
Dotée de 800 millions de dollars, une plateforme commune du bailleur de la Banque mondiale et du géant marocain des phosphates doit encourager l’essor du financement de l’agriculture continentale.
Un partenariat avec la Banque mondiale, un prêt de 100 millions d’euros auprès de sa filiale privée l’IFC… Les Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale qui ont lieu à Marrakech s’avère être un terrain fertile pour OCP, le géant marocain des phosphates.
Frappé par le tremblement de terre le plus puissant de son histoire récente, le royaume panse ses plaies, tout en préparant la reconstruction. Une opération d’envergure qui « prendra du temps et nécessitera des moyens colossaux ».
Le leader mondial des engrais phosphatés dirigé par Mostafa Terrab enregistre des résultats en repli. Le retour à la normale des prix de vente et la fébrilité de la demande expliquent cette contraction.
Comme durant la pandémie, les entreprises sont déjà en ordre de bataille pour organiser l’après-séisme. Une mobilisation générale qui se matérialise d’abord par des dons au profit d’un fonds spécial créé à cet effet.
Ex-membre du très sélect G14 et ancien ministre, le patron de Mutandis, 59 ans, a réussi au cours de sa carrière à se constituer un solide réseau, aussi bien dans la politique que dans le business.
Entre missions de consulting, sport et engagement politique, sept ans après son mystérieux départ, l’ancien PDG de la Royal Air Maroc mène une vie de retraité très actif.
Trois ans après avoir intégré le géant français des assurances, Meryem Chami, jusque-là directrice générale des filiales Maroc et Cima, succède à l’Égyptien Hassan El-Shabrawishi.
Acteur sécuritaire de premier plan sur le continent via le groupe Wagner, Moscou est aussi un fournisseur clé d’engrais, autre levier d’influence. Décryptage d’une diplomatie économico-politique.
En trois mois, plusieurs grands groupes chinois ont annoncé leur intention de s’implanter au Maroc pour y produire des batteries électriques. Si le royaume dispose de nombreux atouts sur ce filon d’avenir, des experts mettent en garde contre « les effets d’annonces ».
L’associé de Development Partners International revient pour Jeune Afrique sur l’acquisition de Solevo (ex-Louis Dreyfus Company), l’un des principaux distributeurs de produits chimiques de spécialité et d’intrants sur le continent.