Aziz Akhannouch est un homme politique et homme d’affaires marocain, né le 16 août 1961 à Tafraout. Il est le chef du gouvernement depuis le 7 octobre 2021.
Diplômé en génie informatique avant de se lancer dans le monde des affaires, il préside le Rassemblement national des indépendants (RNI), un parti politique marocain de centre droit. Sa carrière politique a été marquée par sa participation à plusieurs gouvernements marocains.
Il a occupé le poste de ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts depuis 2007, faisant de lui l’un des membres clés du gouvernement. En tant que ministre, il a joué un rôle crucial dans le développement de l’agriculture et de la pêche, des secteurs stratégiques pour le pays.
Aziz Akhannouch est également une personnalité importante dans le secteur économique. Il est à la tête du groupe Akwa, un conglomérat d’entreprises actif dans l’énergie, la distribution, la pétrochimie et l’agriculture.
Alors que le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, entame la seconde moitié de son mandat, son ministre de l’Emploi peine à avancer sur deux chantiers majeurs : la lutte contre le chômage et la réforme du droit de grève.
Le chef du gouvernement est déterminé à défendre son bilan, que ses opposants jugent insuffisant, et peut s’appuyer sur une confortable majorité parlementaire pour appliquer son programme.
La crise s’envenime au Parti authenticité et modernité (PAM) qui a gelé l’adhésion de Salaheddine Aboulghali, membre de sa direction tripartite. Poursuites judiciaires à caractère privé, dissensions entre membres, rumeurs de remplacement… Les coulisses d’un malaise interne.
Après avoir reçu moins de flux d’investissements que quinze pays africains en 2023, le royaume redresse cette année la barre grâce à des projets stratégiques.
À l’élection partielle du 12 septembre, dans la circonscription de Rabat-Océan, un candidat de la majorité affrontera trois représentants de l’opposition. Décryptage.
En tant que numéro deux du holding royal, homme d’affaires, patron des patrons ou ministre de l’Industrie, le Marocain, fondateur de Saham Group, a côtoyé des personnalités très influentes, aussi bien dans la politique que dans le monde économique et dans l’art.
Aziz Akhannouch, le chef du gouvernement marocain, a annoncé que l’État engageait une vaste opération de réhabilitation de ses monuments historiques. Objectif : en faire des espaces vivants, intégrés à la cité moderne, et non des musées à ciel ouvert, comme le concevait la France à l’époque du protectorat.
Après avoir cédé Somepi à son concurrent Afriquia en 2005, puis ses marques Wash et Ice Cola à Adil Douiri et à Said Alj, l’homme d’affaires Mustapha Amhal affirme « vouloir passer à autre chose ». Pour « tourner la page » définitivement, le fils de Haj Mohamed Amhal donne pour la première fois sa version sur l’une des opérations économiques les plus emblématiques de ces vingt dernières années.
Sur décision des conseils de discipline, quelques enseignants grévistes suspendus réintégrent les salles de classe. Une annonce qui conforte l’idée d’un retour à la normale pour les élèves, à l’approche de la fin d’une année scolaire plus que perturbée, avec des milliers d’heures de temps scolaire perdues.
Au Maroc, la réforme du code de la famille suscite beaucoup d’attentes et de rejets et mobilise les mouvements féministes. Des groupes qui se heurtent à beaucoup de réactions d’hostilité, particulièrement violentes sur les réseaux, et ce dans les trois pays du Maghreb. Dans ce premier volet, zoom sur le Maroc et l’Algérie.
Stress hydrique, relations entre les partis de l’opposition marocaine, remaniement ministériel, grève des étudiants en médecine, question linguistique dans l’enseignement… Le patron du Mouvement populaire (MP) présente ses propositions à quelques jours de la nouvelle session du Parlement.
Appelé à constituer un « tournant pour l’économie marocaine », le « pétrole vert » est désormais au cœur de la stratégie énergétique du royaume. Plusieurs géants du secteur sont d’ores et déjà dans les starting-blocks.
Entre le Maroc et la France, les signes de rapprochement se multiplient. Mais pour que le processus avance, une clarification française sur la question du Sahara reste indispensable.
Propriété du magnat et chef du gouvernement marocain, le magazine français a connu de fortes pertes. Et l’arrivée de Mohamed Lioeddine à la direction ne semble pas avoir permis de redresser la barre.
Rien ne va plus entre la maire de Rabat et les conseillers communaux – y compris ceux de son propre parti, le RNI –, qui appellent désormais à sa démission. Le 20 février, le dépôt d’une demande de convocation d’une session extraordinaire du Conseil de la ville a donné lieu à une nouvelle échauffourée devant le bureau de la première édile.
De l’entretien avec son homologue, Aziz Akhannouch, à l’audience royale accordée par Mohammed VI, les détails de la visite officielle du président du gouvernement espagnol à Rabat en compagnie de son ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares.
Le bureau politique du parti vient d’annoncer la création d’une commission pour l’instauration d’un code déontologique. Une initiative qui va dans le sens du message royal du 17 janvier appelant à « moraliser la vie parlementaire », et qui intervient alors que plusieurs anciens membres du parti sont accusés de corruption à grande échelle.
Situation des PME, représentativité de la CGEM, nouveau modèle de développement, politique des grands chantiers… L’économiste et homme d’affaires marocain répond sans langue de bois aux questions de Jeune Afrique.
Après le chef du gouvernement marocain Aziz Akhannouch, certaines sources indiquent que le Nigérien pourrait être reçu par le roi. Un signe clair du désir de dialogue entre Rabat et Niamey, et plus largement avec les juntes au pouvoir Sahel.
Au Maroc, le parti d’Abdelilah Benkirane profite du scandale pour régler de vieux comptes avec son rival centriste et se poser en grand défenseur de la lutte contre la corruption. Le groupe parlementaire islamiste vient de déposer une proposition de loi plus sévère sur le sujet.
Écroué en décembre pour trafic de drogue, le député PAM Abdenbi Bioui est aussi un homme d’affaires prospère qui brasse des centaines de millions de dirhams grâce à des marchés publics.
Premier parti d’opposition – avec seulement 34 sièges sur 395 –, l’Union socialiste des forces populaires table sur une improbable démission forcée du gouvernement. Mais de quels leviers disposent les socialistes face à l’écrasante majorité d’Aziz Akhannouch ?
Depuis son arrivée au pouvoir en octobre 2022, la dirigeante de l’extrême droite italienne prône un « changement de paradigme » dans les relations entre l’UE et l’Afrique. C’est le sens du « plan Mattei » qu’elle présente depuis hier aux dirigeants du continent.
Après le rappel à l’ordre lancé par Mohammed VI face à la multiplication des affaires de corruption impliquant des parlementaires, la Chambre des représentants planche sur l’élaboration d’un code de déontologie qui devrait être rapidement adopté.
La filiale marocaine du géant tricolore a traversé une année difficile, avec des résultats nettement en baisse à cause d’une lourde amende infligée par le régulateur du royaume.
Coordination de leur action, dénonciation de l’inertie du gouvernement Akhannouch, révocation de deux de leurs députés, affaire du « Pablo Escobar du Sahara »… Les états-majors des deux partis de gauche ont fait bloc lors d’une réunion organisée ce mercredi 10 janvier à Rabat.
Une aide directe mensuelle sera désormais versée aux familles marocaines défavorisées. Le budget pour ce programme, qui comprend également la généralisation de la couverture sociale, est estimé à près de 2,3 milliards d’euros.
Après avoir enregistré un nombre record d’arrivées de touristes en 2023, le royaume déploie les grands moyens pour faire venir 26 millions de visiteurs à l’horizon 2030.
Il aura fallu que Mohammed VI fixe un délai pour que le gouvernement Akhannouch se penche sérieusement sur la réforme de la Moudawana, annoncée depuis son entrée en fonction.
Haut commis de l’État marocain depuis quarante-cinq ans, le gouverneur de Bank Al-Maghrib a eu à gérer les pires crises financières et économiques que le pays ait connues dans son histoire récente.