Orange est une entreprise française dé télécommunications. Elle est implantée dans 83 % des pays du continent africain et de la région du Moyen-Orient (rapport annuel 2013).
Le rapprochement du groupe de Vincent Bolloré et de MultiChoice ainsi que l’arrivée de la TV par Internet s’accompagnent d’une explosion du contenu local, dont tout le monde ne bénéficie pas.
Îlots de stabilité lors des récentes perturbations de connectivité chez leurs concurrents, les filiales subsahariennes de l’opérateur historique marocain maintiennent le cap sur la croissance.
Vice-président pour l’Afrique de l’association Internet Society, Dawit Bekele revient sur les récentes ruptures de câbles sous-marins qui ont ralenti l’internet ouest-africain ces derniers jours et mis en lumière la nécessité d’une meilleure résilience du continent.
Taxes, investissements, coût de l’énergie, couverture des zones rurales… Les défis s’accumulent pour un secteur qui a choisi, pour la première fois de son histoire, de se constituer en lobby pour défendre ses intérêts.
Pas un, ni deux, ni trois, mais quatre câbles sous-marins de fibre optique ont été endommagés au large des côtes ivoiriennes. Une situation « inédite » pour les États et les opérateurs télécoms.
Indispensables pour la connectivité du continent, plusieurs câbles sous-marins de fibre optique ont été victimes d’incidents majeurs à l’origine de perturbations.
Usine numérique locale, centre de compétences pour faire émerger les talents africains, investissements sociaux… Rappelant qu’Orange mise de longue date sur le « made in Africa », son responsable Afrique et Moyen-Orient souligne que cette stratégie permet au groupe d’être épargné par les remous politiques dans la région.
Dakar s’ouvre depuis plus d’une décennie à de nouveaux investisseurs, venus notamment du Golfe, de Chine et de Turquie. Pourtant la France demeure le premier partenaire économique du pays, malgré un recul perceptible de ses intérêts commerciaux.
Conscients depuis longtemps de l’intérêt économique et social de développer le secteur, les financiers ne se sont intéressés que très récemment aux entrepreneurs de la culture. Pourquoi ?
Plusieurs hauts dirigeants sénégalais de groupes comme MTN, Orange, Wave ou Partech Africa investissent les réseaux sociaux pour contester le choix de Macky Sall.
Malgré l’intérêt de nombreux opérateurs comme Orange, Axian, MTN, e&, Zain ou Veon, les autorités d’Addis-Abeba ont décidé d’abandonner le processus de livraison d’une seconde licence d’opérateur privé, tandis qu’Ethiotel ne semble pas prêt à céder facilement 45 % de ses parts.
En s’acharnant judiciairement sur ce chef d’entreprise, le chef de l’État tunisien paraît plus soucieux de désigner des boucs émissaires que de trouver des solutions à la crise économique qui ronge son pays.
La Sonatel a donné le coup d’envoi du déploiement de « Max It » une plateforme multiservices conçue pour être une place de marché regroupant les applications mobile du groupe Orange et celles de tierces entreprises.
Alors que le débat fait rage en Europe, la question d’une juste contribution des plateformes de contenus comme Netflix ou Youtube aux financements des réseaux d’accès à internet a depuis peu traversé la Méditerranée et s’apprête à secouer le marché africain.
Jusqu’ici présente uniquement en Côte d’Ivoire, la filière bancaire africaine du groupe français a obtenu le feu vert de la commission bancaire de l’UMOA pour se lancer au pays de la Teranga. Elle visait initialement un lancement en 2021.
Les deux opérateurs ont créé la coentreprise Mawezi qui sera chargée de la gestion de la station d’atterrissement du câble de fibre optique à Muanda, près de l’embouchure du fleuve Congo.
L’essor des start-up tech, moteur des économies continentales, pousse les États à se doter de législations protégeant les données personnelles. Une pratique pour laquelle le rôle des avocats se révèle crucial.
Un phénomène naturel sous-marin a engendré dimanche 06 août la rupture de deux câbles de fibre optique dans le canyon du fleuve Congo, une zone connue pour ce genre d’incident.
Une association de consommateurs burkinabè appelle au boycott des télécoms à partir du 8 août pour dénoncer les prix des communications. C’est le deuxième appel de ce type depuis avril.
Le conglomérat malgache dirigé par Hassanein Hiridje a signé un accord en vue d’acquérir une participation supplémentaire de 40 % du deuxième opérateur du pays pour en détenir finalement 80 %.
Orange, MTN et Moov constatent depuis plusieurs trimestres une stagnation, voire une baisse des revenus globaux de leur secteur alors que la Côte d’Ivoire connaît une croissance de PIB. Comment expliquer cette situation ?
Nouvelle patronne du mobile money chez Orange, cette dirigeante au carnet d’adresses bien fourni a pour mission de transformer Orange Money en plateforme multiservices.
Voilà cinq ans que la société au pingouin est venue bouleverser les équilibres du mobile money en Afrique de l’Ouest. L’occasion pour sa directrice générale de faire un point sur les ambitions de la start-up aux 2 000 employés.
La filière bancaire africaine du groupe de télécommunications ne devrait pas être impactée par les négociations exclusives pour les activités de sa consœur en France et en Espagne avec la banque commerciale française.
Il y a un an, une levée de boucliers accueillait l’instauration d’une taxe sur les transactions financières. Comment le marché du mobile money a-t-il évolué depuis ?
Sonatel, Free, mais aussi Wave… Les dégradations lors des manifestations après la condamnation d’Ousmane Sonko et la coupure internet décidée par l’exécutif de Macky Sall ont eu un impact financier important.
Jusque-là discrète, la diplomatie sud-africaine a décidé de se faire entendre dans la croisade judiciaire déclenchée au Cameroun par Baba Danpullo contre des filiales des groupes de leur pays. Les liquidateurs des entreprises de l’homme d’affaires en Afrique du Sud ont également chargé un cabinet camerounais de les représenter dans les procédures locales.
Pour la première fois depuis 2019, l’Agence de régulation a infligé une amende de 9,1 millions d’euros aux principaux opérateurs télécoms au Cameroun. Lesquels se réfugient derrière l’absence de notification pour se justifier.
Le régulateur éthiopien vise juin pour l’ouverture des candidatures à une deuxième licence d’opérateur privé et la cession d’une partie d’Ethio Telecom. Dans ce contexte porteur, les émissaires des principaux opérateurs actifs dans la région se succèdent à Addis-Abeba. JA lève le voile sur ces tractations.