L’Algérie et le Maroc sont les deux pays les mieux placés pour accueillir la CAN 2025, devant le duo constitué du Nigeria et du Bénin, et la Zambie. Quels sont les atouts et les handicaps respectifs des deux rivaux nord-africains ?
Le 27 février, le président français a qualifié ses relations avec le roi Mohammed VI d’« amicales ». Il n’en est rien, réplique-t-on sèchement à Rabat.
Le cadet de la richissime fratrie égyptienne Sawiris, Samih, et ses coactionnaires, se sont engagés à investir 4 milliards de dirhams pour développer la station balnéaire d’Essaouira.
La star marocaine a annoncé son intention de faire appel de sa condamnation à six ans de prison, prononcée à Paris le 24 février. Libération potentielle, risque d’écoper d’une peine plus lourde… Quelles peuvent être les conséquences ? Éléments de réponse.
Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête visant le défenseur marocain du Paris Saint-Germain, après des accusations d’une femme de 24 ans qui a déclaré avoir été violée le 25 février au domicile du joueur, à Boulogne-Billancourt.
Il y a 47 ans, le 28 février 1976, quelques mois après la Marche verte lancée par le roi Hassan II, le drapeau national était hissé pour la première fois à Laâyoune, au Sahara, marquant la fin de l’occupation des provinces du Sud. Récit de ce moment-clé de l’histoire contemporaine du Maroc par Seddik Maâninou, journaliste et ancien patron de la télévision marocaine.
Jusque-là placé sous « surveillance renforcée » par la vigie internationale de la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, le royaume a été retiré de la liste après « des progrès significatifs ».
Depuis la normalisation des relations diplomatiques entre Israël et le Maroc en décembre 2020, Alger ne cesse de reprocher à Rabat son désengagement de la cause palestinienne. Pourtant, les projets du Comité Al-Qods, présidé depuis sa création par le roi du Maroc, laissent penser le contraire. Qu’en est-il réellement ?
Longtemps, le Maroc a compté de nombreux relais et soutiens au sein de la classe politique française, lui permettant de faire valoir ses intérêts. Mais la recomposition provoquée par l’élection d’Emmanuel Macron et l’absence d’élus sensibles aux revendications marocaines semblent avoir compromis cette relation privilégiée.
Le chanteur Saad Lamjarred, condamné le 24 février à six ans de prison, dispose d’un immense soutien au Maroc et dans le monde arabe. Sa communauté milite pour qu’il fasse appel de la décision.
Après sept heures de délibéré, la cour d’assises de Paris s’est dite « convaincue » du viol décrit par la plaignante et a condamné le chanteur star marocain, le 24 février, à six ans de prison.
Le Parquet a requis hier sept ans d’emprisonnement contre le chanteur marocain jugé pour viol devant la cour d’assises, à Paris. La dernière journée de débats n’a pas été favorable à sa défense. Le verdict est attendu aujourd’hui.
La résolution du Parlement européen appelant Rabat à respecter la liberté des médias traduit la persistance d’un « besoin de civiliser » ethnocentrique.
Mohammed VI a dû renoncer à se rendre à Dakar ce mercredi 22 février en raison d’une grippe qui l’empêche de voyager, selon le palais. Il observe une période de repos au Gabon, où il séjournait ces dernières semaines.
Devenu célèbre sur les réseaux sociaux, le Franco-Algérien interprète avec justesse Yazid Ichemrahen, un pâtissier star, dans « À la belle étoile », long-métrage de Sébastien Tulard sorti le 22 février.
À un mois du Ramadan, la lutte contre l’inflation semble prendre le pas sur l’un des grands axes de la politique économique du royaume, l’essor des exportations de fruits et légumes. Les cultivateurs, de tomates en particulier, sont inquiets.
Accusé de viol par Laura P. en 2016, Saad Lamjarred est jugé devant la Cour d’assises de Paris du 20 au 24 février. La star de la pop arabe encourt jusqu’à vingt ans de réclusion criminelle.
Le jeudi 16 février, les eurodéputés ont voté un texte réclamant de mesures restrictives contre le Maroc. Parmi elles, une possible interdiction temporaire d’entrer au sein de l’Hémicycle aux représentants du royaume.
Alors que le Parlement européen continue à enquêter sur plusieurs pays accusés d’avoir espionné des personnalités à l’aide du logiciel espion israélien, le Maroc, qui fait partie des États mis en cause, contre-attaque. Ses représentants évoquent un dossier vide.
La foire d’art contemporain africain a fait son grand retour dans la ville rouge du 9 au 12 février, alors que se lançait aussi le Festival africain du livre de Marrakech.
Depuis l’ouverture d’une enquête à son encontre pour mauvaise gestion à la tête de Masen, le grand commis de l’État fait profil bas, ne se rendant au siège de l’agence que pour expédier les affaires courantes. Le vent a-t-il définitivement tourné pour le Monsieur énergies renouvelables du royaume ?
Depuis quelques années, le Maroc a adopté une politique de tolérance zéro sur tout ce qui touche à son intégrité territoriale, y compris lorsqu’il s’agit de cartographie. Dernières victimes en date : les écoles françaises du royaume, dont certaines ont été contraintes de retirer des manuels scolaires jugés non conformes par les autorités.
Depuis son rapprochement avec les États-Unis et la normalisation de ses relations avec Israël, le royaume a rejoint la liste des cibles potentielles des hackers iraniens. Et vient de participer, avec les autres pays signataires des Accords d’Abraham, à une réunion de mise à niveau concertée de leur moyens de cyberdéfense.
Confronté à des problèmes de sécheresse et de pénurie d’eau plus aigus que jamais, le Maroc compte sur le savoir-faire israélien en matière de gestion de l’eau pour en atténuer les effets. Une coopération rendue possible par la normalisation des relations entre les deux États.
Après la réunion bilatérale de haut niveau organisée début février à Rabat, les gouvernements marocain et espagnol semblent plus résolus que jamais à relancer le mégaprojet du tunnel ferroviaire sous-marin sous le détroit de Gibraltar. Cette fois sera-t-elle la bonne ?
La commission du Parlement européen chargée de l’enquête sur le logiciel espion Pegasus a réalisé, jeudi 9 février, une série d’auditions sur le sujet, et en particulier sur sa possible utilisation par le Maroc. La veille, le Parlement marocain organisait une conférence-débat autour des récentes mises en cause de Bruxelles.
Outre l’entreprise indienne et son compatriote, le géant Adani Group, les projets d’énergies renouvelables du Maroc intéressent une vingtaine de consortiums, « dont une quinzaine très sérieux », qui ont exprimé leur intérêt ou déposé leurs dossiers auprès des autorités du royaume.
L’ascension fulgurante de Lahbib Mohamed Abdelaziz et sa double promotion, depuis le 16e congrès du Polisario, pourraient être les prémisses d’une transition post-Ghali. Mais aussi illustrer un durcissement en cours de la direction du mouvement.