Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure de la téléréalité dans les années 80. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre le président George W.Bush , il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il fait campagne sur Twitter et entre à la Maison Blanche en janvier 2017. C’est le début d’une présidence conservatrice, ponctuée de controverses très médiatiques. Quatre ans plus tard, Donald Trump échoue à se faire réélire mais, refusant de reconnaître sa défaite face à Joe Biden, il assiste à l’assaut du Capitole à Washington par certains de ses partisans. Il a déjà annoncé sa candidature pour la présidentielle de 2024 alors qu’il est rattrapé par de nombreuses affaires judiciaires, notamment au niveau fédéral pour recel de documents gouvernementaux classifiés.
Guerre d’influence avec Moscou et Pékin, coupe des ressources budgétaires pour la diplomatie… Dans une déclaration devant la Heritage Foundation, un think thank conservateur, le conseiller pour la sécurité nationale de Donald Trump a dévoilé la nouvelle stratégie américaine en Afrique.
L’enjeu de la présidentielle de 2019 dans son pays, Donald Trump, le multilatéralisme, le conflit israélo-palestinien, la Syrie, la Libye, l’Iran… L’ex-ministre des Affaires étrangères livre sa vision d’un monde en pleine ébullition.
Donald Trump, guerre en Syrie, relations entre le Maroc et l’Algérie… L’ex-ministre algérien des Affaires étrangères (1991-93) livre sa vision de diplomate averti sur les grands dossiers qui agitent le monde et le Maghreb-Moyen-Orient.
Le secteur des hydrocarbures, qui représente 80 % des exportations de l’Iran, est le principal touché par les sanctions américaines. Quels sont les pays à avoir suspendu leurs importations ? Lesquels sont exemptés pour plusieurs mois ? Réponses, en une infographie.
A la onzième heure du onzième jour du onzième mois, 70 dirigeants venus du monde entier ont remonté les Champs-Elysées jusqu’à l’Arc de Triomphe au son des cloches des églises de Paris.
Le chercheur américain, qui était jusque-là directeur d’Africa Center au sein de l’Atlantic Council – un think tank prorébulicain -, a été nommé envoyé spécial des États-Unis dans la région des Grands Lacs par le Département d’État américain, vendredi 9 novembre.
Les sanctions américaines contre les secteurs pétrolier et financier iraniens, entrées en vigueur lundi 5 novembre, sont jugées « illégales et injustes » par Téhéran, qui estime qu’elles vont « à l’encontre du droit international ».
Le numéro 80 du bimestriel La Revue, en vente dans les kiosques depuis le 25 octobre, traite longuement de la vive sympathie qu’éprouvait De Gaulle pour Israël. Il analyse également les clés de la réussite du Botswana et le bras de fer entre Donald Trump et l’Iran.
D’un côté, Mohamed Ben Salman (MBS), allié de Trump et de Netanyahou, ami de Jared Kushner. De l’autre, le journaliste Jamal Khashoggi, assassiné par les Saoudiens à Ankara, qui était en fait un islamiste proche à la fois des Frères musulmans d’Égypte et de Gaza, d’Erdogan et du Qatar. Béchir Ben Yahmed livre les clés de l’affaire.
D’un côté, le Qatar. De l’autre, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite, en pleine tourmente de l’affaire Khashoggi. Entre ces deux camps irréconciliables, la lutte d’influence fait rage. Champs de bataille : le Maghreb, l’Europe et les États-Unis. Enquête.
Riyad a admis, samedi 20 octobre, que le journaliste saoudien Jamal Khashoggi avait bien été tué à l’intérieur du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul. L’affaire, qui suscite un tollé mondial, a terni l’image du royaume au point que le prince héritier Mohamed Ben Salman (MBS) s’en trouve fragilisé.
Après une visite à Donald Trump qu’il « adore », le rappeur Kanye West s’est rendu chez l’un des admirateurs africains du président américain : Yoweri Museveni. Quand « Ye » rencontre « Yo »…
Par plusieurs gestes hautement symboliques en direction du continent africain, le président français Emmanuel Macron montre qu’il veut changer de paradigme. Sans pour autant renoncer à ses positions stratégiques.
Les pays européens cherchent à contrer les effets extraterritoriaux des sanctions américaines frappant l’Iran. Un rapport du Sénat français fait le point sur les différentes mesures possibles.
Nikki Haley ne sera plus l’ambassadrice des États-Unis à l’ONU, à la fin de l’année. Elle a remis sa démission à Donald Trump, le président américain, qui l’a acceptée le mardi 9 octobre. Les motifs de sa démission n’ont pas été précisés.
Le Sénat américain a adopté le 3 octobre un texte créant l’USIDFC, une nouvelle institution de financement du développement. Cette agence est la réponse de Donald Trump à l’initiative chinoise « One Belt, One Road », alors que Xi Jinping a annoncé début septembre 60 milliards de dollars en faveur du développement de l’Afrique.
Pendant que Donald Trump démontre son désintérêt personnel – voire son mépris – pour le continent africain, son épouse en foule le sol. Et les États-Unis continuent d’y jouer un rôle de leader, dans bien des domaines…
Mécontent des hausses du prix du baril de pétrole, le président américain s’en est pris à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et à l’Arabie saoudite.
Pour la première fois, Donald Trump s’est prononcé, mercredi 26 septembre, en faveur d’une solution à deux États pour mettre fin au conflit israélo-palestinien. Le président américain a aussi promis de présenter un plan de paix « équilibré » d’ici quatre mois.
Crise entre l’Iran et les États-Unis, conflit israélo-palestinien, élections en Libye… Les 25 et 26 septembre, l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies a été l’occasion pour les dirigeants de la planète de faire valoir leurs positions sur les grands dossiers de la zone.
Entre ceux qui vilipendent à tort la Cour pénale internationale (CPI) et ceux qui la critiquent à raison, l’espace se réduit chaque mois un peu plus, au point que l’on se demande si l’institution, née il y a vingt ans du traité de Rome, n’est pas à court terme menacée d’asphyxie prématurée.
Cyril Ramaphosa a défendu mardi 11 septembre son projet de réforme agraire devant le Parlement. Le président sud-africain écarte tout risque de sanctions internationales sur ce texte, qui prévoit des expropriations sans indemnisation au profit de la majorité noire.
La réapparition sur les réseaux sociaux d’une étude affirmant que les campagnes électorales à Madagascar figurent parmi les plus chères de la planète relance le débat sur le financement des partis politiques, à quelques semaines des élections générales.
La jeunesse algérienne intéresse les États-Unis. Ces dernières années, plusieurs programmes sportifs et culturels ont été organisés par l’ambassade des États-Unis en Algérie, ou en collaboration avec celle-ci. Une stratégie d’influence ?
La première dame des États-Unis, Melania Trump, a annoncé une prochaine tournée en Afrique, durant laquelle le président américain Donald Trump ne sera pas présent.
À l’issue de la rencontre entre le président kényan, Uhuru Kenyatta, et son homologue américain Donald Trump, aux États-Unis, deux accords d’un montant de près de 238 millions de dollars ont été signés le 27 août avec des entreprises américaines.