Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure de la téléréalité dans les années 80. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre le président George W.Bush , il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il fait campagne sur Twitter et entre à la Maison Blanche en janvier 2017. C’est le début d’une présidence conservatrice, ponctuée de controverses très médiatiques. Quatre ans plus tard, Donald Trump échoue à se faire réélire mais, refusant de reconnaître sa défaite face à Joe Biden, il assiste à l’assaut du Capitole à Washington par certains de ses partisans. Il a déjà annoncé sa candidature pour la présidentielle de 2024 alors qu’il est rattrapé par de nombreuses affaires judiciaires, notamment au niveau fédéral pour recel de documents gouvernementaux classifiés.
Alors qu’il doit donner lundi 27 août les grandes orientations de la politique internationale française lors du traditionnel discours annuel aux ambassadeurs, Emmanuel Macron se prépare à une rentrée chargée.
Dans un tweet s’inquiétant des « confiscations de terres » et des « meurtres à grande échelle de fermiers blancs » en Afrique du Sud, le président américain Donald Trump reprend une théorie du complot devenue un marronnier dans les cercles d’extrême-droite.
Le gouvernement sud-africain a vivement reproché au président des État-Unis Donald Trump, d’alimenter les tensions raciales sur son sol. Une sortie qui fait suite à un tweet du président des États-Unis dénonçant des « expropriations » et des « meurtres de grande ampleur » visant selon lui les fermiers blancs sud-africains.
Dès le début de son mandat, Donald Trump avait donné le tempo d’une diplomatie du petit oiseau bleu. C’est donc par un tweet qu’il vient de déclencher un bras de fer diplomatique avec les autorités sud-africaines.
De retour avec « BlacKkKlansman », le réalisateur africain-américain, Spike Lee dénonce avec humour les actes de l’organisation suprémaciste, le Ku Klux Klan, dans une histoire aussi improbable que vraie.
Élire un bon « maître de la digue », capable de nous protéger contre les ravages du changement climatique, est aujourd’hui crucial et un pilier de la démocratie.
Ce conseiller des deux dernières administrations démocrates américaines passe au crible la politique africaine du nouveau patron de la Maison-Blanche. Et ça décoiffe !
Engagé dans un bras de fer diplomatique avec Donald Trump, Recep Tayyip Erdogan joue la carte de l’ouverture. Son parti, l’AKP, a invité plus de 400 personnalités étrangères à son congrès, le 18 août à Ankara. Alpha Condé, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo et Mohamed Farmajo y sont notamment attendus.
Le président américain recevra son homologue kényan le 27 août. Il sera le second dirigeant d’Afrique subsaharienne à être accueilli à la Maison Blanche depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis.
En visite aux États-Unis pour la première fois depuis son arrivée au pouvoir, le président du Conseil italien, Giuseppe Conte, a obtenu la promesse d’un appui américain sur le dossier libyen de la bouche de Donald Trump. Le président américain a également salué la politique migratoire italienne de fermeture des frontières.
La politique commerciale de l’administration Trump n’est pas sans conséquence sur les activités des entrepreneurs africains, mais aussi sur les finances des États et des institutions. Explications.
Le rapport du département d’État américain consacré au climat de l’investissement dans le monde passe cette année en revue les économies de la RDC, de la Guinée, de l’Algérie et du Maroc.
Si le Sommet des Brics, qui s’ouvre aujourd’hui à Johannesburg en Afrique du Sud, a pour thème la « croissance inclusive » et la « prospérité partagée », c’est surtout le contexte de « guerre commerciale » lancée par le président américain qui va donner le ton.
Il y a deux ans, le 23 juin 2016, les électeurs britanniques ont voté la sortie de leur pays de l’Union européenne. On a donné à cet acte de rupture le nom de Brexit.
Les États-Unis accusent l’institution basée à Genève d' »hypocrisie » et de parti pris contre Israël. Leur décision a été aussitôt dénoncée par des organisations de défense des droits humains.
London Breed va devenir la première femme noire à diriger la ville de San Francisco, bastion démocrate dont l’électorat est en grande majorité composé d’une population blanche et hispanique.
À l’approche de la désignation du pays hôte du 23e Mondial de football, le président des États-Unis pourrait plomber la candidature nord-américaine au profit du royaume chérifien.
De passage à Paris après une visite à Freetown et à Bamako, cet ancien sous-directeur de la CIA l’assure : Washington est déterminé à regagner du terrain sur le continent. Avec des objectifs sécuritaires, mais aussi économiques.
Selon les informations de Jeune Afrique, Paris accueillera mardi 29 mai une réunion entre les acteurs de la crise libyenne pour accélérer la mise en place d’une feuille de route pour le bon déroulement des élections prévues à la fin de l’année.
Le directeur Afrique du Conseil national de sécurité des États-Unis vient de terminer une tournée africaine qui l’a amené de Sierra-Leone à Bamako, en passant même par paris, où il fut question essentiellement du G5 Sahel.
Encore et toujours le Moyen-Orient. Une terrible malédiction semble s’être abattue sur cette région du monde. Composée de nations fragiles, elle vient en tout cas de franchir un pas décisif vers une nouvelle guerre, dont nous avons annoncé ici même qu’elle était programmée.
Face à Donald Trump et à ses foucades, le secrétaire général de l’ONU António Guterres a longtemps fait le dos rond. Après le drame de Gaza, il s’est résolu à l’affronter. À ses risques et périls.
Le ministre des Affaires étrangères, Lejeune Mbella Mbella, a fait convoqué Peter Henry Barlerin pour une « mise au point » suite à des propos portant à la fois sur la gestion de la crise anglophone par les forces de sécurité et la longévité de Paul Biya au pouvoir.
Le diplomate angolais a été licencié mardi. Dans la foulée, le président angolais a tenu un discours de fermeté face aux ambassadeurs mêlant redéfinition des missions, mise en garde contre le népotisme et refonte des passeports diplomatiques.
La nouvelle loi kenyane contre la cybercriminalité cible les « fake news » mais apparaît, aux yeux de certains, comme une atteinte à la liberté d’expression.
Avec son film « BlacKkKlansman », qui a reçu le Grad Prix du Festival de Cannes 2018, le cinéaste africain-américain démontre qu’il ne s’est en rien assagi. Et s’attaque une nouvelle fois à la haine raciale, qui s’exprime actuellement au sommet de l’État.
Pour l’ambassadrice itinérante du Maroc, il est nécessaire de créer des organes multilatéraux afin de désamorcer les conflits avant qu’ils ne dégénèrent. L’ONU ne peut pas tout gérer seule, selon Assia Bensalah Alaoui.
Le président du Paraguay Horacio Cartes a inauguré lundi à Jérusalem la nouvelle ambassade de son pays en Israël, emboîtant le pas aux États-Unis dans une démarche de rupture diplomatique qui indigne les Palestiniens.
La mort d’une soixantaine de manifestants palestiniens vaut à l’État hébreu de vives condamnations internationales. Outre la polémique sur le recours à la force, la stratégie israélienne pose question dans un territoire au bord du désastre humanitaire.