Souvent sans faire de vagues, ces acteurs africains de l’économie dominent aisément leur secteur, au niveau local, régional ou panafricain. Jeune Afrique a choisi de braquer ses projecteurs sur cinq entreprises qui, dans leur spécialité, sont des succès.
Zone de libre-échange continentale africaine, contexte post-Covid, business avec Israël et gestion de la succession dans les groupes familiaux… Le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc revient sur les grands enjeux du secteur privé du royaume.
Le royaume multiplie les projets pour profiter de l’essor des voitures « écologiques » en Europe, son principal marché. Au niveau local, les ventes de véhicules électriques connaissent un net bond, mais restent négligeables, faute d’infrastructures et d’incitations des autorités marocaines.
Mobilisation financière, investissement dans l’énergie et les transports et prise en compte des besoins du marché national sont cruciaux pour créer de la valeur ajoutée localement dans les domaines minier et agricole, souligne Yves Jégourel, professeur en économie.
Pour lutter contre la crise alimentaire et le réchauffement climatique, des mesures s’imposent en matière d’entrepreneuriat, d’urbanisme, d’écologie. La clé du succès passera par la Zlecaf et l’intégration régionale.
Dossiers économiques cruciaux, influence de la Russie, enjeux politiques… Le président français n’a pas choisi au hasard le Cameroun, allié historique avec lequel la relation a été malmenée. Explications.
Le directeur des investissements du groupe Filatex, explique comment la Zone de libre-échange continentale africaine modifie le monde des affaires sur le continent.
LE PORTRAIT ÉCO DE LA SEMAINE. Le secrétaire exécutif de l’Initiative Côte d’Ivoire-Ghana croit dur comme fer que la Zlecaf peut assurer un revenu digne aux producteurs de cacao. Et encourager la transformation locale qui ferait du continent un acteur incontournable et sérieux du commerce international.
La troisième édition de l’enquête réalisée auprès des dirigeants des grandes entreprises africaines montre une tendance à l’optimisme malgré l’émergence de nombreux risques.
Pour Makhtar Diop, directeur général d’IFC, les débuts de la Zone de libre-échange continentale africaine sont encourageants. Néanmoins, pour que cet accord réalise son plein potentiel, il doit s’accompagner d’investissements privés massifs.
Lors de la 54e session de la Conférence des ministres africains des Finances, de la planification et du développement économique, économistes et dirigeants ont plaidé en faveur d’une refonte complète de l’architecture financière mondiale qui replacerait l’Afrique au cœur des décisions.
Alors que les fonds étrangers affluent toujours plus massivement sur le continent, notamment dans les start-up, le bénéfice réel pour les économies locales est loin d’être acquis. Une solution : favoriser l’émergence de sociétés détenues par des capitaux africains.
La Banque africaine de développement va apporter plus de 3,5 millions de dollars pour soutenir un projet de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest visant à encourager la production locale de produits de santé.
Capitaines d’industrie, responsables politiques du continent et poids lourds mondiaux participent au Mobile World Congress (MWC). Bienvenue dans les coulisses de cette grand-messe de la tech et des télécoms.
Crises politiques en Afrique de l’Ouest, croissance économique du continent, équité du commerce, avenir de la Zlecaf, accès aux vaccins… Sur ces questions d’actualité, la directrice générale de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) répond aux questions de JA.
Timing inadéquat, financements insuffisants, risques élevés… L’économiste Kasirim Nwuke, ancien de la Commission économique pour l’Afrique, explique pourquoi il doute du bien-fondé d’une zone de libre-échange sur le continent.
Initialement prévu en 2020, le 6e sommet Afrique-Europe doit se tenir en février. L’occasion pour les deux partenaires de tirer un trait sur une asymétrie qu’ils assurent vouloir laisser derrière eux.
En boostant les échanges, la Zone de libre-échange continentale africaine doit générer des milliards de dollars de retombées pour les États tout en réduisant pauvreté et inégalités. À condition de lever certains obstacles, souligne la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement.
Superstar du capitalisme nigérian, le patron de Heirs Holdings pilote, depuis Lagos, UBA, mais aussi le producteur d’énergie Transcorp Power, ainsi que les initiatives de sa fondation. Assurance, résilience post-Covid, mise en place de la Zlecaf… Le milliardaire a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Alors que le continent subit les conséquences de la pandémie de Covid-19, la Zlecaf ne doit pas être reléguée au second plan, estiment les membres de l’advisory board de l’Africa Financial Industry Summit.
Confrontées à des difficultés sur leur marché local, les banques nigérianes, pariant sur la zone de libre-échange africaine, s’étendent ailleurs sur le continent.
L’Organe de règlement de différends de la Zone de libre-échange continentale tiendra sa réunion inaugurale lundi 26 avril. L’occasion pour le secrétaire général de la Zlecaf, Wamkele Mene, d’en détailler les grands principes de fonctionnement.
Candidat en 2017, l’ancien ministre du Budget d’Abdoulaye Wade remplacera le 8 mai aux commandes de l’institution régionale son ex-concurrent Abdallah Boureima.
Étant donné que la pandémie de Covid-19 n’est pas encore éteinte, il est trop tôt pour dire quoi que ce soit de définitif sur la résilience des économies africaines, juge l’économiste Kasirim Nwuke, qui a du mal à voir en la Zlecaf une solution.
L’analyse des classifications montre qu’une moitié des États africains peuvent espérer émerger à moyen terme. Des constantes apparaissent qui désignent les mieux placés… pour l’instant.
Principal investisseur dans les infrastructures du continent, Pékin soutient ouvertement la Zlecaf. Mais des tensions commerciales pourraient émerger si une industrie manufacturière continentale parvenait à se développer.
Soutenu par le chef de l’État, le projet de loi portant création de la Zone de libre-échange continentale africaine a été approuvé par l’Assemblée nationale. Mais cette ratification n’est pas sans susciter l’inquiétude de certains parlementaires, qui la jugent prématurée.
Touché – durement – mais prêt à rebondir, le continent devrait rattraper cette année les pertes de 2020. Et des innovations en matière de gouvernance pourraient l’aider à faire encore mieux.
Le secrétaire général de la Zlecaf craint que la mise en œuvre du libre-échange intra-africain, censée démarrer ce mois-ci, soit lente, car de nombreux États ne disposent pas d’installations frontalières.