L’importance des investissements au Maroc ne se traduit pas en croissance et en création d’emplois, selon la Banque mondiale, qui pousse à réviser le modèle de développement afin d’accorder davantage d’importance au secteur privé.
Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) remet, cette semaine, une enveloppe totale de 87 millions de dirhams (8,1 millions d’euros) à plus de 600 victimes de violations des droits de l’homme commises entre 1956 et 1999. Les détails.
Pour s’adapter à la nouvelle réglementation américaine, les autorités chérifiennes ont restructuré leurs réseaux de lobbying dans la capitale fédérale. Avec un double objectif : plaider leur cause dans le dossier du Sahara et promouvoir leur rôle régional.
Alors que les pêcheurs européens font leur retour dans les eaux marocaines et que les effets du plan Halieutis commencent à se faire sentir, l’Office national des pêches communique des chiffres en hausse pour le premier semestre qui s’achève.
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rendu mercredi 31 juillet une « décision partielle » sur le choix de la CAF de faire rejouer la finale retour de Ligue des champions entre le Wydad Casablanca et l’Espérance sportive de Tunis (EST) : il a estimé que le comité exécutif de l’instance n’avait pas le pouvoir de le faire et appelé les « organes compétents » de cette dernière à se prononcer.
Après l’inauguration à la fin de juin de l’extension du port marocain Tanger Med, le royaume entend dépasser ses grands rivaux d’Europe du Sud. Rachid Houari, directeur central du complexe portuaire, revient sur les ambitions de la plateforme.
Situé à 12 kilomètres de Tanger Med, mais de l’autre côté du détroit de Gibraltar, le port d’Algésiras a bien l’intention de tenir tête à son rival marocain.
Le différend entre le groupe de BTP italien Impresa Pizzarotti & C. S.p.A. et le Premier ministre marocain porte sur les coûts d’un tunnel qui relie un quartier historique de Rabat et la corniche. Il se réglera devant un tribunal arbitral à Washington faute d’entente amiable.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude. Quels sont les principaux domaines concernés ? Éléments de réponse.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? Concernant le Sahara, le plan d’autonomie présenté par le royaume a marqué des points au sein de l’UA, ainsi que sur la scène internationale. Et Rabat tend désormais la main à son voisin.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? L’exemple des inégalités territoriales.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? Accès aux soins, aide aux plus démunis, réforme de l’enseignement… Malgré les efforts consentis depuis le milieu des années 2000, le royaume a encore du pain sur la planche.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? L’exemple de la représentativité politique.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? L’exemple du registre social unique.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? L’exemple de l’eau.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? Les filières automobile et aéronautique restent les principales locomotives du secteur secondaire. Mais le royaume est loin d’avoir exploité tout son potentiel.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? L’exemple du hub financier de Casablanca.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? Le royaume et ses entreprises sont notamment impliqués dans le financement et la réalisation de projets structurants majeurs pour le continent.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? L’exemple de l’OCP.
Ces deux nouveaux sites, bientôt en service, renforcent la présence de Ciments du Maroc sur le territoire. Avec cette cession, Anouar Invest quitte le secteur des matériaux de construction.
Très attendu, le 20e discours du Trône du roi Mohammed VI, lundi 29 juillet, engage le Maroc dans « une nouvelle étape ». En trame de fond, un remaniement ministériel et d’importantes nominations à la rentrée pour piloter entre autres un nouveau modèle de développement. Jeune Afrique vous résume les grandes annonces.
Les deux Néerlandais auteurs d’une fusillade survenue en novembre 2017 à Marrakech ont été condamnés à mort. Il s’agit des quatrième et cinquième sentences capitales prononcées en l’espace de dix jours au Maroc, alors qu’un moratoire de fait y est observé depuis 1993.
L’activité en dehors des frontières du royaume connaît une décélération générale d’après un récent rapport de la Banque centrale marocaine. En cause : la conjecture dans certains pays et la réglementation internationale qui modifie l’évaluation des résultats.
Qui aurait pu croire que, le 30 janvier 2017, le Maroc réintégrerait l’Union africaine (UA), lui qui l’avait quittée volontairement trente-deux ans plus tôt ? Au-delà de sa dimension symbolique, ce retour témoigne de la projection croissante du royaume au sein du continent ces dernières années.
Les changements sont tangibles dans de nombreux domaines depuis l’accession au trône de Mohammed VI, en juillet 1999. Le pays c’est imposé comme un pionnier africain, et même mondial, en matière de développement durable. Ce qui lui a valu, notamment, d’accueillir la COP22 en 2016.