Le parti congolais du travail (PCT) de Denis Sassou Nguesso a remporté 111 sièges sur les 151 de l’Assemblée nationale, à l’issue des deux tours des élections législatives.
Le chef du gouvernement congolais s’est rendu à la fin de juillet 72 heures en Côte d’Ivoire, à l’invitation de son homologue ivoirien Patrick Achi. Un séjour au pas de course et tourné essentiellement vers l’économie.
Chaque dimanche de l’été, Jeune Afrique invite écrivains et artistes à partager leurs coups de cœur musicaux. Cette semaine, l’auteur de « D’amour et de plancton », son 7e roman, à paraître en octobre, nous fait entrer dans une discothèque éclectique, héritée de son père et de sa construction adolescente entre Brazzaville, l’Ile-de-France et Berlin.
Après des années d’atermoiements, le projet transfrontalier semble enfin trouver grâce aux yeux des responsables politiques et des partenaires économiques, attirés par une forte rentabilité.
Le Parti congolais du travail (PCT) sort grand gagnant du premier tour des législatives, en renforçant sa majorité. Le second tour est prévu pour le 31 juillet.
Le Parti congolais du travail, au pouvoir, a remporté au premier tour des élections 103 des 151 sièges à l’Assemblée nationale, ses alliés, 13, et l’opposition, 10. Des candidats du PCT sont encore en ballotage pour le second tour, prévu le 24 juillet.
Le premier tour des élections législatives doit se tenir ce dimanche 10 juillet au Congo. Et le camp présidentiel compte bien conserver la majorité absolue acquise en 2017.
Le spécialiste des infrastructures industrielles vient de signer un accord à Brazzaville pour développer, d’ici à 2025, deux zones économiques spéciales. La première sera à Pointe-Noire, la seconde à Ouesso, au Nord.
Après plus de treize années passées sous la présidence de Denis Sassou Nguesso et le règne sans partage du tout-puissant PCT, le pays découvrait le multipartisme et changeait de chef de l’État. Une ouverture qui fut aussi brève que douloureuse.
« La relance économique par la diversification et le travail acharné », tel était le slogan des célébrations de la fête nationale en 2019. Une présidentielle, une crise sanitaire, un plan développement plus tard, et alors que la hausse des cours du brut laisse espérer des lendemains meilleurs, l’injonction demeure plus que jamais d’actualité.
Après des années de contreperformances, le port fluvial de la capitale congolaise retrouve une activité soutenue, un bilan positif, et espère doper son trafic. À condition de développer les connexions avec Kinshasa.
Grand favori des élections législatives en juillet, le parti de Denis Sassou Nguesso ambitionne de conserver la très confortable majorité acquise en 2017. Car tout autre résultat pourrait être considéré comme un échec…
À l’occasion des cent ans de la capitale économique congolaise, le 11 mai, Jeune Afrique revient sur l’une de ses particularités : elle semble vouloir ignorer l’Atlantique, qui est pourtant à l’origine de sa naissance et de presque toutes ses ressources. Paradoxal ?
Le 11 mai 2022, la capitale économique congolaise célèbre le premier siècle de sa fondation. L’occasion de (re)découvrir la cosmopolite et atypique métropole.
Principal port en eau profonde du golfe de Guinée, la capitale économique congolaise s’impose comme une escale incontournable pour desservir le cœur de l’Afrique. Un rôle bientôt renforcé par de nouveaux aménagements.
À l’approche des législatives, le chef du gouvernement dresse le bilan de sa première année passée à la primature. Et détaille les actions qu’il devra rapidement engager pour remettre le pays sur les rails du développement.
À l’approche des législatives, les partis sont empêtrés dans des querelles internes. Jérémy Lissouba pourrait-il fragiliser le leadership de Pascal Tsaty Mabiala au sein de l’Upads ? Et qui pour succéder à Guy-Brice Parfait Kolélas, décédé l’an dernier, à la tête de l’UDH-Yuki ?
En quête accélérée de diversification de ses sources d’approvisionnement en gaz depuis le début du conflit russo-ukrainien, l’Italie signe un nouvel accord avec le Congo pour la production et l’exploitation de trois millions de tonnes de GNL par an.
Les négociations avec le FMI et les traders ont enfin abouti, les cours du baril sont au plus haut, la croissance devrait redevenir positive. Mais le pays doit désormais répondre à des exigences de transparence très strictes et démontrer que sa feuille de route est réaliste.
Selon les informations de Jeune Afrique, le souverain pontife se rendra au Congo en 2023. Les contours de ce déplacement ont été finalisés au début d’avril au Vatican.
Selon l’agence de notation Fitch Ratings, les ressources en devises étrangères du pays devraient tripler cette année, portées notamment par la hausse des revenus pétroliers. La dette du Congo présente toutefois un risque de défaut.
Nommé en mai dernier et réputé proche du couple Sassou Nguesso, il est, à tout juste 57 ans, le premier chef du gouvernement congolais né après l’indépendance.
Face à l’offensive russe, ce quarantenaire a quitté la capitale ukrainienne avec sa femme et sa fille. Sur la route vers la Pologne, il a rencontré le racisme, la peur et le froid. Il s’est confié à Jeune Afrique.
Si le Congo poursuit la mise en œuvre des réformes recommandées par l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE), l’identification des « bénéficiaires effectifs » reste un chantier pour de nombreuses capitales africaines.
Premier réservoir de carbone de la planète, la forêt du Bassin du Congo est vitale dans la lutte contre le dérèglement climatique. Elle est aussi attaquée de toutes parts et, malgré l’urgence, les financements manquent pour mener les actions nécessaires à sa sauvegarde. Les chefs d’État de la région sont-ils en capacité d’agir ? La réponse en infographies.
Brazzaville, désormais soutenue par le FMI, espère convaincre ses partenaires internationaux d’accompagner son Plan national de développement 2022-2026, qui prévoit 8 789 milliards de francs CFA d’investissements (13,4 milliards d’euros).