Le FPI est un parti politique ivoirien créé par Laurent Gbagbo en 1982. Au pouvoir de 2000 à 2010 sous la présidence de Gbagbo, le parti est dirigé depuis 2001 par Pascal Affi N’Guessan.
Mardi, l’opposition ivoirienne a déclaré qu’elle ne voulait pas « entraver le processus électoral » dans le pays. Une manière d’annoncer son prochain retour à la Commission électorale indépendante (CEI), l’organe en charge de la présidentielle d’octobre 2015, dont elle s’était retirée en septembre dernier ?
Un groupe d’une vingtaine de jeunes a saccagé lundi à Abidjan le siège du Front populaire ivoirien (FPI), de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo. Plusieurs membres du parti ont été molestés.
Le parti de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo se déchire sur sa participation à la nouvelle commission électorale, chargée d’organiser la cruciale présidentielle de 2015. Pour les uns, la libération de Gbagbo est une priorité. Pour les autres, le FPI doit s’investir davantage dans le jeu politique.
La crise qui secoue le Front populaire ivoirien (FPI) a officiellement pris fin mardi. Mais les divergences de fond sur la ligne adoptée par la formation de l’ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo, n’ont pas vraiment été mises à plat. Et la résolution du problème a juste été reportée.
Pascal Affi N’Guessan, le président du Front populaire ivoirien (FPI), réorganise le secrétariat général du parti. Certains y voient une manière de tourner la page Gbagbo avant 2015.
Selon le gouvernement ivoirien, le FPI (opposition pro-Gbagbo) a décidé de revenir à la table des négociations, qu’il avait quittée en juin 2013. Une annonce surprenante qui relance le processus de réconciliation nationale.
Ils ont été ministres ou conseillers spéciaux de Laurent Gbagbo. Tous ont quitté la Côte d’Ivoire après son arrestation, le 11 avril 2011. De retour à Abidjan, quatre anciens exilés membres du Front populaire ivoirien (FPI) ont accepté de raconter leur histoire, trois ans après la crise postélectorale.
Quatre dirigeants du FPI, dont son président Pascal Affi N’Guessan, ont été convoqués jeudi par la gendarmerie ivoirienne au Plateau, à Abidjan. L’appel du parti d’opposition au boycott du recensement général et les troubles qui en ont découlé semblent être à l’origine de cette audition.
Le FPI a décidé de durcir le ton face au gouvernement ivoirien. Réuni autour de son comité central, samedi, une semaine après le transfèrement de Charles Blé Goudé à la CPI, le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo a notamment qualifié le régime d’Alassane Ouattara de « dictature » au « visage hideux ».
Pascal Affi N’Guessan, chef de l’opposition en Côte d’Ivoire, a appelé jeudi à Abidjan au boycott massif du recensement de la population. Selon lui, des obstacles politiques doivent être surmontés avant que cette enquête puisse se tenir.
La convention du FPI qui se tient les 21 et 22 février en Côte d’Ivoire est un grand test pour le président du parti, Pascal Affi N’Guessan. Qui doit s’imposer sur les partisans du « Tout sauf Gbagbo » pour pouvoir se présenter face à Ouattara à la présidentielle de 2015.
Le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo, actuellement détenu à La Haye, a dénoncé l’arrestation arbitraire samedi matin de son secrétaire général à l’aéroport d’Abidjan.
La justice ivoirienne vient d’annoncer la remise en liberté provisoire de quatorze détenus proches de Laurent Gbagbo, l’ancien chef de l’État. Parmi eux : Pascal Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI), incarcéré depuis avril 2011, Michel Gbagbo ou encore Geneviève Bro Gregbe.
Le Front populaire ivoirien (FPI) a appelé, mercredi 5 juin, la CPI à libérer l’ex-président ivoirien. Le parti de Laurent Gbagbo estime que l’accusation a échoué à apporter des preuves de sa culpabilité.
Le Front populaire ivoirien (FPI) a accusé le régime de « dérives totalitaires », lors d’une conférence de presse, mercredi 22 août. Le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo estime que le gouvernement du chef de l’État, Alassane Ouattara, est le « commanditaire » des attaques qui ont visé son siège et un groupe de presse proche du FPI, samedi 18 août.
La convention du FPI qui s’est tenue dimanche dernier a consacré la direction intérimaire dans ses fonctions, sous l’égide de Miaka Oureto. Alors que de nombreux cadres sont encore en exil ou sous les bareaux, le parti de Laurent Gbagbo commence à tourner la page de la crise postélectorale.
Le Front populaire ivoirien (FPI, parti de Laurent Gbagbo) se dit prêt à négocier directement avec le gouvernement du nouveau Premier ministre Jeannot Ahoussou Kouadio. Qui a également annoncé ses bonnes dispositions.