La Tunisie a été tenue en échec mercredi par la Zambie (1-1), un nul qui n’arrange aucune des deux équipes mais laisse ouvert le groupe D à Lubango, théâtre du coup de tonnerre subi plus tôt dans la journée par le Cameroun face au Gabon (0-1).
Coup de tonnerre sur la Coupe d’Afrique des nations, qui allait déjà de surprise en surprise: le Cameroun, pourtant grand favori du tournoi angolais avec la Côte d’Ivoire, s’est incliné dès son entrée en lice face au Gabon (0-1), mercredi à Lubango (groupe D).
Le président togolais sortant Faure Gnassingbé a été investi mardi sans surprise à Lomé pour représenter le parti au pouvoir, le RPT, à la prochaine élection présidentielle du 28 février.
Le capitaine de l’équipe togolaise de football est très remonté contre la Confédération africaine de football (CAF). L’attaquant de Manchester City accuse l’instance de laxisme et de « manque de respect » envers les Eperviers après la fusillade meurtrière du vendredi 8 janvier au Cabinda, province angolaise où le Onze devait disputer un match pour la CAN.
Après les tragiques évènements qui ont touché la sélection togolaise, les participants de la CAN 2010 doivent se reconcentrer sur leurs matchs. A cinq mois du coup d’envoi du Mondial sud-africain, la compétition en Angola est un formidable test pour les cinq mondialistes présents. Revue de détail.
Le Flec-FAC, un deuxième groupe séparatiste cabindais, a revendiqué l’attaque de l’équipe du Togo de vendredi. Le Flec-PM s’était déjà déclaré auteur de l’attaque. Cette nouvelle annonce souligne les divisions de la rébellion cabindaise.
Les forces de l’ordre angolaises ont encerclé le complexe où résident les délégations Ghanéenne, Ivoirienne et Burkinabè pour dissuader tout nouvel attentat. Cette présence policière et militaire est inhabituellement tapageuse, dans cette région qui compte déjà un soldat pour dix habitants en temps normal.
Les autorités angolaises ont arrêté deux personnes suspectées d’avoir participé à la fusillade du vendredi 8 janvier, au Nord de l’Angola, contre l’équipe nationale de football togolaise. Le gardien de but Kodjovi Obilalé, l’un des neuf blessés, a été opéré samedi à Johannesburg (Afrique du Sud) et poursuit sa convalescence normalement.
Le président angolais José Eduardo Dos Santos a ouvert dimanche soir à Luanda la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN-2010), en dépit de menaces de nouvelles actions des séparatistes de l’enclave de Cabinda après une attaque meurtrière contre l’équipe du Togo.
C’est officiel: le Togo a officiellement quitté la Coupe d’Afrique des nations (CAN) après que le car de l’équipe nationale a été mitraillé dans le Nord de l’Angola, le vendredi 8 janvier. Le drame n’a cependant pas affecté le déroulement de la compétition qui a commencé ce dimanche 10 janvier par le match Angola-Mali (4-4). Retour sur un week-end traumatisant pour les Eperviers.
Volte-face des footballeurs togolais. Ils décident de participer à la Coupe d’Afrique des nations qui s’ouvre ce dimanche en Angola, après avoir déclaré forfait suite au mitraillage de leur équipe par les rebelles de l’enclave du Cabinda. Alors que Lomé insiste pour le retour de ses joueurs, les indépendantistes du Flec menacent de mener de nouvelles attaques.
L’attaque dirigée contre le convoi de l’équipe de football du Togo a été revendiquée par le Front de libération de l’enclave de Cabinda (FLEC). Les matchs prévus à Cabinda pourraient être transférés dans la capitale.
Les deux cars des joueurs togolais ont été mitraillés le vendredi 8 janvier à leur arrivée en Angola pour la Coupe d’Afrique des Nations. Le bilan serait d’au moins deux morts et neuf blessés.
Les 16 équipes qualifiées pour la 27e édition de la Coupe d’Afrique des nations, qui démarre dimanche en Angola (et dure jusqu’au 31 janvier), devaient procéder cette semaine aux derniers réglages, entre matches amicaux et listes affinées.
La Coupe d’Afrique des nations (CAN) en début d’année en Angola et surtout en juin-juillet la Coupe du monde en Afrique du Sud, la première organisée sur ce continent: avec ces défis : une partie de l’Afrique a l’occasion de redorer son image et d’enclencher une dynamique positive.
Lors de sa première réunion en Angola, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) devrait décider de garder ses niveaux de production inchangés. Le prix actuel du baril (75 dollars) est jugé « confortable » par l’ensemble des membres.
L’homme d’affaire franco-angolais Pierre Falcone restera en prison après sa condamnation à six ans ferme dans l’affaire de l’angolagate. La cour d’appel de Paris a rejeté sa demande de remise en liberté.
Le président angolais Jose Eduardo dos Santos, au pouvoir depuis 1979, a laissé entendre jeudi que l’élection présidentielle dans son pays riche en pétrole et en minerais serait retardée de trois ans.
C’est un Charles Pasqua fidèle à sa réputation qui s’est présenté devant la presse, jeudi 12 novembre. Tonitruant, gouailleur, tour à tour charmeur puis menaçant, l’ancien premier flic de France, 82 ans, a savouré l’intérêt que les journalistes continuent de lui porter. Se frayant difficilement un chemin dans la forêt de caméras et de micros qui l’attendent, il donne d’emblée le ton : « Ce n’est pas qu’une affaire judiciaire, c’est une affaire d’Etat. »
Charles Pasqua, condamné à un an de prison ferme dans l’affaire de l’Angolagate, a réitéré jeudi ses accusations contre Jacques Chirac mais sans apporter les « révélations » promises, se contentant d’annoncer une plainte contre l’ancien juge qui a instruit l’affaire, Philippe Courroye.
Après l’annonce du verdict du procès de l’Angolagate, les diverses réactions, des accusés notamment, laissent à penser que le scandale n’est pas près d’en rester là.
Un an après l’ouverture du procès dit de l’Angolagate, le tribunal correctionnel de Paris a rendu son jugement. Plusieurs personnalités politiques françaises ont écopé de lourdes peines pour avoir facilité un commerce d’armes illégal entre la France et l’Angola.
La justice française doit se prononcer mardi sur l’Angolagate, une vaste affaire de commerce d’armes vers l’Angola remontant au milieu des années 1990, et dont le jugement risque de peser sur les relations entre Paris et Luanda.
Menacée par des sanctions internationales, la junte au pouvoir en Guinée vient de signer un accord de partenariat dans le secteur minier avec une société chinoise prévoyant des investissements de plus de 7 milliards de dollars (4,5 milliards d’euros).