Madagascar : une opposition qui navigue à vue
Hétéroclites et désorganisés, sans leader véritable, les adversaires d’Andry Rajoelina se cherchent encore un statut au sein du Parlement.
![Marc Ravalomanana lors de l’élection présidentielle de décembre 2018. La proposition de loi sur le statut du chef de file de l’opposition, si elle était adoptée, le disqualifierait d’office. © Themba Hadebe/AP/Sipa](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/08/16/sipa_ap22283628_000003-e1572053162659.jpg)
Marc Ravalomanana lors de l’élection présidentielle de décembre 2018. La proposition de loi sur le statut du chef de file de l’opposition, si elle était adoptée, le disqualifierait d’office. © Themba Hadebe/AP/Sipa
![Une mère et sa fille à Madagascar. © Wolfgang Kaehler/Lightrocket Getty Images](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/25/mada-getty.png)
Madagascar : les douze travaux de Rajoelina
Dix mois après son élection, le président impose peu à peu son style. Mais réformer de fond en comble un système à bout de souffle ne sera pas une mince affaire !
Les débats qui ont inauguré l’ouverture de la deuxième session parlementaire le 14 octobre ont été aussi véhéments que ceux qui avaient conclu la session extraordinaire de mi-août. Et ce n’est pas la loi de finances 2020, pourtant inscrite comme priorité du jour, qui a été au centre des échanges, mais bien le statut officiel de l’opposition.
Bien s’informer, mieux décider
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