Depuis l’annonce d’un concert prévu le 21 juin à Casablanca, les internautes se déchainent contre le célèbre rappeur en dénonçant ses textes à caractère sexiste et raciste sur les femmes marocaines.
Renforcement des dessertes aériennes, mise à niveau du parc hôtelier, diversification de l’offre… Rabat revoit ses ambitions à la hausse pour séduire 17,5 millions de touristes à l’horizon 2026.
Spécialiste en transmission des entreprises familiales, le président de BDO Maroc analyse pour Jeune Afrique la manière dont les grands patrons du royaume abordent la question de leur succession. Un sujet encore considéré comme sensible.
La justice espagnole a rejeté la plainte du Maroc contre le journaliste Ignacio Cembrero, qui accuse le royaume d’avoir espionné son téléphone avec le logiciel israélien Pegasus, sans en apporter les preuves et malgré une expertise policière concluant à l’absence de contamination de l’appareil.
Depuis le décès de Miloud Chaâbi, Ynna Holding est secoué par une bataille intestine qui fait craindre l’effondrement à l’un des héritiers. Pour éviter un tel risque, les familles Benjelloun, Kabbaj (SGTM) et Berrada Sounni ont d’ores et déjà pris les devants pour préparer leur succession.
La justice marocaine a finalement décidé de juger huit collaborateurs de l’ancien patron du groupe d’assurance français Assu2000. Sont notamment retenus les chefs d’inculpation de « traite d’êtres humains » et de « harcèlement sexuel ». Jacques Bouthier, quant à lui, est incarcéré en France.
Le coach des Lions de l’Atlas, encore auréolé par le parcours de ses joueurs au Qatar, doit jongler entre sa mission de sélectionneur et celle, moins officielle, d’ambassadeur du royaume. Le tout sur fond de polémiques, entre l’affaire Hakimi et celle des trafics de billets lors de la dernière Coupe du monde.
Qu’elle soit préparée en amont ou réalisée discrètement à la mort du chef de famille, la succession à la tête de certains groupes a lieu, la plupart du temps, sans anicroche. Plongée dans les coulisses des cas les plus emblématiques du royaume : Akwa Group, Holmarcom, Safari et Diana Holding.
La transmission de la plupart des grands groupes familiaux du royaume, d’une génération à la suivante, constitue souvent un sujet sensible. Batailles fratricides, convoitise, méthodes de gouvernance inédites… Tour d’horizon des exemples les plus emblématiques.
À l’approche du ramadan, des internautes marocains appellent au boycott des dattes algériennes, dont plusieurs quintaux ont été détruits en début de semaine à Casablanca. Accusées d’« inonder le marché marocain » et d’être cancérigènes, elles favoriseraient « la concurrence déloyale ».
Après le recadrage du Palais, le parti d’opposition islamiste Justice et Développement (PJD) se défend de tout agenda interne sur la question palestinienne. Et en appelle à la liberté d’expression.
Avec son recueil de nouvelles « 30 jours pour trouver un mari », notre collaborateur ferraille avec humour et légèreté contre l’obscurantisme et les idées toutes faites.
Sidérurgie, mines et même outsourcing ont permis aux groupes nord-africains d’enregistrer de belles performances dans notre classement régional des 500 Champions africains 2023.
Avant les disruptions déclenchées par la guerre en Ukraine et la tempête sur les prix alimentaires, le secteur agroalimentaire se portait plutôt bien en sortie de crise Covid.
L’idée était dans l’air depuis quelque temps, elle vient d’être officialisée par un message du roi Mohammed VI : les trois pays méditerranéens sont candidats à l’organisation conjointe du Mondial 2030 de football.
Les journalistes français Éric Laurent et Catherine Graciet, accusés de chantage à la publication d’une enquête compromettante pour le Palais, écopent d’un an de prison avec sursis. L’avocat du Palais royal se dit « satisfait ».
En évoquant le concept historique de « Sahara oriental » sous souveraineté marocaine, la directrice des Archives royales, Bahija Simou, a déclenché la colère des réseaux sociaux algériens. Pourtant, son avis n’exprime pas une position officielle.
En réponse aux propos tenus par le secrétaire général du PJD, qui a accusé le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, de « défendre l’entité sioniste », le Palais a réagi par voie de communiqué. Et rappelé que la diplomatie demeure le domaine réservé du roi.
L’organisation d’événements sportifs et la promotion des athlètes sont devenues un « must » pour les pays désireux de soigner leur image et de gagner en influence sur la scène diplomatique. Rabat y excelle.
Figure de la start-up nation israélienne et porte-parole du sionisme, Elie Wurtman a lancé un programme d’échanges entre les jeunes de son pays et la jeunesse arabe. Objectif : miser sur leur créativité pour développer des solutions innovantes face aux défis que doit relever le Moyen-Orient. Sa cible du moment : le Maroc.
Tandis que le royaume tarde à lever tous les freins au bon développement de l’économie numérique, le secteur affiche un certain dynamisme, spécifiquement en ce début d’année 2023.
Après avoir annoncé des bénéfices en forte progression, le premier producteur privé d’électricité au Maroc dévoile ses nouvelles ambitions en matière d’énergies renouvelables.
Au Maroc, la revente au marché noir de tickets de match destinés aux supporters des Lions de l’Atlas avait fait scandale. À la veille de la publication des résultats de l’enquête, le président de la FRMF promet de faire le ménage « jusqu’au plus haut niveau ».
Victime collatérale de la guerre en Ukraine, le Maroc, qui comme la plupart des économies continentales digère toujours les effets de la pandémie de Covid-19, a demandé l’aide du FMI. Une première en dix ans.
Après sa collègue de l’Énergie, c’est Nasser Bourita, ministre marocain des Affaires étrangères, qui a réaffirmé, le mois dernier, la volonté du royaume de devenir un pays de référence en matière de nucléaire civil à l’échelle du continent.
Considéré comme la plus haute autorité militaire aux États-Unis, principal conseiller de Joe Biden en matière de défense, le général Mark Milley, chef d’état-major des armées américaines, était à Rabat le 5 mars. Une première dans la région. Décryptage.
Dans les affaires ou dans la politique, ils sont depuis des années déjà des noms qui comptent dans le sud du Maroc. Entre Laâyoune et Dakhla, les nouveaux Sahraouis, ce sont aussi eux. Troisième et dernier volet de notre série.
Nés pour la plupart après la Marche verte de 1975, ou trop jeunes lorsqu’elle a eu lieu, ces Sahraouis occupent aujourd’hui des postes de premier plan et incarnent à leur façon ce qu’est la nouvelle élite des régions du sud du Maroc. Deuxième épisode de notre série.
Aux côtés des figures incontournables et des grandes familles, les provinces du Sud marocain ont vu émerger ces dernières années de nouvelles personnalités prometteuses. Parmi elles, trois jeunes femmes dynamiques et déterminées.
Longtemps sous perfusion, les provinces marocaines du Sud sont aujourd’hui l’une des régions les plus dynamiques du royaume chérifien. Le mérite en revient à une nouvelle élite décomplexée qui a rompu avec l’économie de rente et pris son destin à bras-le-corps.