Du Maroc à l’Égypte, en passant par le Mali et le Niger, les Berbères occupent une place à part. Souvent marginalisée par les États, la culture amazigh a survécu. Au prix d’une lutte constante.
Une enquête ouverte par le gouvernement libyen visant à recouvrer des fonds détournés par la famille Kadhafi a permis de remonter jusqu’au Tunisien Slim Riahi.
La Libye a célébré sans faste ni enthousiasme, mercredi, le deuxième anniversaire de la chute du régime de Mouammar Kadhafi. Deux ans après la révolution, le pays est plongé dans une transition chaotique émaillée de violences et de problèmes sécuritaires.
L’avocat du Libyen Abou Anas al-Libi, détenu aux États-Unis, a demandé mardi six mois pour préparer la défense de son client. Ce ce membre présumé d’Al-Qaïda est accusé d’être impliqué dans les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie en 1998.
Du Maroc à l’Égypte, en passant par le Mali et le Niger, les Berbères occupent une place à part. Souvent marginalisée par les États, la culture amazigh a survécu. Au prix d’une lutte constante.
Deux ans après la mort de Mouammar Kadhafi, Safia, sa veuve, a demandé, lundi, aux membres du Conseil de sécurité de l’ONU et à l’Union européenne de dévoiler le lieu où se trouvent les dépouilles de son mari et de son fils Mouatassim.
Le chef de la police militaire libyenne a été tué vendredi par balles à Benghazi, dans l’est de la Libye, selon un porte-parole des services de sécurité.
Cela fait près de deux ans que l’ex-dictateur libyen, Mouammar Kadhafi est mort, le 20 octobre 2011. Depuis, plusieurs membres de sa famille et de son clan sont entre les mains de la justice libyenne. En revanche, les autorités de Tripoli tentent toujours d’obtenir l’extradition de Saadi, Aïcha, Hannibal et Mohammed Kadhafi.
La Fédération internationale de football association (Fifa) a dévoilé jeudi son classement par pays du mois d’octobre. Sur le continent, la Côte d’Ivoire domine toujours, quatre places devant la France. Autre fait notable : la remontée en flèche de la Libye.
Un raid américain en plein coeur de Tripoli, un Premier ministre enlevé au saut du lit, des milices qui font régner leur loi… Deux ans après la chute de Kadhafi, rien ne fonctionne dans la pétaudière libyenne.
Le Libyen Abou Anas al-Libi, membre présumé d’Al-Qaïda, a plaidé non coupable, mardi, devant un juge new-yorkais. Il est inculpé pour les attentats meurtriers contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie en août 1998.
Le Premier ministre libyen Ali Zeidan a qualifié vendredi son enlèvement la veille par des ex-rebelles de « tentative de coup d’État », accusant des acteurs politiques de vouloir « pousser le pays vers le chaos ».
Abdallah Senoussi sera bien jugé en Libye. La Cour pénale internationale (CPI) l’a annoncé, vendredi. Livré par la Mauritanie en septembre 2012, l’ancien chef du renseignement de Kadhafi était depuis détenu à la prison d’El-Hadba el-Khadra de Tripoli.
Lors d’un entretien accordé à la chaîne de télévision France 24, le Premier ministre libyen Ali Zeidan a accusé « un parti politique”, sans le nommer, d’avoir organisé son enlèvement jeudi matin pendant quelques heures.
Le Premier ministre libyen Ali Zeidan, enlevé jeudi au petit matin dans un hôtel de Tripoli par un groupe d’hommes armés, a été libéré après quelques heures de captivité.
Le Premier ministre libyen Ali Zeidan a été enlevé jeudi à l’aube par des hommes armés à Tripoli. Ses ravisseurs seraient d’ex-rebelles qui lui reprochent d’avoir autorisé la capture d’un responsable d’Al-Qaïda, Abou Ana al-Libi, par un commando américain.
La Libye a enjoint mardi les États-Unis de lui remettre « immédiatement » Abou Anas al-Libi, un chef présumé d’Al-Qaïda capturé le week-end dernier par un commando américain à Tripoli. Barack Obama a lui affirmé que l’islamiste libyen serait jugé par la justice américaine.
La tension monte entre Tripoli et Washington. Mardi, le Congrès général national libyen (CGN), la plus haute autorité politique du pays, a enjoint les États-Unis de lui remettre immédiatement Abou Anas al-Libi. Ce chef présumé d’Al-Qaïda a été capturé, samedi, par les forces américaines, lors d’un raid dans la capitale lybienne.
Après deux raids, l’un en Somalie et l’autre à Tripoli – lequel a mené à la capture d’un chef présumé d’Al-Qaïda et poussé la Libye à demander des « explications » à Washington -, les États-Unis ont cherché à se justifer, dimanche. Selon le secrétaire d’État, John Kerry, ces opérations ont été « appropriées et légales ».
Une quinzaine de nouveaux corps ont été retrouvés dimanche à Lampedusa où un naufrage a provoqué la mort de centaines de migrants. La ministre italienne l’Intégration, Cécile Kyenge, a appelé à des politiques d’immigration plus ouvertes en Italie et en Europe.
Les forces spéciales américaines ont mené deux raids audacieux visant deux chefs islamistes soupçonnés d’actes terroristes, l’un en Libye, où ils ont capturé un des leaders présumés d’Al-Qaïda, et l’autre en Somalie, ont annoncé des responsables à Washington.
L’île italienne de Lampedusa a vécu, jeudi, une véritable tragédie. Plus de 130 migrants sont morts lors du naufrage de leur embarcation et 200 sont toujours portés disparus. Alors que les recherches ont repris vendredi, les autorités italiennes n’ont « plus d’espoir de retrouver des survivants ».
Cécilia Attias, ex-épouse de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, va publier le 9 octobre ses mémoires d’ex-première dame de France. En préambule d’une grosse campagne de promo, l’hebdomadaire français « Le Point » a ouvert la marche avec la publication, jeudi, des bonnes feuilles d' »Une envie de vérité ». On peut y lire le récit des coulisses surréalistes de la libération des infirmières bulgares détenues en Libye par Mouammar Kadhafi.
Une embarcation transportant environ 500 migrants originaires de la Corne de l’Afrique a fait naufrage au large de la petite île de Lampedusa (Sicile). Au moins 130 personnes ont péri, selon un bilan provisoire. L’Italie a annoncé la proclamation d’un deuil national.
Des dizaines de manifestants en colère ont attaqué, mercredi soir, l’ambassade de Russie à Tripoli. Un assaut qui est intervenu après des rumeurs faisant état de l’assassinat dans la capitale libyenne d’un officier de l’armée par une femme russe.