L’ancien chef de l’État s’appuie sur une vieille garde et une nouvelle génération afin de ratisser le plus large possible. Et la machine de Henri Konan Bédié scrute au-delà du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
Organisé et structuré, le dispositif du Rassemblement des républicains (RDR) de Alassane Ouattara couvre la communication, la logistique, la sécurité, les finances…
Un shadow cabinet à la présidence, l’appareil du FPI, la famille et les amis constituent en gros le système Gbagbo. Le chef de l’État dispose d’une équipe fournie mais éclatée.
Conseillers, porte-voix ou hommes de l’ombre, communicants et spin doctors. Voyage au cœur des états-majors de campagne avant l’élection présidentielle prévue le 31 octobre.
Le secrétaire général de l’Élysée, qui a rencontré samedi dernier le chef de la junte nigérienne Salou Djibo, doit se rendre en Côte d’Ivoire les 2 et 3 octobre, dans la perspective de la présidentielle du 31 octobre prochain. Il devrait être accompagné par André Parant, conseiller « sud-Sahara » de Nicolas Sarkozy.
Avant l’élection présidentielle prévue le 31 octobre, le secrétaire général de l’Elysée doit venir prêcher la bonne parole dans la capitale ivoirienne. Il envisage de rencontrer les trois principaux candidats.
Le chef de l’ONUCI, Choi Young-Jin, qui a « certifié » la liste électorale définitive vendredi, présentera un rapport devant le Conseil de sécurité des Nations unies sur le processus électoral ivoirien le 28 septembre.
Deux films offrent une image contrastée du continent. L’un retrace la formidable épopée de musiciens kinois ; l’autre dénonce le trafic d’êtres humains qui sévit dans le milieu du foot.
Depuis cinquante ans, les membres de la famille se disputent le contrôle de Korhogo. Ministres ou directeurs de campagne, ils ont su se placer au sommet de l’État. Entre coups bas et ralliements, chronique de la guerre des Coulibaly qui prend les airs d’un « Dallas » à l’ivoirienne.
Réunis à Ouagadougou autour du médiateur Blaise Compaoré, les trois ténors politiques ivoiriens Gbagbo, Bédié et Ouattara ont entonné la même chanson. À les en croire, il n’y a plus aucun obstacle à la tenue de l’élection présidentielle le 31 octobre.
Le président de la Banque ouest africaine de développement (BOAD) fait le point avec jeuneafrique.com sur les Objectifs du millénaire du développement (OMD). Au même moment l’ONU, à New York, se penche elle aussi sur la question. Interview.
Les manifestations de Maputo, début septembre, font craindre une contagion régionale, comme en 2008. Entre sécheresse et flambée des prix, le risque d’explosion est réel.
La démobilisation de milliers d’éléments de l’ex-rébellion qui contrôle le nord ivoirien depuis 2002 s’est officiellement achevée samedi à Dabakala (500 km au nord d’Abidjan), un mois et demi avant le scrutin présidentiel du 31 octobre, a constaté l’AFP.
Le directeur exécutif de l’Onusida, Michel Sidibé, se rendra au sommet des Nations-unies sur les OMD, du 20 au 22 septembre prochain à New-York. Avec jeuneafrique.com, il a accepté de dresser un bilan de l’état actuel de la pandémie du VIH/sida. Et de livrer sa vision sur ce qui doit changer dans la lutte contre le virus. Interview.
Accord de tous les protagonistes sur la liste électorale, effervescence dans les états-majors des candidats déjà en campagne… Plus rien ne paraît s’opposer à l’organisation du scrutin présidentiel, dont le premier tour a été fixé au 31 octobre. Enfin !
Ministre à un poste stratégique dans les gouvernements sous Lansana Conté et Dadis Camara, Tibou Kamara, à qui l’on a prédit des ennuis judiciaires à chaque changement de régime, semble être un homme indispensable au pouvoir guinéen.
La star ivoirienne du reggae, Tiken Jah Fakoly, venu organiser un concert « pour la paix » à Conakry mercredi, a invité les deux candidats en lice pour le second tour de la présidentielle en Guinée à « se serrer la main » publiquement pour montrer qu’avant tout, ils sont « des frères ».
Après l’adoption de la liste électorale définitive, le secrétaire général de l’Élysée prépare un déplacement en Côte d’Ivoire, signe d’un réchauffement des relations entre Paris et Abidjan.
La célébration des vingt ans de la basilique Notre-Dame de la Paix de Yamoussoukro a attiré plus de 7 000 fidèles, dont le président Laurent Gbagbo. Principale objet des prières : le retour d’une paix durable.