L’opposition ivoirienne (hors PPA-CI) s’est de nouveau rassemblée à Bonoua, cette fois à l’appel de l’ex-première dame. Elle réclame des réformes électorales et un dialogue politique, à un an de la présidentielle.
Dans une interview à France 24, Simone Gbagbo a évoqué l’élection présidentielle d’octobre 2025 en Côte d’Ivoire et donné sa position sur une éventuelle confrontation avec son ancien époux. Ni sa candidature ni celle de Laurent Gbagbo ne sont pourtant confirmées.
L’opposant a été auditionné par la Police de lutte contre la cybercriminalité après avoir déposé plainte. Dans son viseur : des individus qui, sur les réseaux sociaux, ont affirmé qu’il cherchait à se rapprocher du pouvoir.
L’ancien ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo, qui veut peser sur la présidentielle de 2025 en Côte d’Ivoire, s’est rendu en Belgique et en Allemagne.
Les partisans de l’ancien président ivoirien réclament toujours avec insistance la levée de son inéligibilité, afin qu’il puisse concourir à la présidentielle de 2025. Mais le camp de la majorité leur renvoie la balle. Explications.
Lors de la rentrée politique de son parti, le 12 mai à Yamoussoukro, Charles Blé Goudé, toujours inéligible, a continué à entretenir un vrai faux suspense sur sa candidature à la présidentielle de 2025.
Devant des centaines de militants réunis dimanche 12 mai, l’opposant a réaffirmé qu’il faudra compter sur lui lors de la présidentielle de 2025. Mais comme son ancien mentor Laurent Gbagbo, il demeure inéligible.
Plus de treize ans après la crise post-électorale qui l’a ébranlée, la Côte d’Ivoire enregistre de belles performances économiques et est sur le point de remporter le pari de la réconciliation. Mais les dirigeants doivent encore renforcer le sentiment d’appartenance de tous les citoyens.
La rupture entre Laurent Gbagbo et son ancien allié Charles Blé Goudé semble aujourd’hui consommée. Pour Justin Koné Katinan, proche de l’ex-président ivoirien, c’est à l’ancien ministre de la Jeunesse de faire le premier pas vers celui qui fut son mentor.
Lors de la fête annuelle de son parti, le week-end dernier, l’ancien président a une nouvelle fois égratigné son ancien ministre de la Jeunesse. De quoi susciter une petite polémique – et l’incompréhension de plusieurs observateurs.
L’ancien ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo, qui a déclaré en novembre dernier vouloir peser sur la présidentielle de 2025 en Côte d’Ivoire, s’est rendu dès le 3 avril à Yaoundé, afin de se reconnecter avec ceux qui l’ont soutenu pendant son incarcération à La Haye.
Le puissant syndicat étudiant vient d’élire son nouveau secrétaire général, qui promet de pacifier un mouvement à l’histoire tumultueuse et aux pratiques décriées.
Charles Blé Goudé demande à Guillaume Soro de se rapprocher d’Alassane Ouattara, « son papa ». Comme lui affirme vouloir le faire avec le sien, Laurent Gbagbo.
Après quatre ans d’exil hors du continent, l’ex-Premier ministre ivoirien a fait une tournée remarquée chez les putschistes sahéliens, dont les relations avec Alassane Ouattara sont notoirement tendues.
L’élection présidentielle de 2025 en Côte d’Ivoire « ne s’écrira pas sans moi », a affirmé samedi Charles Blé Goudé, président du Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep).
Selon les informations de JA, l’avocat belgo-ivoirien vient renforcer l’équipe des conseils du patron du contre-espionnage camerounais, inculpé dans l’affaire de l’assassinat du journaliste Martinez Zogo.
Accusé par la justice internationale d’avoir commis des crimes contre l’humanité lors de la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire, l’ancien ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo a passé six années en détention.
Le ministre ivoirien de la Promotion de la jeunesse, porte-parole adjoint du parti présidentiel et du gouvernement, explique comment se concrétise le « plan Marshall » pour la jeunesse annoncé par Alassane Ouattara. Et décrypte les enjeux des scrutins locaux du 2 septembre prochain.
Avec des têtes d’affiche comme le rappeur Booba – qui se produisent à Abidjan devant un public de plus de 30 000 personnes –, des animations sociales et sportives simultanées, les Magic System, emmenés par A’Salfo, assurent année après année la pérennité du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo, devenu un rendez-vous incontournable.
Le Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep) ne prendra pas part aux élections locales de septembre. Une décision prise par volonté de « rester prioritairement concentré sur les actions de paix. »
De retour en Côte d’Ivoire après son acquittement par la CPI, l’ancien leader des Jeunes Patriotes continue à jouer la carte de la loyauté à l’égard de son ancien mentor… Tout en affichant ses ambitions. Interview.
En Côte d’Ivoire, de vives tensions sont apparues ces dernières semaines entre le parti de l’ancien président et les autorités. Une crispation inédite, dans un climat politique fragile et à quelques mois d’élections locales très attendues.
Le Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo a dénoncé le 10 mars une « décision de justice arbitraire » après la condamnation, la veille, de 26 de ses militants, à deux ans de prison pour « trouble à l’ordre public ».
À quelques mois des élections locales, l’alliance du FPI avec le RHDP au nom de la réconciliation nationale fait débat. L’ancien Premier ministre, lui, se défend d’avoir retourné sa veste.
Incarcérée durant plus de cinq mois, la présidente de l’organisation Alternative citoyenne ivoirienne a notamment interdiction de s’exprimer publiquement.
Lors de la dernière présidentielle, les leaders de l’opposition étaient vent debout contre la candidature d’Alassane Ouattara à un troisième mandat. Depuis, nombre de ses cadres se sont rangés derrière le chef de l’État, faisant de son parti, le RHDP, le grand favori des prochaines élections locales.
Les élections régionales et municipales se tiendront à la fin de l’année en Côte d’Ivoire. Un test grandeur nature pour les principaux partis politiques et leurs leaders, qui ont déjà tous la prochaine présidentielle en tête.
Ambitions politiques, affaires judiciaires, relations avec Laurent Gbagbo… Pour la première fois depuis son retour en Côte d’Ivoire, il y a un peu plus d’un mois, l’ancien ministre s’est longuement exprimé devant la presse.
Compagnons politiques et de détention, les deux hommes ont tout pour être liés. Mais depuis leur libération et leurs retours respectifs en Côte d’Ivoire, ils semblent plus éloignés que jamais.