Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure de la téléréalité dans les années 80. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre le président George W.Bush , il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il fait campagne sur Twitter et entre à la Maison Blanche en janvier 2017. C’est le début d’une présidence conservatrice, ponctuée de controverses très médiatiques. Quatre ans plus tard, Donald Trump échoue à se faire réélire mais, refusant de reconnaître sa défaite face à Joe Biden, il assiste à l’assaut du Capitole à Washington par certains de ses partisans. Il a déjà annoncé sa candidature pour la présidentielle de 2024 alors qu’il est rattrapé par de nombreuses affaires judiciaires, notamment au niveau fédéral pour recel de documents gouvernementaux classifiés.
Le programme américain d’électrification du continent a cette année franchi la barre des 10 000 MW de capacité. Son coordinateur en dresse le bilan et les perspectives.
À la Une du numéro 84 du bimestriel « La Revue », en vente dans les kiosques, un dossier spécial sur le prince héritier émirati Mohammed Ben Zayed (MBZ), une enquête sur le nouveau président ukrainien Volodymyr Zelensky, ou encore la recension du dernier ouvrage de Gérard Haddad.
Mohandas Gandhi, Yitzhak Rabin, Nelson Mandela : trois grandes figures politiques qui ont marqué de leur empreinte le XXe siècle. Des femmes ou des hommes de cette envergure manquent cruellement à ce XXIe siècle arrivé à l’orée de sa vingtième année et qui n’a, pour le moment, à se mettre sous la dent qu’un Donald Trump qui s’agite sur la scène internationale.
Face aux sanctions américaines, le géant chinois Huawei conserve sur le continent le soutien des États et des opérateurs. Les conséquences commerciales sont dans l’immédiat limitées.
Au Moyen-Orient, où les États-Unis sont moins actifs depuis qu’ils extraient leur propre gaz de schiste et qu’Israël a gagné en puissance, la Russie est de retour au premier plan, notamment sur les théâtres de conflit en Syrie et en Libye.
Les États-Unis, l’Arabie saoudite, Israël et les Émirats d’un côté. L’Iran et ses alliés de l’autre. C’est le conflit auquel tout le monde se prépare mais dont personne ne veut, tant ses conséquences seraient dramatiques.
Face à la montée des tensions dans le Golfe, les orientations des pays du Maghreb peuvent être difficiles à décrypter. Volontaire ? À l’acmé des tensions entre Doha et Ryad en 2018, Jeune Afrique relevait déjà un « ni-ni des pays maghrébins ».
Son dernier roman, « The Other Americans », et ses récentes publications dans la presse américaine font de Laila Lalami une des intellectuelles à la pointe du combat contre la politique migratoire du président américain Donald Trump. Elle vante les effets de la littérature comme moyen de résister à la frénésie xénophobe.
Depuis que Donald Trump a été élu président des États-Unis, le concept de fake news a connu une fortune extraordinaire. On pourrait croire que le concept est né avec lui, mais des exemples datant parfois de plusieurs siècles prouvent le contraire.
En tournée sur le continent snobé par son père, Ivanka Trump confirme que le président des États-Unis voulait la nommer à la tête d’une institution de Bretton Woods. Une tentation népotique que d’aucuns qualifient « d’africaine »…
Ivanka Trump, fille et conseillère spéciale du président américain, a annoncé mercredi en Côte d’Ivoire une aide de deux millions de dollars pour les caisses d’épargne de femmes qui travaillent dans le secteur du cacao.
Reçu mardi à la Maison Blanche, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a été salué par son homologue américain Donald Trump pour le « très bon travail » qu’il effectue afin de se maintenir à la tête de l’Égypte après 2022, année de la fin de son deuxième mandat.
Félix Tshisekedi s’est entretenu à Washington avec l’homme d’affaires Sindika Dokolo et son épouse Isabel dos Santos, Alassane Ouattara recevra la fille de Donald Trump le 17 avril à Abidjan… Chaque semaine, Jeune Afrique vous dévoile les coulisses du pouvoir. Plongée dans les secrets des chefs d’État et de leur premier cercle.
Entre la fin du mandat d’Abdelaziz Bouteflika, le report du Brexit ou la reconnaissance américaine de la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan, le mois d’avril s’annonce chargé en événements.
Le président congolais Félix Tshisekedi se rendra du 3 au 5 avril aux États-Unis, où il sera notamment reçu par le chef de la diplomatie, Mike Pompeo. Une rencontre avec Donald Trump n’est pour l’heure pas prévue.
Le président des États-Unis Donald Trump s’est déclaré jeudi favorable à la reconnaissance de la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan. Une décision en rupture avec la position américaine depuis des décennies sur ce dossier sensible.
Depuis son élection, l’hôte de la Maison-Blanche s’ingénie à prendre de court ses collaborateurs comme ses alliés, notamment en ce qui concerne le monde arabe.
L’Algérie est certes un cas extrême, mais pas sans précédent : des pays plus démocratiques ont déjà connu aussi des présidents malades. Laissons aux Algériens quelques mois de plus pour trouver une issue à leur situation.
Les États-Unis co-organisent avec la Pologne, mercredi 13 et jeudi 14 février à Varsovie, une conférence internationale sur le Moyen-Orient. Ils entendent à cette occasion discuter de la situation politique dans la zone, et surtout accentuer la pression sur l’Iran.
Aux États-Unis, des parlementaires ont récemment remis sur la table un projet de loi visant à empêcher l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) d’influencer les cours de l’or noir. Un projet qui, s’il aboutit, risque de provoquer de forts remous géopolitiques et financiers.
Le sous-secrétaire d’État américain aux affaires politiques, David Hale, a créé la polémique, lundi à Abidjan, en émettant des doutes sur la pertinence d’un éventuel troisième mandat d’Alassane Ouattara. Des propos qui interviennent alors que la diplomatie américaine, sur la réserve depuis la crise post-électorale, réinvestit de plus en plus le volet politique.
En visite au Caire le 10 janvier, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo, qui a rencontré le président Sissi, a délivré un exposé en forme de contre-pied au fameux discours du Caire prononcé par Barack Obama le 4 juin 2009 et a tenté de rassurer les alliés des États-Unis.
La présentation du plan de paix israélo-palestinien du président américain Donald Trump devrait avoir lieu « dans les prochains mois », a indiqué dimanche l’ambassadeur américain en Israël, annonçant ainsi un nouveau report de la divulgation de ce plan.
Déclin de la puissance américaine, essor du populisme, tyrannie des réseaux sociaux, ampleur des migrations… L’ancien ministre français des Affaires étrangères analyse les défis auxquels est confrontée une planète sans repères ni boussole.
Ne faut-il pas considérer que, du fait de leur grande dépendance vis-à-vis de la Chine, les économies africaines pourraient finir par se trouver durablement affectées par les tensions entre Pékin et Washington ?
Via un tweet nocturne, Donald Trump a confirmé le 23 décembre le retrait des troupes américaines déployées en Syrie. Fabrice Balanche, spécialiste de la région, analyse les répercussions sur l’évolution du conflit.
Le président des États-Unis Donald Trump, qui estime avoir atteint son objectif de « vaincre le groupe État islamique » en Syrie, envisage désormais un retrait complet des troupes américaines stationnées dans le pays.
Tout au long d’un récit aussi inclassable qu’implacable, Salman Rushdie s’empare des travers de notre époque pour les faire résonner avec les questionnements universels.