Zouheir Ezzedine : le gardien du temple

Carré d’or

Communauté libanaise de Coted d’ivoire – photo des responsables de grands groupes libanais . Zouheir Ezzedinne Groupe Carré d’OR , leur société Moulins moderne d’Abidjan © nabil zorkot

Communauté libanaise de Coted d’ivoire – photo des responsables de grands groupes libanais . Zouheir Ezzedinne Groupe Carré d’OR , leur société Moulins moderne d’Abidjan © nabil zorkot

Julien_Clemencot

Publié le 4 juin 2017 Lecture : 1 minute.

 © Jeune Afrique
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Les dix barons libanais de l’économie ivoirienne

Tous ensemble, ils représentent une part importante de l’économie ivoirienne. Une économie jeune et dynamique.

Sommaire

Ibrahim Ezzedine, décédé en 2012, avait bâti en deux décennies un poids lourd de l’industrie agroalimentaire ivoirienne. Son monopole sur l’importation du riz, sa capacité à s’imposer face à des acteurs historiques, comme Mimran, ou plus puissants financièrement, comme Bolloré, et sa proximité avec l’ex-président Gbagbo lui ont valu une réputation sulfureuse.

Désormais, c’est son frère Zouheir qui assure le contrôle des activités avec l’appui de ses autres frères, Samir et Mohamed. Le conglomérat Carré d’or regroupe une douzaine d’entreprises, dont la Société de distribution de toutes marchandises (SDTM), les Moulins modernes de Côte d’Ivoire créés – avec l’appui du groupe Louis Dreyfus –, le spécialiste de la logistique Global Manutention Côte d’Ivoire, ainsi que des usines d’eau en bouteille (Celeste), de pâtes (Maman), et de tomates en boîte (Tomaci).

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