Dans un contexte régional miné par le terrorisme et confronté aux conséquences sociales de la quasi absence de développement économique, le Niger est aujourd’hui confronté à d’immenses défis dont la réussite à pour enjeu le maintien de la paix sur le territoire.
La Libye est plongée dans une profonde crise économique depuis la fermeture mi-2013 de ses principaux sites pétroliers, privant l’Etat de l’essentiel de ses revenus, trois ans après la révolution qui a renversé le régime de Mouammar Kadhafi.
La menace de coup d’État en Libye a été démentie vendredi par les autorités du pays, coupant court aux rumeurs répandues depuis la mise en ligne d’une vidéo de Khalifa Haftar, un ex-général à la retraite, appelant à suspendre le Parlement et le gouvernement.
Des documents récemment déclassifiés par le ministère français de la Défense apportent un éclairage nouveau sur l’étendue des retombées radioactives des essais nucléaires français des années 60 dans le Sahara. Selon une carte officielle, l’Afrique subsaharienne a elle aussi été touchée.
Amnesty International a condamné jeudi la régression de la liberté d’expression en Libye. Dans le même temps, Human Rights Watch (HRW) a estimé que Tripoli devait permettre aux responsables de l’ancien régime de Mouammar Kadhafi inculpés l’accès à des avocats.
Le tunisien SNMVT, qui détient la franchise Monoprix du Maroc à la Libye, ouvre le jeudi 13 février son deuxième magasin à Tripoli. Une surface géante de 1 900 mètres-carrés qui s’annonce comme un véritable défi.
Entre lecture de livres sur l’islam et conversations sur Skype, Saadi Kadhafi vit reclus dans une villa de Niamey, sous la surveillance de 30 gendarmes nigériens. La Libye réclame son transfert à Tripoli.
Les factures d’armement sont en constante augmentation sur le continent, où les questions de défense n’ont peut-être jamais été aussi complexes compte tenu de la diversité des risques. Retour sur les principales informations militaires africaines de ce début de 2014 avec Laurent Touchard*.
Des milliers de Libyens ont manifesté vendredi contre la prolongation du mandat de la plus haute instance politique, sur fond de craintes de débordements dans ce pays divisé qui peine à mettre fin à une période de transition chaotique.
Accusés d’avoir soutenu Kadhafi, les Noirs de Tawergha (sud de Misrata), descendants d’esclaves, ont été dépossédés de facto de leur citoyenneté. Et vivent depuis deux ans la peur au ventre, retranchés dans des habitations de fortune.
Le ministre nigérien de l’Intérieur, Massoudou Hassoumi, a estimé mercredi qu’il était « tout à fait légitime que la France (et) les États-Unis interviennent pour éradiquer la menace terroriste dans le sud de la Libye ».
À Sebha, rien ne va plus entre communautés touboue et arabe. Les violences ont fait une centaine de morts, et des combattants pro-Kadhafi s’en mêlent. De quoi donner des sueurs froides à Tripoli.
Réfugié en Égypte, Kaddaf Eddam a été approché par les fédéralistes de Cyrénaïques. Et à travers lui Bachir Saleh, l’ex-grand argentier du défunt « Guide ».
Fondateur de Tatweer Research, Khalid al-Mufti caresse le rêve un peu fou de faire de la capitale de Cyrénaïque un centre mondial des TIC. Au coeur de son projet : un technoparc de 160 hectares à Benghazi, berceau de la révolution libyenne.
Un ancien responsable libyen du régime de Kadhafi a été reçu mercredi par un juge parisien. Il dit avoir été torturé par des Français en 2011 à Tripoli.
La chaîne France 3 va diffuser mercredi un enregistrement datant de mars 2011 dans lequel Mouammar Kadhafi affirme, sans toutefois fournir aucune preuve, avoir financé la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.
Miliciens ou citoyens lambda, les Libyens sont très, très nombreux à porter une arme pour se défendre contre un autre milicien, contre un voisin… Bref, contre tout le monde.
Les cinq membres de l’ambassade d’Égypte, enlevés vendredi et samedi à Tripoli, ont été libérés par leurs ravisseurs dimanche soir. Les circonstances de la libération sont encore floues.
Au moins 88 personnes ont été tuées et 130 blessées en deux semaines d’affrontements entre tribus rivales à Sebha dans le sud de la Libye impliquant des partisans du régime déchu de Mouammar Kadhafi, a-t-on appris samedi de source hospitalière.
Cinq membres de l’ambassade égyptienne ont été enlevés en moins de 24 heures à Tripoli, illustrant une fois de plus le chaos régnant en Libye, où les milices font la loi.
Libyan Investment Authority (LIA), le fonds souverain libyen, a engagé des poursuites judiciaires contre la banque d’affaires Goldman Sachs devant la Haute Cour de justice de Londres. LIA reproche au géant américain de lui avoir fait perdre plus de 1 milliard de dollars dans des placements mal-avisés.