L’armée israélienne a reconnu le 3 avril une « grave erreur » après la frappe qui a tué sept collaborateurs de l’ONG humanitaire World Central Kitchen dans la bande de Gaza, un drame qui suscite la consternation internationale.
Un texte voté le 1er avril au Parlement israélien permet d’empêcher la diffusion de médias étrangers portant atteinte à la sécurité de l’État. L’Union européenne et les États-Unis ont fait part de leur préoccupation.
Onze personnes ont été tuées dans le raid israélien sur un bâtiment diplomatique iranien en Syrie. Tous étaient des combattants selon une ONG. Téhéran et ses alliés, dont la Russie, appellent à une réaction internationale.
Frappes israéliennes dans le Sud, difficultés à acheminer de l’aide, système de santé anéanti… Les pressions internationales en faveur d’un cessez-le-feu se font plus insistantes.
En dépit de l’adoption lundi de la première résolution des Nations unies pour un « cessez-le-feu immédiat » dans le territoire palestinien, Israël poursuit son offensive meurtrière.
Le 24 mars, les autorités israéliennes ont fait savoir à l’Unrwa, l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens, que ses convois ne pourraient plus faire parvenir des vivres aux Gazaouis dans le nord de l’enclave.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a qualifié l’ONU d’« organisation anti-israélienne », après la visite en bordure de la bande de Gaza du secrétaire général António Guterres, qui a appelé à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat ».
Antony Blinken s’est entretenu avec le prince héritier Mohammed Ben Salman pour évoquer le conflit à Gaza, mais aussi les relations bilatérales entre les États-Unis et le royaume.
Pour la première fois, les États-Unis ont présenté un projet de résolution au Conseil de sécurité de l’ONU sur un « cessez-le-feu immédiat lié à la libération des otages » retenus à Gaza depuis le début de la guerre.
Au-delà des questions de migration, l’accord signé au Caire avec l’Union européenne prévoit 1,8 milliard d’investissements et 400 millions d’aide pour des projets bilatéraux.
L’armée israélienne a annoncé lundi 18 mars mener une opération contre l’hôpital Al-Shifa, le plus grand de la bande de Gaza, où se trouvent « des dizaines de milliers » de déplacés, selon le Hamas.
Le président palestinien a choisi l’économiste Mohammad Mustafa pour former un nouveau gouvernement, alors que l’Autorité palestinienne doit préparer l’après-guerre à Gaza.
Face à l’insuffisance de l’aide arrivant par voie terrestre, la communauté internationale cherche à diversifier les voies d’acheminement via des largages aériens, ou encore avec ce projet de corridor maritime.
Les Gazaouis se sont rassemblés le 11 mars pour la première rupture quotidienne du jeûne en ce début de ramadan marqué par la menace d’une famine et les raids aériens.
L’armée israélienne a de nouveau bombardé Gaza dimanche 10 mars, faisant des dizaines de morts en pleine mobilisation internationale pour envoyer de l’aide à la population civile assiégée et menacée de famine.
Dans son discours sur l’état de l’Union, le président américain a souligné que l’aide « ne peut être une considération secondaire ni une monnaie d’échange ».
La délégation du Hamas a quitté Le Caire où se déroulent les négociations, estimant que « les réponses initiales » fournies par Israël « ne répondent pas à ses exigences ».
Moins connue que la Cour pénale internationale, la Cour internationale de justice a fait les grands titres en se saisissant de questions liées aux crimes commis à Gaza. Quels sont les réels pouvoirs de ces instances ?
Les médiateurs égyptiens, américains et qataris tentent d’arracher un compromis aux deux camps afin d’obtenir un accord de trêve avant le début, le 10 ou 11 mars, du ramadan.
Des négociations ont repris pour obtenir une trêve entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, où les bombardements israéliens meurtriers se poursuivent dans le territoire palestinien menacé de famine.
Un nouveau bilan de 30 000 morts dans la bande de Gaza a été annoncé ce 29 février par le ministre de la Santé du Hamas. Une trêve est toujours en discussion pour le début du ramadan.
L’émir du Qatar est à Paris alors que Benyamin Netanyahou confirme une prochaine opération terrestre à Rafah. À Ramallah, le président palestinien a accepté la démission de son gouvernement.
Ces derniers mois, de nombreux Palestiniens ont critiqué le président de l’Autorité palestinienne pour son « impuissance » face aux raids israéliens dans la bande de Gaza.
Des centaines de personnes, poussées par la faim, fuient le nord de la bande de Gaza assiégée ce dimanche 25 février, alors que le cabinet de guerre israélien a donné son aval à la poursuite des discussions sur une trêve avec le Hamas palestinien selon des médias locaux.
Déradicalisation, démantèlement de l’Unrwa et gestion par des fonctionnaires civils : les objectifs du Premier ministre israélien sont en contradiction totale avec les déclarations de la communauté internationale.
Les médiateurs internationaux continuent de travailler sur une trêve pour la libération des otages, tandis que l’aide humanitaire reste bloquée à la frontière fermée de Rafah.