Le secrétaire d’Etat français à la Coopération, Alain Joyandet, a affirmé jeudi à son arrivée à Libreville pour l’investiture vendredi d’Ali Bongo à la présidence du Gabon que la France n’avait pas « interféré » dans l’élection présidentielle du 30 août.
La Cour constitutionnelle gabonaise a validé lundi l’élection d’Ali Bongo à la présidence de la République du Gabon à l’issue de l’examen des 11 recours en annulation du scrutin du 30 août déposés par 9 candidats et une citoyenne, a annoncé sa présidente.
Son élection confirmée par la Cour constitutionnelle gabonaise lundi soir, Ali Bongo, fils du président Omar Bongo Ondimba décédé en juin après 41 ans au pouvoir, devrait être investi vendredi alors que l’opposition dénonce « une mascarade ».
La coalition des principaux candidats de l’opposition à l’élection présidentielle du 30 août au Gabon a exprimé mercredi « rejet » et « dégoût » après la décision de la Cour Constitutionnelle de valider l’élection d’Ali Bongo, fils du défunt président Omar Bongo.
Second de l’élection présidentielle gabonaise du 30 août dernier avec 25,88%, André Mba Obamé revient dans une interview à jeuneafrique.com sur les facteurs l’ayant poussé à déposer des recours en annulation devant la Cour Constitutionnelle.
Azur, détenu à 75% par le groupe de Bahrein Bintel, a lancé jeudi son réseau de téléphonie mobile au Gabon, devenant ainsi le 4e opérateur du pays après Zain (groupe éponyme), Libertis (Gabon Telecom), et Moov (Etisalat), a annoncé l’entreprise lors d’une conférence de presse.
L’équipe nationale gabonaise de football dite « Panthères » prépare activement, depuis lundi dernier, le match face aux Lions de l’Atlas du Maroc, qui aura lieu le 10 octobre au stade Président Bongo de Libreville pour le compte de la 5ème journée des éliminatoires jumelées CAN/ Coupe du monde 2010.
La Cour constitutionnelle gabonaise s’est réunie mardi toute la journée à huis clos, en séance plénière, pour rédiger les rapports sur les recours en annulation de l’élection présidentielle contestée du 30 août, a appris l’AFP auprès de cette institution.
La Cour constitutionnelle a terminé samedile recomptage des votes de la présidentielle gabonaise du 30 août. Un recomptage qui s’est tenu sans l’opposition, qui a boycotté le processus en raison d’un désaccord avec la Cour.
Si l’opposition n’obtient pas gain de cause devant la justice, elle aura au moins gagné du temps. En attendant, en coulisses, des « médiateurs » discrets préparent la voie au dialogue.
Sous la pression des perdants de l’élection présidentielle gabonaise, la Cour constitutionnelle a accepté de recompter tous les bulletins de vote ce mardi, en présence d’huissiers. A l’issue de ce recomptage, l’élection d’Ali Bongo à la succession de son père pourrait être invalidée.
Les candidats de l’opposition gabonaise, auteurs de recours en annulation de la présidentielle, ont refusé mardi vers 18H30 (17H30 GMT) de cautionner le recomptage à Libreville des voix de l’élection par la Cour constitutionnelle, qui ne prévoit que la présence d’huissiers.
Après avoir reçu onze recours en annulation pour la présidentielle qui a vu Ali Bongo succéder à son père à la tête du Gabon, la Cour constitutionnelle devrait recompter les bulletins de vote, selon certains opposants qui revendiquent toujours la victoire.
Un nouveau traitement préventif pourrait éviter 30 % des cas de paludisme chez les nourrissons en Afrique. Six millions d’enfants pourraient ainsi être épargnés par le fléau.
Visé dans le dossier dit des « Biens Mal Acquis », le Président de la Guinée Equatoriale vient de déposer plusieurs plaintes, en France, contre le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD) et Transparence Internationale France.
Neuf candidats malheureux à la présidentielle gabonaise du 30 août ont déposé un recours pour invalider le scrutin. Une citoyenne attaque pour sa part un bureau de vote.