Le patron des services de renseignement marocains était à Paris du 26 au 28 juin. Si les rencontres ont porté, notamment, sur la collaboration sécuritaire entre les deux pays à quelques jours de l’ouverture des Jeux olympiques, elles témoignent aussi du net réchauffement des relations entre Rabat et Paris.
Quels dossiers urgents ont évoqué les responsables sécuritaires marocains et qataris lors de leur rencontre du 21 avril ? Outre les classiques problématiques communes, on évoque le sort des otages du Hamas et la situation au Sahel. Deux sujets sur lesquels Doha peut être un intermédiaire précieux.
Chef présumé de Yoda, un puissant réseau de trafic de drogue dont les affrontements avec la DZ Mafia ensanglantent Marseille depuis plusieurs mois, Félix Bingui a été arrêté à Casablanca ce 8 mars par la police marocaine (BNPJ). Il va être extradé vers la France.
Le choix de Stéphane Séjourné – jugé hostile au Maroc par Rabat – pour diriger la diplomatie française va-t-il enrayer le laborieux processus de réchauffement entre les deux pays ?
Alors qu’il était montré du doigt dans l’affaire Pegasus qui a nourri la crise entre le Maroc et la France, le directeur de la DGSN-DGST vient d’être sollicité par le chef de la police française pour apporter son expertise à la sécurisation des Jeux olympiques de Paris 2024.
Marrakech a été choisie pour accueillir, en 2025, la 93e session de l’assemblée générale de l’Organisation internationale de police criminelle. Un signe de la bonne coopération entre le royaume – qui vient d’organiser à Tanger la Conférence des dirigeants arabes de la police et de la sécurité – et l’institution sécuritaire.
Frappé, le 8 septembre, par un puissant tremblement de terre qui a fait 3 000 morts et des milliers de blessés, le royaume a déployé, dès les premières heures, d’importants moyens. Voici les piliers de la gestion de la crise.
À l’occasion de la visite du leader de La France insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon, au Maroc, Jeune Afrique revient sur l’histoire des relations entre les gauches françaises et le royaume chérifien.
Libéré le 7 août après huit ans de captivité dans le Sahel, l’ancien officier de sécurité roumain est enfin rentré chez lui. Bucarest a remercié les services de Rabat pour leur « soutien important » dans le processus.
La tentative de convocation d’Abdellatif Hammouchi, chef du renseignement marocain, par la police française, en 2014, est un épisode qui a durablement sapé la confiance entre Rabat et Paris.
De l’affaire Ben Barka au récent coup de froid diplomatique, l’histoire des relations entre Rabat et Paris est émaillée de brouilles, évoluant parfois au gré des liens qu’entretenaient les monarques marocains et les présidents français.
Depuis son rapprochement avec les États-Unis et la normalisation de ses relations avec Israël, le royaume a rejoint la liste des cibles potentielles des hackers iraniens. Et vient de participer, avec les autres pays signataires des Accords d’Abraham, à une réunion de mise à niveau concertée de leur moyens de cyberdéfense.
La détention au Mali de 49 soldats ivoiriens fut le point d’orgue d’une crise inédite entre deux pays intimement liés mais dont les dirigeants actuels ne s’apprécient guère. Récit en trois épisodes d’un mauvais feuilleton qui aura tenu en haleine la sous-région pendant six mois.
À la tête d’une importante délégation, la cheffe des renseignements espagnols Esperanza Casteleiro a rencontré plusieurs acteurs clés de la sécurité marocaine, dont le patron du pôle DGST-DGSN Abdellatif Hammouchi.
Le « superflic » du royaume a procédé à trois nouvelles nominations à la tête des préfectures de police de Fès, de Tanger et d’Al Hoceima. Une évolution qui témoigne des priorités sécuritaires.
Lutte contre le terrorisme, coopération sécuritaire et le démantèlement de cellules criminelles étaient au cœur des entretiens entre le directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire et ses homologues américains, cette semaine à Washington.
À l’occasion de la Coupe du monde de football 2022 au Qatar, un accord de coopération a été signé entre le pays hôte et le Maroc, qui prévoit l’envoi de plusieurs milliers d’agents pour participer à la couverture sécuritaire de l’événement.
Cinq extrémistes ayant prêté allégeance à l’organisation État islamique ont été arrêtés ce 16 mars. Ils planifiaient de s’attaquer, entre autres, à des casernes militaires et à des bâtiments officiels.
La Direction générale de la sûreté marocaine publie ses chiffres de l’année 2021. Au menu : poursuite du démantèlement des cellules terroristes, explosion du trafic de cocaïne, ou encore hausse du chantage sexuel en ligne.
Le 14 août, le souverain marocain a adressé un message de sympathie au directeur de la Sûreté nationale, alors que des rumeurs de disgrâce étaient apparues après l’affaire Pegasus.
La capitale économique du Maroc est le théâtre d’une offensive menée par la Sûreté nationale contre l’alcool frelaté ou de contrebande. Récit d’une affaire romanesque.
La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a tenu à Tanger la troisième édition de ses journées portes ouvertes, avec quelques invités surprises.
Fort de la confiance du roi Mohammed VI, le patron de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire est en première ligne sur tous les fronts sécuritaires du royaume. Portrait d’un serviteur de l’État aussi secret qu’incontournable.
La police marocaine, engagée dans une vaste réforme pour améliorer son image et se rapprocher de citoyens parfois encore méfiants, organise du 26 au 30 septembre à Marrakech ses deuxièmes « Journées portes ouvertes ».
À partir de ce mercredi, les policiers marocains ont un nouveau costume qui permet de les identifier. Transparence et modernisation, sont les objectifs de ce changement.
De hauts responsables de la police marocaine ont été démis de leurs fonctions ou seront traduits en conseil de discipline après de « graves dysfonctionnements » et des « manquements professionnels », a-t-on appris jeudi de source officielle. Aucune précision n’a été fournie sur les faits qui leur sont reprochés.
Entre début 2015 et mi 2016, la police marocaine a présenté devant la justice quelque 820 000 personnes pour plus de 837 000 affaires, selon un communiqué diffusé auprès de quelques médias vers la fin de la semaine du 25 juillet. 95% des affaires ont pu être résolues, selon ce même rapport.
La justice française a jugé irrecevable la plainte en diffamation déposée par le Maroc contre Zakaria Moumni, champion de kick-boxing, qui a porté plainte contre le patron du contre-espionnage marocain, Abdellatif Hammouchi.