Orange est une entreprise française dé télécommunications. Elle est implantée dans 83 % des pays du continent africain et de la région du Moyen-Orient (rapport annuel 2013).
L’organisation publique-privée imaginée par le président rwandais fête ses dix ans au Zimbabwe, dans le cadre de son événement Transform Africa Summit. L’occasion de faire le point sur ses projets, qui ne se concrétisent pas toujours.
Mauvaise qualité de service, tarification peu avantageuse… À l’image des Burkinabè et des Ivoiriens, les consommateurs camerounais boycottent des services deux heures chaque jour. Face à l’ampleur du mouvement, le gouvernement a décidé de réagir.
Ces deux figures du monde mauritanien des affaires, actionnaires de l’opérateur Mattel, se livrent un combat acharné. Ce qui inquiète leur partenaire Tunisie Telecom, et même le Palais.
À trois ans d’une présidentielle à laquelle, répète-t-il, il ne se présentera pas, le président de Djibouti parle de ses voisins, des bases militaires, de ses opposants… Et dresse en creux le portrait de son futur candidat.
La Cour suprême du Mali a confirmé la condamnation d’Orange Mali et de Malitel, filiale locale de Maroc Telecom, à indemniser une association de consommateurs à hauteur de 175 milliards de francs CFA (plus de 266 millions d’euros).
Les entreprises minières de RDC ne cessent de gagner des places dans notre classement régional des Champions africains. Elles sont désormais trois dans le Top 10, dont une à la première place, contre aucune il y a à peine cinq ans.
La filiale du géant bancaire marocain a été victime d’un piratage, rendu public début février. Jeune Afrique, qui a eu accès à des informations privilégiées, dévoile l’ampleur d’une attaque visant VIP, groupes et institutions, de Choguel Maïga à l’ambassade de France, en passant par Orange, TotalEnergies et Azalaï.
Disposant d’une technologie sans fil et sans équivalent en Afrique, la société québécoise s’emploie à éliminer les derniers trous noirs numériques du continent.
Malgré une faible représentation du continent dans le programme de conférences, les responsables privés et publics africains du numérique se sont déplacés en masse pour l’édition 2023 du rendez-vous international du secteur des télécoms.
Directeur général d’Orange Afrique et Moyen-Orient depuis juillet 2022, Jérôme Hénique détaille en exclusivité pour Jeune Afrique les nouvelles ambitions du groupe de télécommunications présent dans 18 pays du continent.
De l’éducation au e-commerce en passant par les cryptomonnaies, ces cinq entrepreneurs de la tech contribuent à moderniser l’économie de leur pays. Malgré une certaine timidité des investisseurs, ils bénéficient d’un contexte légal de plus en plus favorable.
Le groupe français cherche un partenaire stratégique en Égypte. Une option qui satisfait Le Caire et répond aux contraintes nées de la dégradation de la situation économique du pays.
L’Arcep nigérien a appelé les opérateurs télécoms à baisser leurs tarifs face à la gronde rencontrée par la mise en place de prix planchers. Une situation emblématique des années d’inconstance réglementaire et fiscale dans ce secteur.
L’opération prendra la forme d’une introduction à la bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) et permettra au gouvernement de Patrick Achi de boucler le budget 2022.
La start-up américaine reprochait à l’opérateur d’empêcher l’achat de crédit Orange via sa plateforme. Elle avait saisi le régulateur des télécoms sénégalais.
Après une édition 2021 à distance, le grand raout annuel de l’industrie des télécoms entame un retour en physique et tourné vers les start-up et l’innovation africaine.
Le 21 octobre, l’opérateur public lancera ses services mobiles pour concurrencer Moov et MTN. La stratégie de Cotonou, qui mise en partie sur une réglementation favorable au nouvel entrant, fait grincer des dents.
Malgré des années de consolidation, le marché africain des télécoms regorge toujours d’opportunités d’expansion. Tour d’horizon des principaux deals en cours.
Au moment où le deuxième opérateur du pays fête ses trois ans d’existence, l’implication des équipes du milliardaire français apparaît plus que jamais indispensable à la mise en place de sa feuille de route.
Alors que le Gabon et le Togo ont mutuellement officialisé la fin des frais d’itinérance des données, cette réforme sur laquelle planchent depuis quinze ans opérateurs et régulateurs fait encore l’objet, malgré de nombreux succès régionaux, de divers blocages sur le continent.
Nommée il y a six mois à la tête d’Orange, Christel Heydemann a effectué avec son état-major son premier voyage sur le continent, précisément en Côte d’Ivoire, premier marché africain de l’opérateur. L’Afrique est devenue au cours de la dernière décennie la région du monde la plus dynamique pour le géant des télécoms français.
Confrontés à une pénurie de bons profils, notamment pour les fonctions exécutives, à l’attrait grandissant des start-up et à l’appétit vorace des multinationales, les grands groupes du continent doivent soigner leur image.
Les entreprises et dirigeants dont les performances ont le plus contribué à la croissance du continent africain ont été distingués dans cinq catégories lors des Africa CEO Forum Awards, organisés en partenariat avec Mazars.
Alors que les compagnies internationales soulignent l’efficacité et la popularité du partage de capital avec les populations locales, les initiatives dans le domaine demeurent encore limitées.
Alors qu’Orange Bank Africa ne dispose toujours pas des agréments l’autorisant à se lancer au Sénégal, au Mali et au Burkina Faso, son directeur général expose les avancées de la banque digitale africaine d’Orange en Côte d’Ivoire, où elle a déjà séduit 800 000 clients.