Le sommet sur l’environnement coorganisé par Emmanuel Macron et Ali Bongo Ondimba s’est clos ce jeudi 2 mars à Libreville. L’enjeu pour la région est de valoriser ses ressources, alors que le bassin du Congo est le principal poumon de la planète.
Selon les informations de Jeune Afrique, le président centrafricain s’est entretenu, à sa demande, avec son homologue français en marge du One Forest Summit. Coulisses.
Les services de renseignement tchadiens s’inquiètent de la possible formation d’une rébellion basée dans le nord de la Centrafrique. Destinée à renverser le président de la transition, elle pourrait s’appuyer sur les mercenaires du groupe privé russe. Révélations.
Le lieutenant-colonel Damiba, Nabil Karoui, Denis Sassou Nguesso, Laurent Gbagbo, le général « Hemetti »… Tels sont quelques-uns des clients de cet obscur lobbyiste israélo-canadien aux méthodes discutables.
Afin d’apaiser les relations très tendues entre Tripoli et Bangui depuis l’affaire du Ledger Plaza Hotel, une délégation libyenne proche de Mohammed el-Menfi s’est rendue en RCA du 13 au 18 février. Coulisses.
François Bozizé pourrait prochainement quitter le Tchad pour la Guinée-Bissau. Sollicité par les Américains, le président Umaro Sissoco Embaló a en effet donné son accord de principe pour accueillir l’ancien chef d’État dans son pays.
Très engagé auprès de la Russie et des mercenaires de Wagner, le président centrafricain souhaite cependant renouer avec Paris. Il a discrètement initié un rapprochement avec son homologue français, qu’il souhaite rencontrer au Gabon dès le 2 mars. Révélations.
Les Forces armées centrafricaines ont été la cible mardi d’une attaque de plusieurs membres de la Coalition des patriotes pour le changement, dans le nord du pays. Le bilan est, pour le conseiller spécial du président Sébastien Wénézoui, imputable à la mauvaise gestion du commandement opérationnel.
Fils de l’ex-empereur Jean-Bedel Bokassa, l’ancien ministre a pu observer de près le déploiement du groupe Wagner en Centrafrique. Il raconte comment les Russes lui ont interdit l’accès au mausolée de son défunt père.
Formé au Tchad, engagé dans la rébellion en Centrafrique, le ministre de l’Élevage de Faustin-Archange Touadéra est aujourd’hui l’un des partenaires privilégiés du groupe Wagner à Bangui. Une histoire digne d’un roman d’espionnage.
La propagande du groupe Wagner s’est trouvé une nouvelle cible en Centrafrique : le groupe français Castel et sa bière Mocaf. Objectif des Russes : s’imposer sur le marché des spiritueux.
Le groupe Wagner a dévoilé, dans une vidéo diffusée le 14 janvier, le nom du commandant menant l’attaque sanglante sur la ville de Soledar, en Ukraine. Il s’agit d’Anton Elizarov, dont le visage est bien connu en Centrafrique, notamment parmi les groupes armés. Révélations.
L’ancien président centrafricain François Bozizé va-t-il devoir quitter N’Djamena ? Faustin-Archange Touadéra semble en tout cas décidé à l’éloigner définitivement de son pays, et même de la région.
Deux Français consultants des Nations unies ont été interpellés à Bangui, le 10 janvier, par la police aux frontières centrafricaine, pour « défaut de visa ». L’ONU affirme que les deux hommes sont en règle. Les négociations se poursuivent en haut lieu. Explications.
De l’or au café, en passant par le bois et les spiritueux, le groupe russe a fait de la Centrafrique et du Cameroun l’épine dorsale d’un réseau d’entreprises dont les profits se chiffrent en millions d’euros. Enquête au cœur de la « multinationale » Wagner.
L’homme d’affaires, aujourd’hui conseiller du président de l’Assemblée nationale en Centrafrique, élabore une structure destinée à « regrouper les russophones et les amis de la langue russe » sur le continent. Son but : concurrencer la Francophonie.
L’une en Centrafrique et l’autre au Kenya, face à Faustin-Archange Touadéra ou à Raila Odinga, les deux magistrates de haut vol n’ont pas fléchi, arbitrant avec conviction et détermination des batailles au plus haut sommet de l’État.
L’ancien chef de groupe armé a été arrêté lundi 26 décembre à N’Djamena. Auparavant à la tête des Renseignements généraux tchadiens, il était au cœur de tensions entre les diplomaties tchadienne et centrafricaine.
Alors qu’une deuxième vente publique de la monnaie numérique centrafricaine a été lancée ce 22 décembre, sa cotation est reportée au premier trimestre 2023.
L’attaque contre l’un des patrons du groupe à Bangui, le Russe Dmitri Sytyi, est encore loin d’avoir livré ses secrets. Mais elle semble annoncer une nouvelle escalade dans le bras de fer qui oppose la France et la Russie en Afrique.
La Russie affirme que l’un de ses représentants à Bangui a été blessé vendredi par une explosion, attaque que le chef du groupe Wagner impute à la France, qui dément ces accusations.
Alors que les derniers soldats français ont quitté la République centrafricaine, la présence militaire de Paris dans la zone francophone du continent est régulièrement remise en cause.
Ce 16 décembre, Dmitri Sytyi a été victime d’un colis piégé. Selon les représentants russes dans le pays, le co-dirigeant du groupe Wagner à Bangui est en soins intensifs.
Quatre jours après l’attaque de Bossangoa, le déroulé des événements se précise. Et le regard des autorités centrafricaines se tourne de plus en plus vers l’ancien président François Bozizé, exilé au Tchad, et ses fils, très actifs dans la sous-région.
Deux jours après l’attaque du camp de l’armée centrafricaine et de ses alliés russes, l’entourage de Faustin-Archange Touadéra et celui de Mahamat Idriss Déby Itno ont pour principal suspect François Bozizé. Explications.
Depuis que les positions de l’armée centrafricaine et de ses alliés russes de Wagner ont été frappées à Bossangoa le 28 novembre, la tension monte à Bangui. Le gouvernement affirme en coulisses détenir les preuves d’une offensive préparée par la CPC, qui utiliserait des bases arrière au Tchad.
D’après Bangui, l’aéronef aurait franchi les frontières du pays, au Nord, et aurait bombardé la ville de Bossangoa. L’appareil aurait pris pour cible les bases militaires centrafricaine et russe, ainsi qu’une usine de coton.
Une enquête a été ouverte par la Minusca pour déterminer les « circonstances exactes » du décès, survenu dans le sud-est du pays à la suite d’une attaque d’assaillants non-identifiés.
Plus proche du chef de l’État que Danièle Darlan, mise à l’écart, le vice-président de l’institution assurait l’intérim après le départ de sa prédécesseure. L’opposition accuse le président de « coup d’État institutionnel ».