Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure de la téléréalité dans les années 80. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre le président George W.Bush , il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il fait campagne sur Twitter et entre à la Maison Blanche en janvier 2017. C’est le début d’une présidence conservatrice, ponctuée de controverses très médiatiques. Quatre ans plus tard, Donald Trump échoue à se faire réélire mais, refusant de reconnaître sa défaite face à Joe Biden, il assiste à l’assaut du Capitole à Washington par certains de ses partisans. Il a déjà annoncé sa candidature pour la présidentielle de 2024 alors qu’il est rattrapé par de nombreuses affaires judiciaires, notamment au niveau fédéral pour recel de documents gouvernementaux classifiés.
Le président des Etats-Unis a reconnu mercredi Jérusalem comme capitale d’Israël. Une rupture spectaculaire avec la politique de ses prédécesseurs qui suscite une vague de réprobation et de craintes d’une possible flambée de violence.
Plusieurs dirigeants ont manifesté leur inquiétude face à l’annonce d’une déclaration potentiellement explosive de Donald Trump qui doit s’exprimer, mercredi, sur le statut de la ville de Jérusalem. Le président américain pourrait reconnaître Al Qods (« Jérusalem », en arabe) comme la capitale d’Israël.
Le roi du Maroc interpelle le président américain après que ce dernier a annoncé son intention de transférer l’ambassade des États-Unis en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem. Mohammed VI, dont les compatriotes soutiennent largement la cause palestinienne, préside aussi un puissant comité de solidarité avec la ville de Jérusalem, bras armé de l’action diplomatique marocaine dans la région.
Après de multiples procédures, la plus haute instance judiciaire américaine a finalement validé sur la forme la totalité du décret migratoire de Donald Trump, interdisant l’entrée du territoire aux ressortissants de sept pays, dont le Tchad et la Somalie. Mais des décisions sur le fond doivent encore intervenir en appel dans différentes juridictions du pays…
Il joue les médiateurs au Moyen-Orient, s’attache à contrer les climatosceptiques et à relancer une Union européenne à la dérive. Il y a quelques jours, il était sur le continent africain… Présent sur tous les fronts, le président français vise le leadership de l’Occident. Pour le moment, il s’en sort plutôt bien.
S’il n’en parle pas à tout bout de champ, Emmanuel Macron a une préoccupation constante : donner au G5 Sahel les moyens de lutter contre les jihadistes.
Omar el-Béchir a assuré que le Soudan avait besoin d’être protégé contre les « actes agressifs » des États-Unis, et ce malgré la levée récente de l’embargo américain imposé pendant vingt ans à son pays. Le président soudanais s’exprimait à l’occasion d’une rencontre avec Vladimir Poutine ce 23 novembre.
Alors que plusieurs de ses proches sont soupçonnés de collusion avec des responsables russes, l’étau se resserre autour de Donald Trump. Risque-t-il l’impeachment ? Seuls trois de ses prédécesseurs ont été confrontés à cette procédure de destitution.
Le Tchad et le groupe pétrolier chinois CEFC China Energy ont fermement démenti être impliqués dans l’affaire qui a valu à l’ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, d’être arrêté vendredi aux États-Unis. Les enquêteurs américains soupçonnent l’existence d’un système de corruption impliquant de hauts responsables tchadiens et ougandais.
La RDC n’a pas été conviée vendredi à la réunion de haut niveau organisée à Washington entre le secrétaire d’État américain et 37 ministres des Affaires étrangères du continent africain. Dernier symptôme en date des rapports complexes entre l’administration Trump et le régime de Joseph Kabila.
Présentée comme une opération anticorruption, la purge sans précédent décidée par le roi et le prince héritier s’apparente à un véritable coup de force. Objectif : s’arroger tous les pouvoirs.
Samira Sabou, la trentaine, est une journaliste nigérienne. Jusqu’en octobre, elle travaillait dans une structure étatique, l’Office national d’édition et de presse (Onep), à Niamey. Mme Sabou a le sens de l’humour. Si tel n’était pas le cas, elle n’aurait pas publié sur sa page Facebook une photo où on la voit posant comme le président Mahamadou Issoufou.
La mission américaine en Somalie a demandé samedi à tous ses membres non essentiels de quitter Mogadiscio immédiatement, à la suite d’une menace contre eux à l’aéroport de la la capitale somalienne.
D’ordinaire taiseux, John Kelly, actuel secrétaire général de la Maison-Blanche, est sorti de sa réserve pour réhabiliter la mémoire du général esclavagiste Robert E. Lee. La vague d’indignations était prévisible…
En visite en RDC, l’ambassadrice des États-Unis aux Nations unies, Nikki Haley, a appelé vendredi à l’organisation des élections en 2018, alors que la Commission électorale table sur 2019.
Près de 5 000 Américains dépendant du département de la Défense sont aujourd’hui déployés en Afrique. Militaires ou contractuels civils, ils sont avant tout affectés à la lutte contre le terrorisme, comme au Niger, au Cameroun ou dans la région des Grands lacs. Le point en infographie.
Pour sa visite de 48 heurs en RDC, l’ambassadrice américaine auprès de l’ONU a choisi de se rendre jeudi dans la province troublée du Nord-Kivu. Elle doit ensuite s’entretenir ce vendredi à Kinshasa avec le président Joseph Kabila.
La crise en cours dans la partie anglophone du Cameroun inquiète les États-Unis. Interpellée par des élus de l’État de New York, Nikki Haley pourrait se saisir de la question.
Les États-Unis envisagent de renforcer leur action militaire en Afrique contre l’État islamique qui cherchent à se repositionner après la chute de son « califat » aux confins de la Syrie et l’Irak, craignant un redéploiement des jihadistes sur le continent. L’Afrique est déjà la deuxième zone d’intervention dans le monde des forces spéciales américaines, après le Proche-Orient.
La représentante permanente des États-Unis aux Nations unies Nikki Haley séjournera du 26 au 28 octobre dans la capitale congolaise pour sa première visite en Afrique.
Barack Obama a replongé le 19 octobre dans le bouillonnement des réunions de campagne électorale. Lors de meetings de soutien à des candidats démocrates, il a dénoncé l’évolution récente de la politique américaine sans mentionner son successeur, Donald Trump.
Un juge fédéral de Hawaï a suspendu l’application de la dernière version du décret migratoire de Donald Trump, quelques heures seulement avant son entrée en vigueur dans sa totalité.
Il est à la « génération consciente » (copyright Claudy Siar) africaine francophone ce que Che Guevara fut et demeure pour beaucoup de jeunes Latino-Américains : un mythe.
La compagnie nationale aérienne du Soudan espère donner un nouveau souffle à sa flotte en se procurant des pièces des constructeurs Boeing et Airbus après la décision de Washington de lever son embargo, a indiqué dimanche le ministre soudanais des Transports.
Ce 7 septembre, le chargé d’affaires américain au Soudan a prévenu que les conditions n’étaient pas encore réunies pour discuter du retrait de Khartoum de la liste noire de Washington des « États soutenant le terrorisme ».
Il y a deux semaines, les Martiens, les habitants de Vénus (on les nomme comment, ces zigotos ?) et les autres extraterrestres, ou du moins leurs services secrets, avaient leurs antennes pointées sur New York comme chaque année en septembre.
Comme l’annonçait quelques heures plus tôt un responsable de l’administration américaine, les États-Unis ont décidé vendredi de renoncer formellement à certaines sanctions économiques qui pèsent sur le Soudan depuis 1997.
Le commandement américain pour l’Afrique (Africom) a confirmé jeudi la mort de trois soldats américains lors d’une embuscade, mercredi, contre une patrouille américano-nigérienne à 200 km au nord de Niamey, dans le sud-ouest du Niger. Le communiqué évoque également la mort d’un « membre d’une nation partenaire ».