Vision, climat des affaires, financements, infrastructures et formation : tels sont les grands axes du plan de bataille destiné à concrétiser une ambition de longue date. Explications.
Plusieurs pays africains ont vu leur dette augmenter de 30 % ces dix dernières années, selon le FMI. Certains, comme le Kenya, devront faire face à des échéances de paiement en 2024, 2025 et 2026. Quelles solutions sont envisagées pour éviter les défauts ? JA fait le point.
Pour l’économiste bissau-guinéen, la zone de libre-échange continentale est l’outil clé pour relever les défis de l’Afrique, de l’essor des infrastructures à la création de richesses, en passant par la défense de sa place dans les négociations internationales.
S’il ne nie pas les difficultés politiques de la Cedeao, le professeur d’économie bissau-guinéen croit encore à son pouvoir d’attraction. Tout en déplorant l’impact de ses sanctions contre Niamey.
Avant son départ de la direction générale, André de Ruyter a, lors de la conférence annuelle Mining Indaba, délivré un diagnostic sans concession en guise de testament. Selon lui, le contexte délétère au sein d’Eskom et l’urgence de la situation énergétique imposent de boucler au plus vite de profondes réformes sectorielles.
Depuis la Turquie où il vit désormais, l’ancien président guinéen n’a pas tardé à reconstituer son carnet d’adresses. Avec qui a-t-il maintenu le contact parmi les chefs d’État, ses anciens ministres en exil ou encore les membres de son parti ?
Pas à pas, le directeur général d’Arise, dont les zones industrielles centrées sur la transformation locale ont le vent en poupe, a su bâtir un réseau multiforme.
« FMI-Afrique : cette fois, c’est différent ? » (5/5) Ils sont professeur, responsable d’institution de développement, capitaine d’industrie ou prix Nobel d’Économie… et ont une idée très précise du fonctionnement du Fonds, de son rôle, ses missions et de l’impact de ses décisions. Morceaux choisis de 2021.
« FMI-Afrique : cette fois, c’est différent ? » (3/5) Face à la crise du Covid-19, l’institution multilatérale a apporté un soutien remarqué aux pays africains, longtemps critiques à son endroit. Se pose maintenant la question de son dogmatisme fiscal et de la prise en compte de la question climatique.
À l’invitation de l’économiste Kako Nubukpo, des intellectuels, politiques et économistes vont se retrouver à Lomé, les 26, 27 et 28 mai, pour plancher sur l’avenir du franc CFA, alors que la réforme de cette monnaie patine. Voici le programme.
Premier partenaire économique de l’Afrique, l’Union européenne tente de mettre de la cohérence dans sa politique d’aide au développement sur le continent.
Conseiller à la présidence de l’Union africaine, l’économiste bissau-guinéen Carlos Lopes veut faire évoluer la relation entre le continent et l’Union européenne.
L’économiste bissau-guinéen analyse la crise sanitaire et ses conséquences à l’échelle du continent. Craignant que l’Afrique soit la grande oubliée des mesures préconisées par les institutions internationales et les grandes puissances, il salue néanmoins leur retour à un certain interventionnisme.
Démocratie, respect de la diversité, industrialisation, relations avec la Chine… Le Bissao-Guinéen analyse les défis que l’Afrique doit relever pour accélérer son développement.
Le manque d’infrastructures, le nécessaire engagement du secteur privé, les entraves encore importantes à la libre-circulation des personnes… Autant d’obstacles à dépasser pour que la zone de libre-échange continentale devienne une réalité, ont estimé des personnalités telles que Paul Kagame, Carlos Lopes ou encore Naguib Sawiris, lors de l’ouverture des débats du Africa CEO Forum.
Carlos Lopes, ancien secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique des Nations unies (CEA), livre son analyse sur l’évolution de la relation qu’entretient Paris avec le continent.
Carlos Lopes discutera en septembre du partenariat UA-UE, les dix chefs d’État africains à la cérémonie d’investiture du président Erdogan, Béatrice Le Fraper Du Hellen nommée ambassadrice de France en Libyen… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Secrétaire exécutive de la Commission économique de l’ONU pour l’Afrique, cette Camerounaise se distingue par son volontarisme en matière de lutte contre la pauvreté.
Le 12 avril, le FMI a publié ses nouvelles prévisions pour la croissance mondiale. Faut-il en tenir compte ? Posée en ces termes, la question paraît au mieux provocatrice, au pire déplacée. Mais on ne peut que constater qu’il ne faut accorder qu’une importance relative aux projections de l’institution.
Le Bissau-Guinéen Carlos Lopes, ancien secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique des Nations unies, est le Grand Invité de l’économie RFI-Jeune Afrique, samedi 7 avril 2018 sur RFI, à 12 h 10 heure de Paris, 10 h 10 TU.
Cela fait près de six mois que le Bissau-Guinéen Carlos Lopes a quitté son poste de secrétaire général adjoint de l’ONU et de secrétaire général de la commission économique pour l’Afrique des Nations Unies (CEA). Interview.
Alors que la chute des prix des matières premières a durement frappé l’Afrique, dont la croissance a fortement ralenti en 2016, l’ex-patron de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique insiste sur la nécessité d’accélérer la transformation structurelle du continent.
Après quatre ans au poste son poste de secrétaire général adjoint de l’ONU et de secrétaire général de la commission économique pour l’Afrique des Nations Unies (CEA), le Bissau-Guinéen Carlos Lopes quittera ses fonctions le 30 octobre. C’est ce qu’a annoncé l’institution dans un communiqué rendu public jeudi.
Secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique depuis 2012, Carlos Lopes a accordé un entretien à Jeune Afrique en marge du Conseil exécutif du 27e sommet de l’Union africaine (UA), réuni à Kigali les 13 et 14 juillet.
Alors que la question de la soutenabilité de la dette revient au goût du jour, Carlos Lopes, secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique, publie une analyse passionnée et originale sur les antécédents et la viabilité de l’endettement des États africains.
Le Bissau-Guinéen analyse la position du continent sur l’échiquier environnemental mondial. Entre la nécessité de faire entendre sa voix et l’immensité du chantier à venir.