L’activité en dehors des frontières du royaume connaît une décélération générale d’après un récent rapport de la Banque centrale marocaine. En cause : la conjecture dans certains pays et la réglementation internationale qui modifie l’évaluation des résultats.
Qui aurait pu croire que, le 30 janvier 2017, le Maroc réintégrerait l’Union africaine (UA), lui qui l’avait quittée volontairement trente-deux ans plus tôt ? Au-delà de sa dimension symbolique, ce retour témoigne de la projection croissante du royaume au sein du continent ces dernières années.
Les changements sont tangibles dans de nombreux domaines depuis l’accession au trône de Mohammed VI, en juillet 1999. Le pays c’est imposé comme un pionnier africain, et même mondial, en matière de développement durable. Ce qui lui a valu, notamment, d’accueillir la COP22 en 2016.
Les changements sont tangibles dans de nombreux domaines depuis l’accession au trône de Mohammed VI, en juillet 1999. Transports, quartiers d’affaires, espaces publics, loisirs… Du nord au sud, les grandes agglomérations du royaume ont toutes bénéficié de programmes d’aménagement urbain qui les ont considérablement modernisées.
Les changements sont tangibles dans de nombreux domaines depuis l’accession au trône de Mohammed VI, en juillet 1999. Avec pour maîtres mots la modération et la tolérance, le royaume a façonné un islam du juste milieu, « à la marocaine », qui fait aujourd’hui figure de référence.
Évolutions sociétales, réformes politiques, aménagement territorial, rayonnement diplomatique… Les changements sont tangibles dans de nombreux domaines depuis l’accession au trône de Mohammed VI, en juillet 1999. Bilan d’étape non exhaustif.
Leader mondial du handling dans les aéroports, Swissport vient de décrocher le renouvellement de sa concession de quinze terminaux marocains pour les sept prochaines années. Gildas Le Douarin, vice-président Afrique du Nord et francophone, décrypte la stratégie dans le royaume.
Le désormais ex-sélectionneur de l’équipe nationale du Maroc revient sur son passage dans le royaume chérifien et évoque son avenir, dont il assure qu’il s’écrira probablement en Asie à court terme, tout en promettant un retour en Afrique à plus longue échéance.
Un programme d’investissements de 4,7 milliards d’euros a été approuvé pour l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (Onee). Parmi les objectifs : sécuriser l’approvisionnement en électricité et en eau potable et poursuivre les projets pour dépasser l’objectif national en terme d’énergies renouvelables dans le mix énergétique.
Depuis son intronisation, le 30 juillet 1999, à son discours sur l’urgence sociale prononcé à Al Hoceima, le 29 juillet 2018, en passant par le retour à l’Union africaine et la demande d’adhésion du Maroc à la Cedeao, Jeune Afrique vous résume en huit dates clés les vingt premières années de règne du roi Mohammed VI.
Il y a vingt ans, le Maroc changeait d’ère – ou changeait d’air – et, aussitôt, les Cassandre s’abattirent sur nous comme la misère sur le pauvre monde ; nous avions pourtant assez de problèmes comme ça…
L’athlète marocain Hicham El Guerrouj, multiple champion olympique et du monde sur 1 500 m et 5 000 m, est très actif dans le monde des affaires et de la politique depuis sa retraite sportive. Candidat à la présidence de la Fédération royale marocaine d’athlétisme, il a été battu lundi 22 juillet par le sortant Abdeslam Ahizoune.
Vingt ans après l’intronisation de Mohammed VI, le sociologue Mohamed Tozy explique comment le souverain, par la perpétuation d’un art de gouverner séculaire, a fait du royaume un modèle si singulier en Afrique et dans le monde arabe.
La moindre des choses, dira-t-on, est qu’en deux décennies un pays progresse. La moindre des choses est aussi de le reconnaître, ce qui n’est pas toujours le cas en ce qui concerne le Maroc. Pourtant, l’évidence s’impose : de 1999 à 2019, le royaume de Mohammed VI s’est progressivement et irrémédiablement transformé.
La victoire de l’Algérie a été largement célébrée par les Marocains, donnant lieu à des scènes de fraternisation inédites dans le nord du pays. Des violences ont cependant éclaté dans le Sud.
De nouveau désigné président du directoire après une carrière de dix-huit ans au sein du distributeur de technologie, ce Marocain de 53 ans a travaillé huit ans chez Microsoft en tant que directeur marketing régional. Diplômé de HEC Montréal, il siège également au conseil d’administration de Mutandis.
Les 16 et 18 juillet, deux articles publiés sur le site de l’hebdomadaire people français Gala, reprenant une série d’« informations » diffusées les jours précédents sur le portail Afrik.com, ont suscité l’émoi à Rabat.
Ébranlé par les démissions successives, le président de la CGEM, Salaheddine Mezouar, veut éteindre les polémiques mais dit s’attendre à d’autres départs. Depuis son élection en 2018 à la tête de l’organisation patronale marocaine, les tensions n’ont pas manqué.
Serpent de mer depuis 1962 au Maroc, la loi relative au droit de grève n’a jamais vu le jour. Avec le nouveau pacte social, cet épineux dossier est à nouveau sur la table.
Le tribunal antiterroriste de Salé a condamné jeudi à la peine de mort trois hommes pour l’assassinat de deux touristes scandinaves, décapitées en décembre dans les environs de Marrakech, au nom du groupe État islamique (Daesh).
Ahmed Faras, l’un des plus grands joueurs de l’histoire du football marocain, a accepté de revenir sur le titre obtenu par les Lions de l’Atlas, à la CAN 1976, en Éthiopie, face à la Guinée.