Selon un enregistrement obtenu par RFI, les deux experts de l’ONU assassinés il y a six mois en RDC auraient été induits en erreur la veille de leur mort par des agents des services de renseignement congolais. Le gouvernement estime que ces éléments auraient dû être mis à la disposition de la justice.
Plus de 24 000 cas suspects ont été recensés dans tout le pays, et plus de 500 personnes sont mortes depuis le début de l’année. Face à l’ampleur inédite de l’épidémie de choléra en RD Congo, dont la propagation s’accélère, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé samedi avoir enclenché un plan d’urgence pour venir en soutien du gouvernement.
Treize personnes ont été tuées et 64 blessées dimanche lorsqu’un bus de transport en commun s’est renversé sur une route du Bandundu, dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo, selon les sources locales.
Le Dr Denis Mukwege a participé, le 1er septembre à Paris, à la première édition du Global Positive Forum, manifestation parrainée par l’économiste et écrivain français Jacques Attali.
C’est aujourd’hui que Pierre Kwenders dévoile Makanda, son nouvel album. Avec cet opus de 11 titres, le chanteur canadien d’origine congolaise poursuit sa quête permanente d’un « son qui servirait de pont entre les mélodies africaines et celles d’ailleurs ». Interview.
Pendant que se poursuivent d’interminables tractations entre sa famille et le régime de Kinshasa, la dépouille de l’opposant historique attend à Bruxelles, depuis sept mois, son rapatriement sur la terre de ses ancêtres.
Au début de février, lorsque Alain Koninckx a été appelé à la clinique Ste-Élisabeth, à Bruxelles, il était loin de se douter de ce qui l’y attendait. Cet embaumeur belge est spécialisé dans les soins préalables à des rapatriements, le plus souvent vers l’Afrique – et en particulier vers la RD Congo.
Cent quinze prisonniers se sont évadés dimanche 3 septembre de la prison de Kabinda, dans la province isolée de Lomami. Jeune Afrique a contacté le directeur de l’établissement pour en savoir plus sur cette évasion dont l’ampleur ne manque pas de surprendre.
Vingt-heures après ses excuses accompagnées de justifications au sujet de sa prétendue « République des métis » en RD Congo, Barnabé Kikaya Bin Karubi, conseiller diplomatique du chef de l’État congolais, demeure au centre de la polémique.
Au lendemain du match nul concédé à Kinshasa face à la Tunisie (2-2) qui compromet les chances de qualifications des Léopards pour la Coupe du monde 2018, Florent Ibenge est longuement revenu sur cette déception. Le sélectionneur de la RD Congo veut malgré tout encore y croire.
En République démocratique du Congo, les médecins ont repris le travail mercredi 6 septembre, après un long mouvement de grève destiné à exiger l’amélioration de leurs conditions salariales.
De retour à Kinshasa, le leader du Rassemblement a appelé mardi à « l’unité » de toutes les forces anti-Kabila afin de pousser l’actuel président à abandonner le pouvoir d’ici à la fin 2017.
Pris dans une polémique après ses propos controversés sur une prétendue « République des métis » qui regrouperait des opposants au régime de Kinshasa, Barnabé Kikaya Bin Karubi s’est confié ce mardi à Jeune Afrique. Le conseiller diplomatique du président de la RD Congo s’excuse, mais assume tout.
Le recensement des électeurs dans les deux provinces du Kasaï n’a pas commencé ce lundi comme l’avaient annoncé les autorités, selon plusieurs sources consultées par l’AFP.
La quatrième journée des qualifications pour la Coupe du Monde 2018 pourrait clarifier la situation dans plusieurs groupes. Le Cameroun, l’Algérie et même le Ghana sont près de la porte, le Nigeria pourrait valider sa qualification, la Côte d’Ivoire peut s’ en rapprocher et à Kinshsaha, la RDC va tenter de revenir à la hauteur de la Tunisie. Le point avec Michel Dussuyer, l’ancien sélectionneur de la Guinée et de la Côte d’Ivoire.
Le retour en République démocratique du Congo du leader de l’opposition Félix Tshisekedi a suscité des tensions dimanche matin dans la capitale Kinshasa où les autorités avaient interdit un meeting de cette même opposition, a-t-on appris de sources concordantes.
Le Rassemblement de l’opposition s’est dit vendredi « offusqué » par la position de l’Union africaine qui a pris acte, la veille, de l’impossibilité d’organiser les élections cette année en RDC. Une « avancée » note-t-on du côté du camp du président Joseph Kabila.
Des stations étaient closes vendredi à Kinshasa et plusieurs sociétés distributrices alertent le Premier ministre du « risque d’une forte perturbation de son approvisionnement en produits pétroliers ».
Alors que les membres de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) sont réunis à Kananga pour évaluer le processus d’enrôlement des électeurs, achevé selon elle à près de 98 %, la polémique enfle à propos des chiffres publiés dans certaines provinces.
Un « très grave incident ». C’est en ces termes que la Monusco a qualifié mardi 29 août l’intrusion la veille de l’armée congolaise dans ses installations à Kananga, dans le centre de la République démocratique du Congo, alors qu’ils tentaient d’y arrêter un journaliste venu s’y réfugier. Des affirmations contestées par Kinshasa.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a organisé le 26 et le 29 août les deux tours de l’élection des gouverneurs dans huit provinces de la RDC où les postes étaient vacants.
Le Parti lumumbiste unifié (Palu) du patriarche Antoine Gizenga, 91 ans, a menacé dimanche de remettre en cause son alliance avec la Majorité présidentielle (MP), coalition au pouvoir en RDC. En cause : la défaite surprise de son candidat à l’issue de l’élection des gouverneurs dans son fief de Kwilu, dans l’ouest du pays.
Deux soldats et trois miliciens ont été tués depuis le samedi 26 août dans des combats entre l’armée congolaise et des miliciens pour le contrôle d’une localité du Nord-Kivu.
La République démocratique du Congo a décrété lundi un deuil national de deux jours à la mémoire des victimes d’un glissement de terrain meurtrier, douze jours après le drame qui avait fait 140 morts à Tara, en Ituri, dans le nord-est du pays.
La ligue des jeunes du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), formation politique du président congolais Joseph Kabila, a répondu favorablement le weekend dernier à une invitation des Imbonerakure, mouvement de jeunesse burundais affilié au CNDD-FDD, le parti au pouvoir. Ces jeunes sont soupçonnés d’être une milice supplétive des forces armées burundaises. Un affichage assumé qui suscite la controverse à Kinshasa.
Une délégation du gouvernement congolais est attendue ce jeudi à Tara, dans le nord-est de la RDC, où un glissement de terrain a fait une « quarantaine de morts et au moins 200 disparus » le 16 août dernier, selon le nouveau bilan provisoire officiel.
Le coordonnateur du mouvement citoyen Filimbi détaille, dans une interview à Jeune Afrique, la nouvelle stratégie de la société civile congolaise face au président Joseph Kabila. Au passage, il répond aux critiques que le lancement de ce manifeste a suscitées.
Le glissement de terrain ayant eu lieu mercredi 16 août en RDC dans la province de l’Ituri a fait au moins 140 morts, selon un nouveau bilan annoncé lundi par le vice-gouverneur de la province.
À l’issue d’une la réunion de la SADC (la communauté de développement d’Afrique australe) organisée à Pretoria, le président sud-africain Jacob Zuma a approuvé, dimanche, la nomination d’un envoyé spécial en République démocratique du Congo (RDC) qui aura pour mission « suivre le processus électoral ».