Difficile de s’envoler pour le Maghreb ces derniers jours… Après la Royal Air Maroc, c’est au tour d’Air Algérie de faire face aux revendications de ses employés. En Tunisie, l’Office de l’aviation civile et des aéroports menaçait elle aussi d’une grève générale, avant de se raviser au dernier moment.
Bank Al Maghrib, la banque centrale marocaine, vient de publier son rapport annuel sur la supervision bancaire, qui constitue une véritable cartographie du secteur. Décryptage en 7 points.
Dans son discours prononcé dimanche à l’occasion de la fête du Trône, le roi du Maroc a insisté sur la nécessité des réformes sociales et d’un cadre favorisant l’investissement, se montrant critique à l’égard de ce qu’il a qualifié d' »anomalies » administratives. Sans nommer le Hirak, le mouvement de colère qui a agité le Rif, il a également lancé un appel à la stabilité.
C’est un réseau d’immigration clandestine « haut de gamme » vers l’Europe que les limiers de la DGST marocaine, que dirige Abdellatif Hammouchi, ont démantelé avec l’arrestation, le 18 juillet à Casablanca, à Mohammedia et à Benslimane, de 14 personnes, dont un Franco-Algérien.
Après deux ans et demi aux commandes de la Royal Air Maroc (RAM), le dirigeant connaît son premier bras de fer avec le redoutable syndicat des pilotes de ligne. Une sérieuse crise sociale qui le met à l’épreuve.
Le roi Mohammed VI a longuement évoqué dans un discours télévisé prononcé dimanche soir la « question sociale » au Maroc, exhortant le gouvernement à adopter des « mesures d’urgence », notamment en matière de santé et d’éducation.
La Fondation nationale des musées marocains a reçu un guerrier masaï du célèbre artiste sénégalais Ousmane Sow. Ce dernier est désormais visible sur l’une des principales artères de la capitale.
Une production céréalière en hausse de 7,3 % et des rendements qui bondissent de 27 % : lors de sa dernière sortie médiatique, le ministre marocain de l’Agriculture s’est montré enchanté des résultats de la campagne agricole 2017-2018.
Après sept jours de tensions sociales entre la RAM et ses pilotes, plus de 65 vols ont été annulés pour plus de 11 000 billets à rembourser. Un nouveau round de négociations a été enclenché.
Depuis plus de dix ans, les soulaliyates se battent pour obtenir l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’indemnisation lors de transactions foncières. Pour la première fois, certaines ont reçu des lots de terrain après la cession de terres collectives.
Un nouveau think tank marocain vient de voir le jour : le Cercle des patriotes. À sa tête, des proches du ministre de l’Agriculture et président du Rassemblement national des indépendants (RNI), le milliardaire Aziz Akhannouch. Des meneurs qui laissent peser le doute sur l’indépendance de ce centre de réflexions.
Le rapport du département d’État américain consacré au climat de l’investissement dans le monde passe cette année en revue les économies de la RDC, de la Guinée, de l’Algérie et du Maroc.
Des fonctionnaires venus du Maroc sont actuellement en mission à Paris, pour identifier les mineurs marocains qui errent dans les rues du 18e arrondissement depuis deux ans.
L’Union européenne et le Maroc ont paraphé ce mardi un nouvel accord de pêche valable pour les quatre prochaines années, qui inclut explicitement les eaux adjacentes au Sahara occidental.
Le roi du Maroc est arrivé lundi dans la soirée à Al Hoceima, à bord d’un bateau en provenance de M’diq où le souverain passe une partie de ses vacances. C’est la première visite de Mohammed VI dans la région depuis le mouvement de contestation social qui y a éclaté en octobre 2016.
Durant la séance mensuelle relative à la politique générale devant la Chambre des représentants, Saâdeddine El Othmani, le chef de l’exécutif, a balayé d’un revers de la main l’existence de conflits au sein de son équipe.
Le gouvernement allemand a validé un projet de loi visant à classer la Tunisie, le Maroc et l’Algérie comme « pays sûrs ». Si le texte est adopté par le Parlement, les ressortissants de ces pays ne seront donc plus considérés comme des réfugiés par Berlin.
Le mouvement islamiste Al Adl Wal Ihsane perd de sa force de mobilisation. La dernière marche, le 15 juillet, en soutien aux détenus du Rif, en a fait la démonstration.
Dépenses « irrationnelles et injustifiées », situation budgétaire « instable et précaire », manque de coordination avec le ministère de tutelle… Après la parution d’un rapport parlementaire sur la gestion de l’ONMT, son nouveau patron, Adel El Fakir se trouve confronté à sa première crise.
Dix vols de la Royal Air Maroc (RAM) ont été annulés vendredi et d’autres pourraient connaître des perturbations, a annoncé la compagnie, en proie à de vives tensions sociales avec ses pilotes.
En cours de rénovation à l’initiative du conseiller royal André Azoulay, la synagogue marocaine de Slat Attia, à Essaouira, abritera bientôt un centre de recherches et un musée.
Une quinzaine de personnes, soupçonnées d’avoir mis en place un réseau délivrant de faux passeports et des certificats de résidence à des candidats à l’immigration illégale en Europe, ont été arrêtées au Maroc, ont annoncé jeudi les autorités locales.
Après avoir engagé 100 millions de dirhams (9 millions d’euros) dans 17 start-up sur les huit dernières années, Maroc Numeric Fund double la mise pour sa deuxième opération.
Sa maison est sous scellés depuis dix ans. « Al oustad » (« le professeur »), qui dirige la puissante association islamiste Al Adl Wal Ihsane (« Justice et Bienfaisance »), est l’un des premiers opposants du Maroc. Il est le « secrétaire général » d’une Jamaâ qui n’a connu qu’un seul guide (« mourchid »), son fondateur, Cheikh Yassine, décédé en 2012.