Le 2 avril, l’ancienne première dame gabonaise, Patience Dabany, a déposé une plainte contre huit hauts responsables du Parti démocratique gabonais, dont elle fut la cofondatrice. Elle dénonce des « troubles illicites ».
L’ex-Premier ministre a présenté sa démission du poste de deuxième vice-président du parti. Cette décision intervient à la suite de dissensions au sein de l’ancienne formation au pouvoir, qui se divise sur le soutien à apporter – ou non – à Brice Clotaire Oligui Nguema, président de la transition.
Ike Ngouoni Aila Oyouomi, arrêté en 2019 dans le cadre de l’opération anticorruption Scorpion, a recouvré la liberté. Il était l’un des proches de Brice Laccruche Alihanga, lui-même sorti de prison en octobre dernier.
Sept mois après avoir pris le pouvoir au Gabon, le général affirme son style, alliant populisme, fermeté et volonté de rupture avec l’ère Bongo. Au palais du Bord de mer comme dans l’esprit des Gabonais, il s’est imposé en tant que chef d’État. Avec l’ambition de durer ?
La conférence nationale a débuté mardi 2 avril à Libreville, en présence du Centrafricain Faustin-Archange Touadéra. Jusqu’au 30 avril, les participants débattront des modalités de la nouvelle Constitution gabonaise.
Visée par un audit des autorités de transition, la holding familiale des Bongo a publié un communiqué pour tenter de faire taire les nombreuses accusations de détournement qui circulent à son sujet.
Libreville compte lever 854 milliards de F CFA (plus de 1,3 milliard d’euros) cette année, rien que sur le marché des valeurs du Trésor géré par la banque centrale. Un pari à sa portée, mais des analystes s’inquiètent des conditions.
La famille de ce Gabonais arrêté en Centrafrique le 24 février dénonce une détention arbitraire. Mais, selon les informations de Jeune Afrique, les autorités de Bangui le soupçonnent d’espionnage au profit des services de renseignement gabonais.
La junte au pouvoir au Gabon a annoncé le 20 mars le lancement d’un audit de Delta Synergie, la tentaculaire société familiale créée par Omar Bongo Ondimba. Explications.
Le CTRI a nommé les membres du bureau chargé de conduire la conférence nationale. Celle-ci se déroulera du 2 au 30 avril à Libreville, et doit définir les contours de la future Constitution.
L’ancien parti au pouvoir a recommencé à faire les gros titres de la presse gabonaise, y compris après avoir destitué son ex-président, Ali Bongo Ondimba. Une couverture médiatique qui agace le président de la transition.
Le Sous-comité de l’ONU pour la prévention de la torture s’est dit préoccupé par les conditions de détention « déplorables » dans les lieux de privation de liberté au Gabon, dans un communiqué publié ce 19 mars.
Renversé le 30 août dernier, l’ex-chef de l’État a été destitué de la présidence du Parti démocratique gabonais, le 7 mars. Pour Adrien Poussou, si les cadres du parti n’ont pas eu de scrupules à rejeter celui qu’ils ont docilement servi, rien ne les empêchera de récidiver.
Entrée de l’État au capital, naissance et mission du pavillon national, évolution de la gouvernance… L’administrateur général d’Afrijet – et futur président du conseil d’administration –, Marc Gaffajoli, décrypte auprès de JA les changements à venir.
Le président de la transition gabonaise, Brice Clotaire Oligui Nguema, a dévoilé les contours de la conférence nationale chargée de préparer la nouvelle Constitution.
La Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) a annoncé dimanche 10 mars qu’elle réintégrait le Gabon, suspendu au lendemain du coup d’État qui avait renversé le 30 août 2023 Ali Bongo Ondimba.
L’ancien parti unique a nommé un directoire provisoire et acté le départ d’Ali Bongo Ondimba. La formation espère faire peau neuve lors de son prochain congrès pour préparer l’élection présidentielle de 2025.
Le président de la transition n’a pas laissé de côté sa carrière militaire. Général de brigade, il garde un œil sur les forces de défense et de sécurité du pays, et tente de les réorganiser.
Après avoir radié Jean-Denis Amoussou, la Grande Loge du Gabon s’oppose désormais à Maixent Accrombessi, l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba qui a pris les devants en rendant son tablier. Coulisses.
Au Gabon, Brice Clotaire Oligui Nguema compte lancer des émissions obligataires pour 570 milliards de F CFA. Une première sur le marché financier régional qui risque de se heurter au principe de réalité.
Le porte-parole de la junte du général Brice Clotaire Oligui Nguema a été l’incarnation télévisuelle du coup d’État d’août 2023. Au point de devenir dans l’ombre l’un des hommes les plus influents de Libreville.
Le président de la transition gabonaise, arrivé au pouvoir lors d’un putsch le 30 août 2023, a prévu de se rendre à Paris dans les prochains mois. Il doit y être reçu à l’Élysée par le chef de l’État français.
Les conditions dans lesquelles s’est déroulé le dernier concours de recrutement de la police gabonaise ont déclenché un tollé. Si bien que le président de la transition est intervenu, a sanctionné des gradés soupçonnés de fraude et a augmenté le nombre des admissions.
Le président de la transition gabonaise vient d’offrir des présents de naissance et une somme mirobolante à un nouveau-né baptisé… Brice Clotaire Oligui.
Derrière les murs de la prison centrale de Libreville se côtoient sans se croiser Kelly Ondo Obiang, auteur du putsch manqué de 2019, ainsi que les derniers fidèles de Noureddin Bongo-Valentin et de Brice Laccruche Alihanga. Plongée dans leur quotidien.
Le tentaculaire parti d’Ali Bongo Ondimba a annoncé la tenue d’assises pour réfléchir à son avenir, en prévision de son 56e anniversaire. Ses responsables souhaitent faire renaître des cendres du coup d’État une formation politique dont le nom a été associé à la famille Bongo depuis sa création.
Après l’acquisition d’Assala Energy, Brice Clotaire Oligui Nguema confirme son ambition de voir Libreville peser davantage dans le secteur des hydrocarbures en acquérant les parts que Vivo Energy détenait dans la SGEPP.