L’EAC est une communauté économique régionale initialement fondée en 1967, dissoute dix ans plus tard puis véritablement recréée en 2001. Elle est constituée de 5 pays membres : le Burundi, le Kenya, l’Ouganda, la Tanzanie et le Rwanda. Ses compétences vont de l’intégration financière et monétaire (création d’une union monétaire le 30 novembre 2013) au maintien de la paix, en passant par le respect de la bonne gouvernance.
L’initiative AfroChampion, qui soutient « le développement des champions économiques africains », a annoncé la création du Club AfroChampions, décrit comme « une nouvelle plateforme d’échanges mobilisant les multinationales africaines afin d’accélérer l’intégration économique du continent ». L’objectif est notamment de faire une série de recommandations à l’Union africaine pour la mise en place de la Zone de libre-échange continentale.
Le Cnared, qui fédère une large frange de l’opposition burundaise, enverra une délégation au 18e sommet des chefs d’État de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC), le 6 avril à Arusha (Tanzanie). Ce changement de stratégie survient alors que Charles Nditije a pris la tête de la plateforme le 28 février.
Ce tout nouveau document de voyage électronique a été officiellement lancé mercredi à Arusha, lors du 17ème sommet des chefs d’États de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC). Sa mise en circulation est prévue pour janvier 2017.
Assuré d’un troisième mandat, le chef de l’État doit maintenant choisir entre durcir ses positions et tendre la main à l’opposition. Pour que le pays puisse enfin sortir de la crise.
Les dirigeants de la Communauté est-africaine (CEA) ont à nouveau demandé lundi aux autorités burundaises de reporter la présidentielle au 30 juillet. Réunis en sommet, ils ont nommé le président ougandais Yoweri Museveni à la tête de la médiation.
La Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) a annoncé mardi la tenue d’un nouveau sommet sur le Burundi ce dimanche 31 mai à Dar es Salaam. Mais l’incertitude demeure sur la présence de Pierre Nkurunziza qui vient d’échapper à un coup d’État.
Nommé en août 2010 deuxième vice-président de la République, chargé des questions économiques, Gervais Rufyiriki passe pour être l’un des seuls véritables techniciens de l’exécutif. Il s’est attelé personnellement à l’amélioration du climat des affaires et à la promotion du secteur privé local, symbolisées par la création de l’Agence nationale de promotion des investissements (API) en 2009.
Cedeao, CEEAC, SADC, UMA… Le continent ne manque pas d’organisations régionales. Qui sont-elles ? Qui en fait partie ? Quels sont leurs points forts ? Leurs points faibles ? Plongée au pays des acronymes.
Paul Kagamé a menacé de « frapper » Jakaya Kikwete. Mais ce dernier n’est pas en reste et a promis de faire subir à son voisin « de sinistres conséquences ». Les présidents rwandais et tanzanien tentent depuis de calmer le jeu, mais jamais l’escalade verbale n’avait été si loin.
Le patron de la Communauté de l’Afrique de l’Est revient sur les raisons du succès économique de sa sous-région. Sans réelle volonté politique, explique-t-il, l’intégration ne peut pas fonctionner.
Conséquence de la libre circulation des biens et services au sein de la Communauté d’Afrique de l’Est, le Rwanda a vu ses exportations exploser depuis six mois. Seul bémol : la concurrence des entreprises voisines.
Le Kenya, la Tanzanie, l’Ouganda, le Burundi et le Rwanda instaurent, ce jeudi 1er juillet, un marché commun. Un exemple d’intégration économique sans équivalent en Afrique, dont il restera à mesurer le degré d’application réel sur le terrain.