Le FPI est un parti politique ivoirien créé par Laurent Gbagbo en 1982. Au pouvoir de 2000 à 2010 sous la présidence de Gbagbo, le parti est dirigé depuis 2001 par Pascal Affi N’Guessan.
Le procès pour « complicité d’assassinat » d’Hubert Oulaye, ancien ministre de Laurent Gbagbo, qui s’est ouvert hier se poursuit ce mardi. Au cœur du dossier : une embuscade meurtrière menée en 2012 par des miliciens et des mercenaires libériens qui a coûté la vie à sept Casque bleus, un soldat ivoirien et au moins huit civils.
Simone Gbagbo, 68 ans, est détenue pour « crimes économiques » à Abidjan mais espère toujours revenir en force au FPI. Elle fait partie des 20 femmes les plus influentes de Côte d’Ivoire identifiées par Jeune Afrique.
Marie-France Mariam Cissé, 34 ans, est militante du FPI depuis l’âge de 17 ans. Elle fait partie des 20 femmes politiques les plus influentes de Côte d’Ivoire identifiées par Jeune Afrique.
Agnès Monnet, 63 ans, est membre historique du FPI, elle fut un temps la secrétaire nationale chargée des questions de communication. Elle fait partie des 20 femmes politiques les plus influentes de Côte d’Ivoire identifiées par Jeune Afrique.
Marie-Odette Lorougnon, 59 ans, est dans les rangs du FPI depuis plus de vingt-cinq ans. Ancienne députée et grand soutien de Laurent Gbagbo, elle fait partie des 20 femmes les plus influentes de Côte d’Ivoire identifiées par Jeune Afrique.
En rangs serrés contre la révision constitutionnelle, dispersés lors des législatives, les leaders de l’opposition ivoirienne changent de stratégie. Objectif : enfin peser sur les débats.
Après avoir recueilli 9,29 % des suffrages lors de la présidentielle du 25 octobre 2015, Pascal Affi N’Guessan, 64 ans, se présente en rassembleur de l’opposition. Il explique à Jeune Afrique pourquoi, selon lui, le paysage politique est en train de se recomposer, et la carte que compte jouer le FPI.
Combien de fois ce concept lancé par le président Alassane Ouattara a été prononcé par les actuels dirigeants de la Côte d’Ivoire ? Une belle expression, sinon un slogan, qui brille autant par sa beauté littérale que par sa vacuité.
Le procès de Michel Gbagbo pour « divulgation de fausses nouvelles » a été reporté au 20 octobre, a-t-on appris vendredi auprès de son avocat. Dans une interview accordée en mai 2016 à Koaci.com, le fils de l’ex-président ivoirien avait évoqué la disparition de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire.
Le procès de Michel Gbagbo pour « divulgation de fausses nouvelles » a été reporté à la semaine prochaine, a annoncé le procureur vendredi 23 juin à Abidjan. Dans une interview accordée en mai 2016 à Koaci.com, le fils de l’ex-président ivoirien avait évoqué la disparition de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire.
Alors que la grogne sociale est forte depuis le début de l’année en Côte d’Ivoire, le président d’une des franges du Front populaire ivoirien (FPI) a appelé « tous les mécontents » à défiler ce samedi dans les rues d’Abidjan. Un rendez-vous qui ressemble à un test pour Pascal Affi N’Guessan, contesté par une partie des pro-Gbagbo.
Pascal Affi N’Guessan, président d’une aile du Front populaire ivoirien (FPI), a appelé jeudi 11 mai à « une marche pacifique » le 17 juin prochain pour dénoncer la politique menée par le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara.
Président d’un Front populaire ivoirien (FPI) scindé en deux, Pascal Affi N’Guessan a réagi à la création de la nouvelle plateforme politique lancée par les partisans de Laurent Gbagbo réunis autour d’Aboudramane Sangaré. Ce mouvement « n’engage pas le FPI », assure l’ex-Premier ministre.
« Ensemble pour la démocratie et la souveraineté », plateforme politique réunissant les partisans de Laurent Gbagbo, a été lancée jeudi 20 avril à Abidjan.
Deux jours après le discours inaugural de Guillaume Soro, réélu début janvier à la tête de l’Assemblée nationale ivoirienne, le bureau politique de l’hémicycle a été dévoilé mercredi 5 avril après la constitution des groupes parlementaires.
L’opposant Mohamed Sam Jichi, dit « Sam l’Africain », a été condamné à six mois de prison ferme vendredi à Abidjan pour injure et diffamation « envers des personnes appartenant à un groupe ethnique ». Son avocat a annoncé qu’il allait interjeter appel.
« Le pays du père Houphouët », le pays du café-cacao, le premier exportateur mondial du cacao – pour paraphraser ou plutôt expliciter les paroles du chanteur ivoirien Kédjévara DJ – va connaitre une croissance de 8% pour l’année 2017 et ce justement grâce au dur labeur des agriculteurs ; c’est certainement une bonne raison d’être fier de son pays.
Depuis janvier, le climat social s’est dégradé. Des militaires aux planteurs, la rue ivoirienne demande sa part des fruits d’une croissance pourtant soutenue.
Après validation de la commission électorale indépendante (CEI), ils seront 1 390 candidats à briguer le 18 décembre prochain les 255 sièges que compte l’Assemblée nationale ivoirienne. Candidatures indépendantes, faible présence des femmes… Pour comprendre le profil des candidats, voici quelques chiffres établis par la CEI.
Le Front populaire ivoirien (FPI) ira aux élections législatives en rang dispersé. Alors que les frondeurs du parti menés par Aboudramane Sangaré boycotteront les législatives du 18 décembre, les membres restés fidèle au président Pascal Affi N’Guessan comptent bien occuper le terrain.
Installé depuis un an à Paris, ce danseur né en Côte d’Ivoire multiplie les chorégraphies et donne des cours inspirés des danses traditionnelles et urbaines de l’Afrique de l’Ouest.
Après une campagne éclair d’une semaine, les Ivoiriens voteront dimanche 30 octobre sur le projet de nouvelle Constitution porté par le Président Alassane Ouattara. Retour sur les principaux enjeux du scrutin, qui mobilise contre lui une très large frange de l’opposition.
Alors que l’opposition ivoirienne appelle au boycott du référendum du 30 octobre sur le projet de nouvelle Constitution, l’exécutif mène une campagne active pour que le « oui » l’emporte avec une large majorité.
Au nom de l’Alliance des forces démocratiques de Côte d’Ivoire, le leader du FPI a appelé au boycott du référendum constitutionnel voulu par Alassane Dramane Ouattara. Il doit se tenir le 30 octobre.
Nos tropiques laissent bien souvent observer des faits intéressants pour les commentateurs et autres observateurs de notre vie politique. Dans le quotidien tout comme dans nos vies institutionnelles, l’inventivité achève de convaincre que nous sommes le continent de tous les possibles. La Côte d’Ivoire et son fameux «N’zassa » est un bel exemple de créativité.
Dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002, une tentative de coup d’État éclate en Côte d’Ivoire, provoquant la scission du pays en deux zones géographiques. Les héritiers d’Houphouët-Boigny ouvrent une crise qui mettra près de 10 ans à se refermer.
Kadet Bertin, ex-ministre de la Défense, Watchard Kedjebo, figure de la Galaxie patriotique, Kacou Brou dit le « maréchal KB », un des patrons du célèbre syndicat des étudiants Fesci et Franck Yaon, membre de la garde rapprochée de Laurent Gbagbo, sont rentrés jeudi à Abidjan de leur exil consécutif à la crise-électorale.
Vingt-trois partis d’opposition, dont le Front Populaire Ivoirien (FPI), ont adopté jeudi une déclaration commune refusant le référendum sur une nouvelle Constitution voulue par Alassane Ouattara.
En tête des priorités du président Ouattara cette année : la fusion des deux partis de la majorité, une nouvelle Constitution et des élections législatives. Réussira-t-il le triplé ?
Un an après sa condamnation à Abidjan en mars 2015, Simone Gbagbo sera de retour lundi 9 mai devant la Cour d’assises d’Abidjan. Cette fois-ci, l’ancienne première dame ivoirienne, 66 ans, sera jugée pour crimes contre l’humanité.