Nerf de la guerre en période électorale, la communication est l’occasion pour chaque postulant de se démarquer et de se vendre auprès des citoyens. En déployant des moyens sans limites, sinon celles de leur portefeuille.
Propulsée maire lors des déboires judiciaires de Khalifa Sall, Soham El Wardini n’a pourtant pas été choisie par l’ancien édile pour porter les couleurs de Yewwi Askan Wi. Qu’importe, face à une concurrence féroce, elle se dit sûre de ses forces.
Le ministre de la Santé a été choisi par Macky Sall pour tenter de ramener la capitale dans le giron du parti présidentiel. Le 23 janvier, il n’aura pas droit à l’erreur.
À dix jours des élections locales, la charte de non-violence, écrite sous l’égide du Cudis, a été signée par plusieurs forces politiques, ce jeudi 13 janvier. Excepté par Yewi Askan Wi, coalition phare de l’opposition.
La capitale de la Basse-Casamance est très convoitée. Parmi les candidats aux élections du 23 janvier, trois hommes tiennent la corde : le sortant Abdoulaye Baldé, Benoît Sambou, investi par Macky Sall, et l’opposant Ousmane Sonko. Chacun y joue son avenir politique.
La désignation d’un Premier ministre est attendue dans les prochaines semaines au Sénégal. Un rétablissement de poste non dénué d’arrière-pensée, qui illustre aussi l’incapacité du pays à définir le type de régime qui lui conviendrait.
L’ancien journaliste d’investigation a rejoint Macky Sall après la présidentielle de 2012. Il s’est mué en ardent défenseur du chef de l’État, à des années-lumière de ses enquêtes explosives sur les malversations du pouvoir. Sans regrets ?
La capitale rebelle échappe au chef de l’État depuis son accession au pouvoir, en 2012. Comment et grâce à qui Macky Sall entend-il la faire passer dans son escarcelle ?
Le 23 janvier, le maire sortant et ministre des Transports, Mansour Faye, devra affronter un autre membre du parti présidentiel : l’ancien ministre Mary Teuw Niane.
Les cours d’appels ont ordonné la réhabilitation des listes de l’opposition recalées début novembre. Mais le ministère de l’Intérieur de Antoine Diome conteste ces décisions…
C’est une histoire peu connue, qui s’est jouée en coulisses : le chef de l’État a contribué au financement des travaux de rénovation de la maison de son prédécesseur, laquelle avait un temps été saisie sur ordre de la justice. Et « Gorgui » pourrait bientôt y reposer ses valises.
À un mois et demi des élections locales, les grandes confréries musulmanes essaient de faire retomber les tensions de plus en plus vives entre l’opposition et le pouvoir.
Le chef de l’État a récemment été alerté sur de possibles dérives liées à l’attribution des terres. Une « brigade du foncier », sous contrôle de la gendarmerie, pourrait être mise en place. Explications.
Condamné pour la mort d’un homme, un nervis du PDS tué en 2011, Dias est à nouveau convoqué ce mercredi au tribunal. Désormais candidat à la mairie de Dakar, l’opposant va-t-il être jugé en appel ? Retour sur une affaire politico-judiciaire qui pourrait sonner le glas de ses ambitions.
Le 23 janvier prochain, la coalition au pouvoir devra composer avec une multitude de listes concurrentes issues de personnalités de son propre camp. Un éparpillement risqué dans certaines communes, où l’opposition pourrait l’emporter.
Ancien maire de Dakar, ex-président de l’Assemblée nationale et du Sénat, ce self-made man, qui a fait fortune dans le privé, veut reconquérir la capitale. Mais, cette fois-ci, sans le soutien d’Abdoulaye Wade qui fut son mentor en politique.
La bataille fait déjà rage pour ces scrutins de la mi-mandat, les premiers depuis la réélection de Macky Sall en 2019. Des échéances que ni la majorité ni l’opposition ne prennent à la légère.
Pour la deuxième fois en une semaine, l’opposant et candidat à la mairie de Dakar a été brièvement interpellé par les autorités ce mercredi. Il a finalement été libéré en début d’après-midi, a confirmé son avocat.
Proches du pouvoir aussi bien que de l’opposition, une dizaine de journalistes se sont portés candidats pour les élections du 23 janvier prochain. Au risque de brouiller les lignes ?
Neveu d’Abdoulaye, cousin de Karim, Amadou Moustapha Wade, dit Doudou Wade, a été choisi par sa coalition pour disputer la bataille de Dakar, la plus importante du scrutin du 23 janvier. Ce briscard du Parti démocratique sénégalais peut-il faire la différence ?
Les trois opposants ont été interpellés avant d’être remis en liberté, ce mercredi 10 novembre. Le matin même, Barthélémy Dias, par ailleurs candidat à la mairie de Dakar, était convoqué au tribunal.
Pour l’opposition, le scrutin de janvier aura valeur de test, mais la coalition Yewwi Askan Wi a vu plusieurs de ses listes retoquées. De Dakar à Kédougou, elle accuse certains préfets de vouloir favoriser la majorité au pouvoir.
Toutes les listes d’investitures pour le scrutin du 23 janvier 2022 ont désormais été déposées. Qui sont les principaux candidats ? Quels grands duels ? Quels enjeux ? Jeune Afrique fait le point.
Après des mois de tractations secrètes, le Parti démocratique sénégalais se retire du projet d’alliance contre Macky Sall pour les élections de janvier 2022. Une décision motivée par un revirement d’Ousmane Sonko et de Khalifa Sall.
À un mois du dépôt des listes pour le scrutin de janvier 2022, la bataille des investitures fait rage au sein de la majorité présidentielle. Et il y aura forcément des déçus.
La révision du fichier électoral qui vient de s’achever montre le faible engouement des nouveaux majeurs pour les élections, notamment locales. Leur vote fait pourtant l’objet de toutes les convoitises.
À quatre mois d’élections locales déjà maintes fois reportées, la coalition portée par Ousmane Sonko et Khalifa Sall a explosé. Avant d’enfanter, malgré elle, une sœur jumelle emmenée par le PDS de Karim et Abdoulaye Wade.
Reportées depuis 2019, les élections locales sénégalaises sont fixées au 31 janvier 2022. Avec un défi de taille pour la majorité présidentielle : gagner la mairie de Dakar, qui lui échappe depuis l’accession au pouvoir de Macky Sall. Retouches au code électoral, choix de têtes de listes charismatiques, alliances… La ville entre en campagne.
À six mois des élections locales, l’Assemblée nationale a voté la réforme du code électoral. Sans surprise, les principaux points de discorde entre l’opposition et la majorité restent inchangés.
Condamné en 2017 à six mois ferme pour coups mortels, le candidat à la mairie de Dakar revient pour JA sur ce 22 décembre 2011, quand une fusillade l’a opposé à des nervis envoyés par le parti au pouvoir.